Paul Magnier annonce la couleur

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À 21 ans, Paul Magnier s’apprête à découvrir, à l’occasion du Giro 2025, son premier Grand Tour. Le coureur de la Soudal Quick-Step a évidemment hâte de vivre l’évènement de l’intérieur et ne s’interdira pas de lever les bras si l’occasion se présente.
C’est un Paul Magnier en découverte mais pas sans ambition qui s’apprête à enfourcher son vélo sur les terres italiennes. Mardi, Soudal Quick-Step a officialisé sa composition pour disputer le prochain Tour d’Italie, programmé du 9 mai au 1er juin et le Français fait bel et bien partie de l’aventure. D’ailleurs, c’est une première sur un Grand Tour pour le coureur de 21 ans. Pour autant, malgré son rôle d’équipier de Mikel Landa, troisième en 2015 et en 2022, pour le général, le Tricolore a bien l’intention de jouer les premiers rôles dans ce Giro, sur son terrain de chasse favori : les sprints.
Après avoir bien récupéré à la suite de ses chutes à Tirreno et sur les Classiques en Belgique, le natif de Laredo au Texas est désormais focalisé sur cette première course à étapes de trois semaines. Sans pression à l’entendre… « Non, pas du tout, avoue Magnier à L’Équipe. Je pense que l'équipe m'a vraiment aidé, car on a eu quand même des discussions sur le fait de faire ou pas un Grand Tour dès cette année. C'est quelque chose de nouveau pour moi et ça peut aussi me servir pour la suite de la saison. Je ne ressens donc pas de pression, j'ai juste envie de bien faire sur les sprints. J'espère pouvoir profiter de cette découverte du Giro et ensuite en ressortir avec le plus de bénéfices possibles. »
Malgré son statut de « rookie » sur les Grands Tours, Paul Magnier n’en reste pas moins un coureur déjà très intelligent sur le vélo et surtout, qui a déjà gagné des courses. L’année dernière, le Français a gagné trois étapes du Tour de Grande-Bretagne et en 2025, il a levé les bras lors de la première étape de l'Etoile de Bessèges-Tour du Gard et a terminé deuxième du Omloop Nieuwsblad et du Samyn, il y a quelques semaines.
« Oui, c'est sûr qu'il y a pas mal d'excitation, c'est quand même l'une des plus grosses courses avec le Tour de France et le Tour d’Espagne, relève Magnier toujours à L’Équipe. En faisant la valise, j'avais du mal à me dire que je partais pour trois semaines, parce que jusque-là je partais pour des courses d'une semaine. C'est quand même assez spécial. Mes équipiers m'ont conseillé de ne pas forcément penser déjà à la troisième semaine mais plutôt d'essayer de me concentrer sur le début du Giro et après ça ira de mieux en mieux, si ça se passe bien en tout cas. »
Le coureur polyvalent le sait, il aura sans doute une carte à jouer dans ce Giro mais pour se faire, il devra bien appréhender les conditions particulières d’une course de trois semaines.
C’est un Paul Magnier en découverte mais pas sans ambition qui s’apprête à enfourcher son vélo sur les terres italiennes. Mardi, Soudal Quick-Step a officialisé sa composition pour disputer le prochain Tour d’Italie, programmé du 9 mai au 1er juin et le Français fait bel et bien partie de l’aventure. D’ailleurs, c’est une première sur un Grand Tour pour le coureur de 21 ans. Pour autant, malgré son rôle d’équipier de Mikel Landa, troisième en 2015 et en 2022, pour le général, le Tricolore a bien l’intention de jouer les premiers rôles dans ce Giro, sur son terrain de chasse favori : les sprints.
Après avoir bien récupéré à la suite de ses chutes à Tirreno et sur les Classiques en Belgique, le natif de Laredo au Texas est désormais focalisé sur cette première course à étapes de trois semaines. Sans pression à l’entendre… « Non, pas du tout, avoue Magnier à L’Équipe. Je pense que l'équipe m'a vraiment aidé, car on a eu quand même des discussions sur le fait de faire ou pas un Grand Tour dès cette année. C'est quelque chose de nouveau pour moi et ça peut aussi me servir pour la suite de la saison. Je ne ressens donc pas de pression, j'ai juste envie de bien faire sur les sprints. J'espère pouvoir profiter de cette découverte du Giro et ensuite en ressortir avec le plus de bénéfices possibles. »
Déjà vainqueur cette saison
Malgré son statut de « rookie » sur les Grands Tours, Paul Magnier n’en reste pas moins un coureur déjà très intelligent sur le vélo et surtout, qui a déjà gagné des courses. L’année dernière, le Français a gagné trois étapes du Tour de Grande-Bretagne et en 2025, il a levé les bras lors de la première étape de l'Etoile de Bessèges-Tour du Gard et a terminé deuxième du Omloop Nieuwsblad et du Samyn, il y a quelques semaines.
« Oui, c'est sûr qu'il y a pas mal d'excitation, c'est quand même l'une des plus grosses courses avec le Tour de France et le Tour d’Espagne, relève Magnier toujours à L’Équipe. En faisant la valise, j'avais du mal à me dire que je partais pour trois semaines, parce que jusque-là je partais pour des courses d'une semaine. C'est quand même assez spécial. Mes équipiers m'ont conseillé de ne pas forcément penser déjà à la troisième semaine mais plutôt d'essayer de me concentrer sur le début du Giro et après ça ira de mieux en mieux, si ça se passe bien en tout cas. »
Le coureur polyvalent le sait, il aura sans doute une carte à jouer dans ce Giro mais pour se faire, il devra bien appréhender les conditions particulières d’une course de trois semaines.
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