Thomas Voeckler vers un départ de France Télévisions ?
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Consultant moto pour France Télévisions depuis huit ans, Thomas Voeckler n’exclut pas de dire stop l’année prochaine.
Après avoir mis un terme à sa carrière de cycliste professionnel en 2017, Thomas Voeckler s’est reconverti dans la foulée en tant que consultant. Il a rejoint l’équipe de France Télévisions, où il a remplacé Laurent Jalabert sur la moto, qui a lui pris place en cabine aux côtés de Marion Rousse et Alexandre Pasteur. Et alors qu’il entame son huitième Tour de France sur la moto, l’ancien maillot jaune du Tour ne sait pas s’il sera toujours là l’année prochaine.
« En fait, moi, je voulais rester dans le domaine du vélo. Après ma carrière, je ne savais pas ce que je ferai après. D’ailleurs, je ne sais toujours pas ce que je ferai l’année prochaine, dans cinq ans. Ce sera peut-être les mêmes fonctions qu’aujourd’hui, ce sera peut-être différent », a ainsi confié celui qui est aussi sélectionneur de l’équipe de France de cyclisme sur route dans les colonnes du Midi Libre.
https://x.com/sports_fr/status/1943886122427273225
« Aujourd’hui, je suis à 100 % impliqué dans les deux fonctions, a poursuivi l’Alsacien. Mais ce que je veux dire, c’est que c’était une manière de ne pas quitter le domaine cycliste. J’aime trop. Et c’est une place privilégiée d’être sur la moto. Enfin, moi, je la considère comme telle. Parfois, c’est dur, attention. Mais je prends du plaisir parce que j’ai le retour des gens aussi. C’est gratifiant, je me sens utile. »
S’il prend son pied sur la moto, Thomas Voeckler se dit moins dans son élément aux commentaires. « En cabine, que j’ai testée une fois ou deux, et pas sur le Tour de France, on est à l’arrivée, on ne voit pas les coureurs, on va à l’hôtel, explique-t-il. Et puis, on est de nouveau à l’arrivée, on ne voit pas vraiment le truc. Alors que là, je suis au départ, je prends la température, je suis dans l’ambiance du Tour de France. Ou du Dauphiné, ou de Paris-Nice. Je suis vraiment dans l’ambiance parmi les coureurs, les suiveurs. Je comprends ce qu’ils ressentent. Je vis des choses aussi. »
Et Voeckler de conclure: « On est toute une équipe. J’ai l’équipe avec Marion (Rousse), Alex (Pasteur) et Jaja (Laurent Jalabert), mais ceux avec qui je suis en réalité, c’est les motards, les cadreurs. De toute façon, je ne me forcerais pas si je ne prenais pas de plaisir. C’est une place privilégiée, je la conçois comme telle. Et en plus de ça, je la considère comme complémentaire avec mon rôle de sélectionneur. » Reste à savoir s’il poursuivra l’aventure chez France Télévisons après ce Tour de France 2025.
Après avoir mis un terme à sa carrière de cycliste professionnel en 2017, Thomas Voeckler s’est reconverti dans la foulée en tant que consultant. Il a rejoint l’équipe de France Télévisions, où il a remplacé Laurent Jalabert sur la moto, qui a lui pris place en cabine aux côtés de Marion Rousse et Alexandre Pasteur. Et alors qu’il entame son huitième Tour de France sur la moto, l’ancien maillot jaune du Tour ne sait pas s’il sera toujours là l’année prochaine.
« En fait, moi, je voulais rester dans le domaine du vélo. Après ma carrière, je ne savais pas ce que je ferai après. D’ailleurs, je ne sais toujours pas ce que je ferai l’année prochaine, dans cinq ans. Ce sera peut-être les mêmes fonctions qu’aujourd’hui, ce sera peut-être différent », a ainsi confié celui qui est aussi sélectionneur de l’équipe de France de cyclisme sur route dans les colonnes du Midi Libre.
https://x.com/sports_fr/status/1943886122427273225
« Aujourd’hui, je suis à 100 % impliqué dans les deux fonctions, a poursuivi l’Alsacien. Mais ce que je veux dire, c’est que c’était une manière de ne pas quitter le domaine cycliste. J’aime trop. Et c’est une place privilégiée d’être sur la moto. Enfin, moi, je la considère comme telle. Parfois, c’est dur, attention. Mais je prends du plaisir parce que j’ai le retour des gens aussi. C’est gratifiant, je me sens utile. »
Voeckler: « Je ne me forcerais pas si je ne prenais pas de plaisir »
S’il prend son pied sur la moto, Thomas Voeckler se dit moins dans son élément aux commentaires. « En cabine, que j’ai testée une fois ou deux, et pas sur le Tour de France, on est à l’arrivée, on ne voit pas les coureurs, on va à l’hôtel, explique-t-il. Et puis, on est de nouveau à l’arrivée, on ne voit pas vraiment le truc. Alors que là, je suis au départ, je prends la température, je suis dans l’ambiance du Tour de France. Ou du Dauphiné, ou de Paris-Nice. Je suis vraiment dans l’ambiance parmi les coureurs, les suiveurs. Je comprends ce qu’ils ressentent. Je vis des choses aussi. »
Et Voeckler de conclure: « On est toute une équipe. J’ai l’équipe avec Marion (Rousse), Alex (Pasteur) et Jaja (Laurent Jalabert), mais ceux avec qui je suis en réalité, c’est les motards, les cadreurs. De toute façon, je ne me forcerais pas si je ne prenais pas de plaisir. C’est une place privilégiée, je la conçois comme telle. Et en plus de ça, je la considère comme complémentaire avec mon rôle de sélectionneur. » Reste à savoir s’il poursuivra l’aventure chez France Télévisons après ce Tour de France 2025.
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