Jonas Vingegaard, l’horrible chute avant le Tour
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Alors qu’il s’apprête à prendre le départ du Tour de France, Jonas Vingegaard avait abordé la dernière Grande Boucle dans le flou. Conséquence de sa violente chute sur le Tour du Pays-Basque.
A la veille du Tour de France, Jonas Vingegaard assure vouloir seulement se concentrer sur lui-même sans avoir en tête son duel avec Tadej Pogacar. Le leader de la Visma-Lease a Bike a pourtant subi la domination du Slovène lors du récent Critérium du Dauphiné et aborde la Grande Boucle dans la peau du challenger. Ce qui ne l’empêche pas d’être ambitieux.
Surtout, Jonas Vingegaard savoure le fait d’avoir pu préparer ce Tour 2025 normalement, un an après avoir dû composer avec son horrible chute lors du Tour du Pays basque au début du printemps. « Ça a été très difficile pour être honnête. Le plus effrayant, c'est que je n'arrivais plus à respirer et je crachais du sang », s’est-il souvenu au sujet de l’accident dans le documentaire sur le Tour diffusé sur Netflix.
https://x.com/sports_fr/status/1941012402742427789
« Je me demandais si j'allais vivre ou mourir, a-t-il poursuivi. On m'a mis dans l'ambulance et emmené à l'hôpital. J'avais la clavicule cassée et mes deux poumons perforés. C'était très douloureux. Il s'est passé au moins un mois et demi entre l'accident et le moment où j'ai pu reprendre l'entraînement. »
Cette chute a également eu des conséquences sur le long terme. « Je n'ai pas peur, mais je fais plus attention, oui, a-t-il confié dans les colonnes de L’Equipe. Je suis encore là hein, pas mal placé. Quand je me revois avant, on dirait que je n'avais peur de rien. (Il réfléchit.) Peut-être que je ressens un peu la peur, oui, pas de tomber, mais j'ai conscience de ce qui peut arriver et je fais un peu plus attention. Alors que, dans le peloton, j'ai le sentiment que tout le monde prend beaucoup plus de risques qu'il y a quelques années. »
Cette chute permet également à Jonas Vingegaard de relativiser. « Je crois que tout le monde a vu que j'ai été assez malchanceux l'an dernier. Et montrer que je suis encore là, que je peux encore lutter pour la victoire, oui, ce serait un soulagement », a-t-il expliqué.
A la veille du Tour de France, Jonas Vingegaard assure vouloir seulement se concentrer sur lui-même sans avoir en tête son duel avec Tadej Pogacar. Le leader de la Visma-Lease a Bike a pourtant subi la domination du Slovène lors du récent Critérium du Dauphiné et aborde la Grande Boucle dans la peau du challenger. Ce qui ne l’empêche pas d’être ambitieux.
Surtout, Jonas Vingegaard savoure le fait d’avoir pu préparer ce Tour 2025 normalement, un an après avoir dû composer avec son horrible chute lors du Tour du Pays basque au début du printemps. « Ça a été très difficile pour être honnête. Le plus effrayant, c'est que je n'arrivais plus à respirer et je crachais du sang », s’est-il souvenu au sujet de l’accident dans le documentaire sur le Tour diffusé sur Netflix.
https://x.com/sports_fr/status/1941012402742427789
« Je me demandais si j'allais vivre ou mourir, a-t-il poursuivi. On m'a mis dans l'ambulance et emmené à l'hôpital. J'avais la clavicule cassée et mes deux poumons perforés. C'était très douloureux. Il s'est passé au moins un mois et demi entre l'accident et le moment où j'ai pu reprendre l'entraînement. »
"Je fais plus attention"
Cette chute a également eu des conséquences sur le long terme. « Je n'ai pas peur, mais je fais plus attention, oui, a-t-il confié dans les colonnes de L’Equipe. Je suis encore là hein, pas mal placé. Quand je me revois avant, on dirait que je n'avais peur de rien. (Il réfléchit.) Peut-être que je ressens un peu la peur, oui, pas de tomber, mais j'ai conscience de ce qui peut arriver et je fais un peu plus attention. Alors que, dans le peloton, j'ai le sentiment que tout le monde prend beaucoup plus de risques qu'il y a quelques années. »
Cette chute permet également à Jonas Vingegaard de relativiser. « Je crois que tout le monde a vu que j'ai été assez malchanceux l'an dernier. Et montrer que je suis encore là, que je peux encore lutter pour la victoire, oui, ce serait un soulagement », a-t-il expliqué.
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