Tour de France, c’est du jamais vu !

Publié le
Le Tour de France 2025 a vu un record tomber dimanche à l’occasion de son neuvième acte.
Ce devait être une étape de transition, un jour somme toute classique taillé pour les sprinteurs ou les baroudeurs. Pourtant l’étape dominicale courue entre Chinon et Châteauroux – la neuvième de cette Grande boucle 2025 – a accouché d’un scénario historique. Par la vitesse de ses animateurs.
Alors que le Belge Tim Merlier a eu le dernier mot au sprint, en faisant partie du wagon qui à grande vitesse a englouti le pauvre Mathieu Van der Poel, échappé au long cours repris à 500 mètres à peine de l’arrivée, le train du Tour a roulé dimanche à 50,013 km/h de moyenne. Du jamais vu au XXIe siècle.
https://x.com/sports_fr/status/1944443273373761940
Pour trouver trace d’une moyenne supérieure en effet, il faut remonter à 1999 et à la quatrième étape d’une 86e édition qui vit le peloton relier Laval à Blois à une vitesse moyenne de 50,36 km/h. Ce Chinon-Châteauroux étant in fine la deuxième étape la plus rapide de l’histoire du Tour de France !
« C'était super rapide, confirmait à l’arrivée dimanche Tadej Pogacar, maillot jaune plus que jamais plaqué sur le dos. Il faisait très chaud, je n'ai pas encore checké les stats mais on sentait bien en course que ça allait très vite. Avec ces deux gars très forts devant, Jonas (Rickaert) et Mathieu (Van der Poel), c'était dur. Avec le vent en plus, ça a ajouté de la tension, tout le monde voulait aller très vite… »
Ce lundi, changement de décor. La vitesse devrait sérieusement baisser mais la difficulté aller crescendo pour une première étape de montagne dans le Massif Central. Le leader slovène, privé désormais de l’un de ses meilleurs coéquipiers alors que Joao Almeida a dû abandonner, s’attend à une journée difficile et mouvementée.
Ce devait être une étape de transition, un jour somme toute classique taillé pour les sprinteurs ou les baroudeurs. Pourtant l’étape dominicale courue entre Chinon et Châteauroux – la neuvième de cette Grande boucle 2025 – a accouché d’un scénario historique. Par la vitesse de ses animateurs.
Alors que le Belge Tim Merlier a eu le dernier mot au sprint, en faisant partie du wagon qui à grande vitesse a englouti le pauvre Mathieu Van der Poel, échappé au long cours repris à 500 mètres à peine de l’arrivée, le train du Tour a roulé dimanche à 50,013 km/h de moyenne. Du jamais vu au XXIe siècle.
https://x.com/sports_fr/status/1944443273373761940
Pour trouver trace d’une moyenne supérieure en effet, il faut remonter à 1999 et à la quatrième étape d’une 86e édition qui vit le peloton relier Laval à Blois à une vitesse moyenne de 50,36 km/h. Ce Chinon-Châteauroux étant in fine la deuxième étape la plus rapide de l’histoire du Tour de France !
Pogacar bluffé par la vitesse
« C'était super rapide, confirmait à l’arrivée dimanche Tadej Pogacar, maillot jaune plus que jamais plaqué sur le dos. Il faisait très chaud, je n'ai pas encore checké les stats mais on sentait bien en course que ça allait très vite. Avec ces deux gars très forts devant, Jonas (Rickaert) et Mathieu (Van der Poel), c'était dur. Avec le vent en plus, ça a ajouté de la tension, tout le monde voulait aller très vite… »
Ce lundi, changement de décor. La vitesse devrait sérieusement baisser mais la difficulté aller crescendo pour une première étape de montagne dans le Massif Central. Le leader slovène, privé désormais de l’un de ses meilleurs coéquipiers alors que Joao Almeida a dû abandonner, s’attend à une journée difficile et mouvementée.
Publicité