Van der Poel se prépare en Espagne
Publié le
Vainqueur du Tour des Flandres avec la manière ce dimanche, Mathieu van der Poel a décidé de préparer Paris-Roubaix avec un stage d’entraînement organisé en Espagne mais concède avoir besoin de récupérer.
Mathieu van der Poel a déjà tourné la page. Pour la troisième fois de sa carrière, le champion du monde en titre a ajouté le Tour des Flandres à son palmarès au bout d’une chevauchée solitaire longue de 45 kilomètres entamée dans un Koppenberg à la limite d’être praticable. Un cinquième Monument qui ne comble pas les ambitions du petit-fils de Raymond Poulidor. En effet, le chef de file de l’équipe Alpecin-Deceuninck entend bien aborder Paris-Roubaix avec l’envie de remporter « l’Enfer du Nord » pour la deuxième fois.
Pour préparer cette échéance dans les meilleures conditions, Mathieu van der Poel a décidé de ne pas rester dans les Flandres mais de rejoindre le sud-est de l’Espagne et la localité de Calpe, qui accueille de manière régulière les cyclistes en quête de préparation. Arrivé à destination tard ce dimanche, le Néerlandais ne rejoindra le nord de la France et Compiègne que ce jeudi dans la soirée. « Je verrai ce que je peux faire jour après jour, a-t-il confié dans des propos recueillis par le quotidien belge La Dernière Heure. Mais j’ai quand même besoin de récupérer un peu. »
Admettant avoir puisé dans ses ressources pour gagner un « Ronde » rendu dantesque par les conditions météorologiques, le fils d’Adrie van der Poel concède avoir vécu « le Tour des Flandres le plus dur » auquel il a pu participer depuis le début de sa carrière. « J’avais besoin d’une heure pour commencer à récupérer des forces », a-t-il ajouté. Alors qu’il n’a que quatre jours de course dans les jambes, avec une victoire sur l’E3 Saxo Classic et une deuxième place lors de Gand-Wevelgem en plus de son succès ce dimanche, Mathieu van der Poel pourrait modifier son programme des semaines à venir.
En effet, s’il est acquis qu’il sera présent au départ de l’Amstel Gold Race, il n’écarte plus une participation à Liège-Bastogne-Liège. « Ce n’est pas sûr à 100%, mais il y a encore une chance », a-t-il assuré au micro de la chaîne belge néerlandophone Sporza. Un frein pourrait être la concurrence de Tadej Pogacar et Remco Evenepoel, qui sont également attendus sur « La Doyenne ». « Je suis suffisamment réaliste pour savoir que je ne serai probablement pas en mesure de les suivre quand ils sont à leur meilleur niveau, a admis le champion du monde en titre. Mais il reste une course à faire et personne ne sait ce qui peut arriver. » A lui de voir si le défi est assez tentant.
Mathieu van der Poel a déjà tourné la page. Pour la troisième fois de sa carrière, le champion du monde en titre a ajouté le Tour des Flandres à son palmarès au bout d’une chevauchée solitaire longue de 45 kilomètres entamée dans un Koppenberg à la limite d’être praticable. Un cinquième Monument qui ne comble pas les ambitions du petit-fils de Raymond Poulidor. En effet, le chef de file de l’équipe Alpecin-Deceuninck entend bien aborder Paris-Roubaix avec l’envie de remporter « l’Enfer du Nord » pour la deuxième fois.
Pour préparer cette échéance dans les meilleures conditions, Mathieu van der Poel a décidé de ne pas rester dans les Flandres mais de rejoindre le sud-est de l’Espagne et la localité de Calpe, qui accueille de manière régulière les cyclistes en quête de préparation. Arrivé à destination tard ce dimanche, le Néerlandais ne rejoindra le nord de la France et Compiègne que ce jeudi dans la soirée. « Je verrai ce que je peux faire jour après jour, a-t-il confié dans des propos recueillis par le quotidien belge La Dernière Heure. Mais j’ai quand même besoin de récupérer un peu. »
Van der Poel envisage Liège-Bastogne-Liège
Admettant avoir puisé dans ses ressources pour gagner un « Ronde » rendu dantesque par les conditions météorologiques, le fils d’Adrie van der Poel concède avoir vécu « le Tour des Flandres le plus dur » auquel il a pu participer depuis le début de sa carrière. « J’avais besoin d’une heure pour commencer à récupérer des forces », a-t-il ajouté. Alors qu’il n’a que quatre jours de course dans les jambes, avec une victoire sur l’E3 Saxo Classic et une deuxième place lors de Gand-Wevelgem en plus de son succès ce dimanche, Mathieu van der Poel pourrait modifier son programme des semaines à venir.
En effet, s’il est acquis qu’il sera présent au départ de l’Amstel Gold Race, il n’écarte plus une participation à Liège-Bastogne-Liège. « Ce n’est pas sûr à 100%, mais il y a encore une chance », a-t-il assuré au micro de la chaîne belge néerlandophone Sporza. Un frein pourrait être la concurrence de Tadej Pogacar et Remco Evenepoel, qui sont également attendus sur « La Doyenne ». « Je suis suffisamment réaliste pour savoir que je ne serai probablement pas en mesure de les suivre quand ils sont à leur meilleur niveau, a admis le champion du monde en titre. Mais il reste une course à faire et personne ne sait ce qui peut arriver. » A lui de voir si le défi est assez tentant.
Publicité
