Evenepoel en forme avant le Dauphiné

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À un mois du Tour de France, Remco Evenepoel est toujours en phase de préparation. Avant la Grande Boucle, le Belge prépare le Critérium du Dauphiné dans un état de forme intéressant.
On ne l’avait plus vu ni entendu parler de lui depuis plusieurs jours mais cela ne l’a pas empêché de faire le travail en parallèle. Remco Evenepoel fait reparler de lui via son entraîneur Koen Pelgrim. Au quotidien flamand Het Laatste Nieuws mardi, celui qui le suit au quotidien a accepté de parler de son poulain à quelques jours du top départ du Critérium du Dauphiné dont la première étape est programmée ce dimanche entre Domérat et Montluçon (195,8 km).
À l’aube du lancement de ce rendez-vous (8 au 15 juin) préparatoire au Tour de France (5 au 27 juillet), le leader de la Soudal Quick-Step avance dans l’ombre même s’il sait qu’il devra se découvrir d’ici peu puisque Jonas Vingegaard (Visma - Lease a Bike) et Tadej Pogacar (UAE) seront aussi présents.
« Remco est nettement meilleur que l'an dernier, avance Pelgrim dans des propos repris par L’Équipe. Il est un kilo et demi plus léger que l'an dernier à cette période de l'année. La saison passée, nous devions courir après son poids de compétition et sa forme. Le fait qu'il n'ait plus besoin de le faire cette année est positif. »
Tous les feux sont au vert donc pour Remco Evenepoel à l’approche de ces deux évènements importants de la saison, surtout le second. Évidemment, le champion olympique de la course en ligne et du contre-la-montre sait que sa saison a été tronquée par une violente chute à l’entraînement en décembre dernier et qu’à la suite de celle-ci, il n’a pas pu rouler aussi longtemps qu’il l’aurait voulu.
Vainqueur de la Flèche Brabançonne, du chrono du Tour de Romandie et troisième sur l’Amstel Gold Race, le Belge de 25 ans a tout de même de gros objectifs pour cette Grande Boucle et c’est la raison pour laquelle il a filé en Sierra Nevada, en Espagne, pour s’adonner à de longues sorties en montagne. Sa préparation a duré dix-huit jours. Pour autant, comme le rapporte son entraîneur, Evenepoel revient de loin après sa grosse frayeur. « On ne peut pas rattraper quatre mois sans vélo par deux mois d'entraînement et quelques compétitions, nuance Felgrim. On ne peut pas faire de miracle. »
On ne l’avait plus vu ni entendu parler de lui depuis plusieurs jours mais cela ne l’a pas empêché de faire le travail en parallèle. Remco Evenepoel fait reparler de lui via son entraîneur Koen Pelgrim. Au quotidien flamand Het Laatste Nieuws mardi, celui qui le suit au quotidien a accepté de parler de son poulain à quelques jours du top départ du Critérium du Dauphiné dont la première étape est programmée ce dimanche entre Domérat et Montluçon (195,8 km).
À l’aube du lancement de ce rendez-vous (8 au 15 juin) préparatoire au Tour de France (5 au 27 juillet), le leader de la Soudal Quick-Step avance dans l’ombre même s’il sait qu’il devra se découvrir d’ici peu puisque Jonas Vingegaard (Visma - Lease a Bike) et Tadej Pogacar (UAE) seront aussi présents.
« Remco est nettement meilleur que l'an dernier, avance Pelgrim dans des propos repris par L’Équipe. Il est un kilo et demi plus léger que l'an dernier à cette période de l'année. La saison passée, nous devions courir après son poids de compétition et sa forme. Le fait qu'il n'ait plus besoin de le faire cette année est positif. »
Des succès qui font du bien
Tous les feux sont au vert donc pour Remco Evenepoel à l’approche de ces deux évènements importants de la saison, surtout le second. Évidemment, le champion olympique de la course en ligne et du contre-la-montre sait que sa saison a été tronquée par une violente chute à l’entraînement en décembre dernier et qu’à la suite de celle-ci, il n’a pas pu rouler aussi longtemps qu’il l’aurait voulu.
Vainqueur de la Flèche Brabançonne, du chrono du Tour de Romandie et troisième sur l’Amstel Gold Race, le Belge de 25 ans a tout de même de gros objectifs pour cette Grande Boucle et c’est la raison pour laquelle il a filé en Sierra Nevada, en Espagne, pour s’adonner à de longues sorties en montagne. Sa préparation a duré dix-huit jours. Pour autant, comme le rapporte son entraîneur, Evenepoel revient de loin après sa grosse frayeur. « On ne peut pas rattraper quatre mois sans vélo par deux mois d'entraînement et quelques compétitions, nuance Felgrim. On ne peut pas faire de miracle. »
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