Evenepoel, une erreur lourde de conséquences

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Au terme d’une 1ere étape du Tour de France qui l’a vu perdre 39 secondes face à Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard, Remco Evenepoel est apparu plus désolé pour son sprinteur Tim Merlier après une erreur du collectif Soudal Quick-Step.
Remco Evenepoel espérait une meilleure entame de Tour de France. Candidat affirmé au podium après avoir terminé troisième l’an passé, le leader de l’équipe Soudal-Quick Step a perdu du temps dès la 1ere étape. En effet, le double champion olympique l’an passé à Paris a coupé la ligne d’arrivée 39 secondes après son compatriote Jasper Philipsen, premier porteur du maillot jaune de cette 112eme édition de la Grande Boucle. Un temps qu’il a également perdu vis-à-vis de Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard mais pas de Primoz Roglic, qui a également été piégé. Car c’est ce qui est arrivé au natif d’Alost.
Alors que son équipe a tenté un coup de bordure après la descente du Mont Cassel, c’est dans une telle phase de course à l’approche des 20 derniers kilomètres que le champion du monde du contre-la-montre a été décroché sans capacité de revenir. Interrogé après avoir conclu cette étape, Remco Evenepoel a admis que son équipe a fait « une grosse erreur » en espérant que cette entame de Tour de France serait paisible avant de confier que « c’est toujours un peu merdique de commencer comme ça ». Faisant fi de sa situation personnelle, le coureur de 25 ans a confié son regret de ne pas avoir pu jouer la victoire d’étape avec son sprinteur.
« Je pense que le plus décevant aujourd’hui (samedi), c'est qu'on n'a pas réussi à aller chercher l'étape avec Tim Merlier, a-t-il lancé dans des propos recueillis par l’AFP. Je crois que c'est plus décevant que ma perte de temps. » Revenant sur les circonstances de la cassure qui lui a été fatale, Remco Evenepoel résume cela en disant qu’il « était trop loin avec l’équipe » avec des coureurs de l’équipe Soudal-Quick Step qui « se sont perdus les uns les autres un petit peu » avant un virage qui a tout déclenché. « On savait que c'était le dernier endroit pour que quelque chose se passe, on le savait, mais on s'est en quelque sorte endormi parce que la course était très calme à ce moment-là », a conclu le vainqueur du maillot blanc de meilleur jeune l’an passé.
Un retard de 39 secondes qui pourrait l’empêcher de jouer le maillot jaune lors du premier contre-la-montre, prévu ce mercredi sur 33 kilomètres autour de Caen. Avant ça, il y aura une étape annoncée comme piégeuse dès ce dimanche entre Lauwin-Planque et Boulogne-sur-Mer avec Remco Evenepoel qui annonce même « une course explosive » qui pourrait à nouveau rebattre les cartes. Après l’échec collectif vu ce samedi, la formation Soudal-Quick Step n’aura pas le droit à l’erreur.
Remco Evenepoel espérait une meilleure entame de Tour de France. Candidat affirmé au podium après avoir terminé troisième l’an passé, le leader de l’équipe Soudal-Quick Step a perdu du temps dès la 1ere étape. En effet, le double champion olympique l’an passé à Paris a coupé la ligne d’arrivée 39 secondes après son compatriote Jasper Philipsen, premier porteur du maillot jaune de cette 112eme édition de la Grande Boucle. Un temps qu’il a également perdu vis-à-vis de Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard mais pas de Primoz Roglic, qui a également été piégé. Car c’est ce qui est arrivé au natif d’Alost.
Alors que son équipe a tenté un coup de bordure après la descente du Mont Cassel, c’est dans une telle phase de course à l’approche des 20 derniers kilomètres que le champion du monde du contre-la-montre a été décroché sans capacité de revenir. Interrogé après avoir conclu cette étape, Remco Evenepoel a admis que son équipe a fait « une grosse erreur » en espérant que cette entame de Tour de France serait paisible avant de confier que « c’est toujours un peu merdique de commencer comme ça ». Faisant fi de sa situation personnelle, le coureur de 25 ans a confié son regret de ne pas avoir pu jouer la victoire d’étape avec son sprinteur.
Evenepoel : « On s'est en quelque sorte endormi »
« Je pense que le plus décevant aujourd’hui (samedi), c'est qu'on n'a pas réussi à aller chercher l'étape avec Tim Merlier, a-t-il lancé dans des propos recueillis par l’AFP. Je crois que c'est plus décevant que ma perte de temps. » Revenant sur les circonstances de la cassure qui lui a été fatale, Remco Evenepoel résume cela en disant qu’il « était trop loin avec l’équipe » avec des coureurs de l’équipe Soudal-Quick Step qui « se sont perdus les uns les autres un petit peu » avant un virage qui a tout déclenché. « On savait que c'était le dernier endroit pour que quelque chose se passe, on le savait, mais on s'est en quelque sorte endormi parce que la course était très calme à ce moment-là », a conclu le vainqueur du maillot blanc de meilleur jeune l’an passé.
Un retard de 39 secondes qui pourrait l’empêcher de jouer le maillot jaune lors du premier contre-la-montre, prévu ce mercredi sur 33 kilomètres autour de Caen. Avant ça, il y aura une étape annoncée comme piégeuse dès ce dimanche entre Lauwin-Planque et Boulogne-sur-Mer avec Remco Evenepoel qui annonce même « une course explosive » qui pourrait à nouveau rebattre les cartes. Après l’échec collectif vu ce samedi, la formation Soudal-Quick Step n’aura pas le droit à l’erreur.
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