Julian Alaphilppe, la triste annonce avant le Tour de France

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S’il se veut ambitieux à l’approche du Tour de France, qu’il retrouve après avoir manqué l’édition précédente, Julian Alaphilippe n’est plus au niveau, selon Christian Prudhomme.
A son avantage sur le Tour de Suisse, terminé à une probante 5e place, Julian Alaphilippe voit les choses en grand à l’approche du Tour de France. Le coureur de l’équipe Tudor, absent du Tour l’an dernier, espère bien y décrocher une nouvelle victoire d’étape, lui, qui en a déjà remporté six en six participations.
« Gagner une étape, c’est le Graal. Ma première cible c’est la 2e étape, a-t-il confié sur le site du Tour de France. Sur le papier, ça correspond vraiment à nos caractéristiques, avec Marc Hirschi et moi, donc on se concentre sur cette journée. Je suis même allé reconnaître le final ce matin. J’aime bien. On sait qu’il y aura d’autres occasions plus tard, mais c’est bien d’avoir déjà un objectif clair en tête pour bien lancer le Tour. »
Julian Alaphilippe fera évidemment face à une très sérieuse concurrence puisque cette deux étape et les autres que le natif de Saint-Amand-Montrond a cochées sont inévitablement également sur les tablettes des maîtres en la matière, Tadej Pogacar et Mathieu van der Poel. De quoi rendre Christian Prudhomme plutôt pessimiste.
« Julian Alaphilippe revient sur le Tour mais ce n’est plus le Julian Alaphilippe flamboyant d’il y a une demi-douzaine d’années », a ainsi confié le directeur du Tour de France, qui semble davantage vouloir miser sur les coureurs de la nouvelle génération.
« C’est un changement de génération. Thibaut Pinot est parti. Romain Bardet, lui aussi, vient de partir, a-t-il souligné. En revanche, il y a des jeunes, il y a des nouveaux. Il y a Lenny Martinez, il y a Romain Grégoire par exemple. Il y a Kevin Vauquelin bien sûr, qui a été brillant ces dernières semaines, notamment au Tour de Suisse. On compte sur eux. » Plus que sur Julian Alaphilippe.
A son avantage sur le Tour de Suisse, terminé à une probante 5e place, Julian Alaphilippe voit les choses en grand à l’approche du Tour de France. Le coureur de l’équipe Tudor, absent du Tour l’an dernier, espère bien y décrocher une nouvelle victoire d’étape, lui, qui en a déjà remporté six en six participations.
« Gagner une étape, c’est le Graal. Ma première cible c’est la 2e étape, a-t-il confié sur le site du Tour de France. Sur le papier, ça correspond vraiment à nos caractéristiques, avec Marc Hirschi et moi, donc on se concentre sur cette journée. Je suis même allé reconnaître le final ce matin. J’aime bien. On sait qu’il y aura d’autres occasions plus tard, mais c’est bien d’avoir déjà un objectif clair en tête pour bien lancer le Tour. »
Julian Alaphilippe fera évidemment face à une très sérieuse concurrence puisque cette deux étape et les autres que le natif de Saint-Amand-Montrond a cochées sont inévitablement également sur les tablettes des maîtres en la matière, Tadej Pogacar et Mathieu van der Poel. De quoi rendre Christian Prudhomme plutôt pessimiste.
"Ce n’est plus le Julian Alaphilippe flamboyant d’il y a une demi-douzaine d’années"
« Julian Alaphilippe revient sur le Tour mais ce n’est plus le Julian Alaphilippe flamboyant d’il y a une demi-douzaine d’années », a ainsi confié le directeur du Tour de France, qui semble davantage vouloir miser sur les coureurs de la nouvelle génération.
« C’est un changement de génération. Thibaut Pinot est parti. Romain Bardet, lui aussi, vient de partir, a-t-il souligné. En revanche, il y a des jeunes, il y a des nouveaux. Il y a Lenny Martinez, il y a Romain Grégoire par exemple. Il y a Kevin Vauquelin bien sûr, qui a été brillant ces dernières semaines, notamment au Tour de Suisse. On compte sur eux. » Plus que sur Julian Alaphilippe.
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