« PFP » très remontée

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Le retard de l'équipe Movistar au départ du contre-la-montre par équipes inaugural de la Vuelta féminine, dimanche à Barcelone, a obligé l'équipe Visma Lease a Bike de Pauline Ferrand-Prévôt, seulement 10e de cette première étape, à s'élancer sans deux de ses coureuses. Tandis que la formation néerlandaise a porté réclamation contre l'UCI, la Française ne décolérait pas après l'arrivée.
Le départ de la Vuelta féminine, dimanche à Barcelone, ne s'est pas du tout passé comme l'espéraient Pauline Ferrand-Prévôt (33 ans) et son équipe Visma Lease a Bike. La Française et ses coéquipières ont dû en effet se contenter d'une bien décevante dixième place lors de cette première étape disputée sous la forme d'un contre-la-montre par équipes.
Un chrono que la formation néerlandaise a dû disputer sans deux de ses coureuses, la faute à l'arrivée au tout dernier moment (à moins de quinze minutes du départ, ce qui lui a valu une amende) de l'équipe Movistar mais aussi et surtout de l'incompétence, pour ne pas dire de l'amateurisme de l'organisation, qui a tout de même pris tout son temps pour ausculter les vélos de Femke De Vries et d'Imogen Wolff en dépit de ce retard et n'a pas davantage daigné bon dans un premier temps d'ajouter un deuxième inspecteur au seul prévu initialement pour contrôler les montures des concurrentes. Un dysfonctionnement évident qui a amené Visma Lease a Bike à déposer une réclamation après-coup et a provoqué la colère des coureuses de l'équipe, "PFP" en tête.
"Je n'arrive pas à croire ce qu'il s'est passé cet après-midi dans l'une des plus grandes courses de la saison, c'est tellement amateur", pestait la championne olympique de VTT cross-country des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui dispute non seulement son premier Tour d'Espagne mais également son tout premier Grand Tour.
La Marnaise décolérait d'autant moins après ce gros couac survenu d'entrée qu'elle avait bien fait comprendre aux commissaires de course que s'ils n'accéléraient pas, ils risquaient d'empêcher certaines représentantes de pouvoir se présenter dans les temps au départ aux côtés de leurs coéquipières. Au grand regret de Ferrand-Prévôt. "Il semble que le jury ne nous a pas prises au sérieux lorsqu'on leur a dit que nous serions en retard au départ si le contrôle n'était pas plus rapide." Mais rien n'y a fait.
Le départ de la Vuelta féminine, dimanche à Barcelone, ne s'est pas du tout passé comme l'espéraient Pauline Ferrand-Prévôt (33 ans) et son équipe Visma Lease a Bike. La Française et ses coéquipières ont dû en effet se contenter d'une bien décevante dixième place lors de cette première étape disputée sous la forme d'un contre-la-montre par équipes.
Un chrono que la formation néerlandaise a dû disputer sans deux de ses coureuses, la faute à l'arrivée au tout dernier moment (à moins de quinze minutes du départ, ce qui lui a valu une amende) de l'équipe Movistar mais aussi et surtout de l'incompétence, pour ne pas dire de l'amateurisme de l'organisation, qui a tout de même pris tout son temps pour ausculter les vélos de Femke De Vries et d'Imogen Wolff en dépit de ce retard et n'a pas davantage daigné bon dans un premier temps d'ajouter un deuxième inspecteur au seul prévu initialement pour contrôler les montures des concurrentes. Un dysfonctionnement évident qui a amené Visma Lease a Bike à déposer une réclamation après-coup et a provoqué la colère des coureuses de l'équipe, "PFP" en tête.
Ferrand-Prévôt : "Je n'arrive pas à y croire"
"Je n'arrive pas à croire ce qu'il s'est passé cet après-midi dans l'une des plus grandes courses de la saison, c'est tellement amateur", pestait la championne olympique de VTT cross-country des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui dispute non seulement son premier Tour d'Espagne mais également son tout premier Grand Tour.
La Marnaise décolérait d'autant moins après ce gros couac survenu d'entrée qu'elle avait bien fait comprendre aux commissaires de course que s'ils n'accéléraient pas, ils risquaient d'empêcher certaines représentantes de pouvoir se présenter dans les temps au départ aux côtés de leurs coéquipières. Au grand regret de Ferrand-Prévôt. "Il semble que le jury ne nous a pas prises au sérieux lorsqu'on leur a dit que nous serions en retard au départ si le contrôle n'était pas plus rapide." Mais rien n'y a fait.
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