Un nouveau bébé pour Marion Rousse et Julian Alaphilippe ?

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Alors que Nino, leur premier enfant, s’apprête à fêter ses trois ans, Marion Rousse et Julian Alaphilippe ne son pas près de faire un second bébé.
Julian Alaphilippe tout juste rentré du Tour d’Italie, le couple vedette du cyclisme français a pu se retrouver durant quelques jours, en profitant pour s’échapper dans un hôtel luxueux de Catalogne, où Rafael Nadal était parti digérer sa défaite au premier tour de Roland-Garros. Une élimination qui a fait vivre à Marion Rousse une émotion « presque aussi intense que celle qu’elle ressent sur le Tour de France. »
Les retrouvailles entre le coureur de la Quick-Step et sa compagne ont néanmoins été brèves. Samedi, il était déjà l’heure pour Marion Rousse de mettre le cap sur l’Ardèche pour le départ du Critérium du Dauphiné où elle officiera une nouvelle fois dans la cabine de commentateurs aux côtés d’Alexandre Pasteur et Laurent Jalabert. Le double champion du monde reprendra lui le chemin de l’entraînement avec en tête les Jeux Olympiques, à moins qu’il ne cède à la pression de son équipe et ne dispute finalement le Tour de France.
Le calendrier de Julian Alaphilippe et Marion Rousse est particulièrement chargé. Et ce d’autant plus qu’ils sont également les parents d’un petit Nino, qui s’apprête à fêter ses trois ans. Interrogée dans les colonnes de La Tribune, la directrice du Tour de France a d’ailleurs été questionnée sur d’éventuelles envies d’un deuxième enfant. Et la réponse a été claire. « Ce n’est pas vraiment d’actualité car Julian et moi sommes sans arrêt en déplacement », a-t-elle lancé, ajoutant : « Sans l’aide de mes parents, j’aurais été obligée de mettre un terme à ma carrière. »
« Et pourquoi pas la sienne ? », a alors objecté la journaliste, Joséphine Simon-Michel. « On ne s’est pas posé la question. Je reconnais que ce sont souvent les femmes qui doivent se sacrifier. Mais notre situation est différente, a souligné Marion Rousse. Si Julian a conscience de l’importance de mon boulot, sa carrière sportive est beaucoup plus limitée dans le temps. Donc je préfère qu’il privilégie ses deux, trois prochaines années et n’ait rien à regretter. »
Julian Alaphilippe tout juste rentré du Tour d’Italie, le couple vedette du cyclisme français a pu se retrouver durant quelques jours, en profitant pour s’échapper dans un hôtel luxueux de Catalogne, où Rafael Nadal était parti digérer sa défaite au premier tour de Roland-Garros. Une élimination qui a fait vivre à Marion Rousse une émotion « presque aussi intense que celle qu’elle ressent sur le Tour de France. »
Les retrouvailles entre le coureur de la Quick-Step et sa compagne ont néanmoins été brèves. Samedi, il était déjà l’heure pour Marion Rousse de mettre le cap sur l’Ardèche pour le départ du Critérium du Dauphiné où elle officiera une nouvelle fois dans la cabine de commentateurs aux côtés d’Alexandre Pasteur et Laurent Jalabert. Le double champion du monde reprendra lui le chemin de l’entraînement avec en tête les Jeux Olympiques, à moins qu’il ne cède à la pression de son équipe et ne dispute finalement le Tour de France.
"Ce n’est pas vraiment d’actualité"
Le calendrier de Julian Alaphilippe et Marion Rousse est particulièrement chargé. Et ce d’autant plus qu’ils sont également les parents d’un petit Nino, qui s’apprête à fêter ses trois ans. Interrogée dans les colonnes de La Tribune, la directrice du Tour de France a d’ailleurs été questionnée sur d’éventuelles envies d’un deuxième enfant. Et la réponse a été claire. « Ce n’est pas vraiment d’actualité car Julian et moi sommes sans arrêt en déplacement », a-t-elle lancé, ajoutant : « Sans l’aide de mes parents, j’aurais été obligée de mettre un terme à ma carrière. »
« Et pourquoi pas la sienne ? », a alors objecté la journaliste, Joséphine Simon-Michel. « On ne s’est pas posé la question. Je reconnais que ce sont souvent les femmes qui doivent se sacrifier. Mais notre situation est différente, a souligné Marion Rousse. Si Julian a conscience de l’importance de mon boulot, sa carrière sportive est beaucoup plus limitée dans le temps. Donc je préfère qu’il privilégie ses deux, trois prochaines années et n’ait rien à regretter. »
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