Soupçons de dopage: Alexandre Pasteur se lâche sur Tadej Pogacar

Publié le
Alors que les performances hors du commun de Tadej Pogacar éveillent les soupçons de dopage, le commentateur de France Télévisions, Alexandre Pasteur, a pris la défense du coureur slovène.
Tadej Pogacar n’en finit plus d’impressionner. A moins de trois semaines du grand départ du Tour de France 2025, où il tentera de faire la passe de quatre, le leader de la formation UAE-Emirates a remporté assez tranquillement le Critérium du Dauphiné. Et ce n’est pas la présence de ses principaux rivaux, Jonas Vingegaard et Remco Evenepoel, qui l’a empêché de rouler une fois de plus sur la concurrence.
Mais ces performances incroyables conjuguées aux affaires qui ont secoués le monde du cyclisme dans les années 90, notamment, conduisent certains observateurs à soulever l'éventualité d'un recours au dopage. Des doutes inévitables qu’Alexandre Pasteur, qui s’apprête à commenter sa neuvième édition consécutive de la Grande Boucle sur France Télévisions, a tenté d’expliquer.
https://x.com/sports_fr/status/1935547753972547987
Pour le journaliste de 54 ans, « Pogi » est tout simplement hors norme. « C'est un génie, on peut aussi en avoir. Il n'y a toujours qu'un mâle dominant dans le cyclisme. Un Tadej Pogacar, c'est un tous les 20 ans, et encore... », a ainsi confié Alexandre pasteur au cours d’un entretien accordé à l’Est Républicain, avant de donner une autre explication.
« C'est très paradoxal, les coureurs roulent plus vite que dans les années 90 quand le peloton était gavé d'EPO, d'hormones de croissance et d'autotransfusions, donc ça pose question, reconnaît-il. On me dit qu'ils sont tous dopés parce que ça roule plus vite qu'à l'époque de Lance Armstrong, mais il faut prendre en compte des paramètres importants: on ne court plus de la même manière que dans les années 1990 et 2000. »
Pour Alexandre Pasteur, comparer un vélo de 2025 à celui des années 1990, c'est comparer un char d'assaut à une Formule 1. Les rapport poids-puissance, de rigidité, de renvoi de l'énergie, de moyeux ou de roues, n’ont rien à voir. Suffisant pour faire taire les suspicions ? Rien n’est moins sûr…
Tadej Pogacar n’en finit plus d’impressionner. A moins de trois semaines du grand départ du Tour de France 2025, où il tentera de faire la passe de quatre, le leader de la formation UAE-Emirates a remporté assez tranquillement le Critérium du Dauphiné. Et ce n’est pas la présence de ses principaux rivaux, Jonas Vingegaard et Remco Evenepoel, qui l’a empêché de rouler une fois de plus sur la concurrence.
Mais ces performances incroyables conjuguées aux affaires qui ont secoués le monde du cyclisme dans les années 90, notamment, conduisent certains observateurs à soulever l'éventualité d'un recours au dopage. Des doutes inévitables qu’Alexandre Pasteur, qui s’apprête à commenter sa neuvième édition consécutive de la Grande Boucle sur France Télévisions, a tenté d’expliquer.
https://x.com/sports_fr/status/1935547753972547987
Pour le journaliste de 54 ans, « Pogi » est tout simplement hors norme. « C'est un génie, on peut aussi en avoir. Il n'y a toujours qu'un mâle dominant dans le cyclisme. Un Tadej Pogacar, c'est un tous les 20 ans, et encore... », a ainsi confié Alexandre pasteur au cours d’un entretien accordé à l’Est Républicain, avant de donner une autre explication.
Pasteur sur Pogacar: « C'est un génie, on peut aussi en avoir »
« C'est très paradoxal, les coureurs roulent plus vite que dans les années 90 quand le peloton était gavé d'EPO, d'hormones de croissance et d'autotransfusions, donc ça pose question, reconnaît-il. On me dit qu'ils sont tous dopés parce que ça roule plus vite qu'à l'époque de Lance Armstrong, mais il faut prendre en compte des paramètres importants: on ne court plus de la même manière que dans les années 1990 et 2000. »
Pour Alexandre Pasteur, comparer un vélo de 2025 à celui des années 1990, c'est comparer un char d'assaut à une Formule 1. Les rapport poids-puissance, de rigidité, de renvoi de l'énergie, de moyeux ou de roues, n’ont rien à voir. Suffisant pour faire taire les suspicions ? Rien n’est moins sûr…
Publicité