Cette fois, Magnier a dû déchanter
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La 2e étape de l'Etoile de Bessèges, ce jeudi entre Domessargues et Marguerittes (165,83 km), a vu la victoire au sprint du puissant Norvégien Sören Waerenskjold (Uno-X Mobility) devant les Français Arnaud Démare et Paul Magnier. Ce dernier, qui avait remporté mercredi la 1ere étape, conserve le maillot de leader.
Les couleurs norvégiennes à l'honneur à l'occasion de la 2e étape du Tour de Bessèges. Promis aux sprinteurs, ce deuxième épisode programmé au lendemain du coup d'éclat d'entrée de Paul Magnier (Soudal Quick-Step), premier leader après sa victoire lors de la 1ere étape, a donné lieu comme annoncé à un sprint massif. Axel Laurance (Ineos Grenadiers), qui avait lancé le premier ce sprint après que Ben Turner s'est écarté, a entrevu un temps la victoire. Elle est finalement revenue à Sören Waerenskjold. Le jeune Norvégien de 24 ans au gabarit impressionnant qui avait débuté sa saison en Espagne la semaine dernière sur le Trofeo Palma, sans pour autant y lever les bras, a réglé tout en puissance cette arrivée massive que le Gallois Joshua Tarling, coéquipier de Laurance, avait tenté d'éviter en sortant du peloton un peu avant la flamme rouge.
Le Gallois a finalement été contraint de reprendre sa place dans le peloton. Et c'est en spectateur uniquement qu'il a assisté à la première victoire de la saison du costaud sprinteur de l'équipe Uno-X Mobility, revenu à pleine vitesse derrière ses concurrents lors de ce sprint marqué par la grosse chute de l'Espagnol Marc Brustenga (Kern Pharma), qui aurait déjanté, pour tous les déborder et ajouter un treizième succès à son compteur en carrière, lui qui affiche notamment à son palmarès deux victoires sur le Tour du Poitou-Charentes et une sur le Tour de Belgique.
Il s'en est fallu de peu toutefois que cette 2e étape ne sourie comme la veille à l'un de nos représentants. Arnaud Démare (Arkéa-B&B Hotels), qui peut regretter d'avoir fourni son effort un peu trop tard, a finalement dû se contenter de la 2eme place derrière le vainqueur du jour mais devant Magnier, qui s'offre du même coup un nouveau podium, même si ce n'est pas celui que la jeune pépite tricolore escomptait. L'ex-coéquipier de Julian Alaphilippe conserve néanmoins son maillot de leader, au prix des bonifications.
Les couleurs norvégiennes à l'honneur à l'occasion de la 2e étape du Tour de Bessèges. Promis aux sprinteurs, ce deuxième épisode programmé au lendemain du coup d'éclat d'entrée de Paul Magnier (Soudal Quick-Step), premier leader après sa victoire lors de la 1ere étape, a donné lieu comme annoncé à un sprint massif. Axel Laurance (Ineos Grenadiers), qui avait lancé le premier ce sprint après que Ben Turner s'est écarté, a entrevu un temps la victoire. Elle est finalement revenue à Sören Waerenskjold. Le jeune Norvégien de 24 ans au gabarit impressionnant qui avait débuté sa saison en Espagne la semaine dernière sur le Trofeo Palma, sans pour autant y lever les bras, a réglé tout en puissance cette arrivée massive que le Gallois Joshua Tarling, coéquipier de Laurance, avait tenté d'éviter en sortant du peloton un peu avant la flamme rouge.
Le Gallois a finalement été contraint de reprendre sa place dans le peloton. Et c'est en spectateur uniquement qu'il a assisté à la première victoire de la saison du costaud sprinteur de l'équipe Uno-X Mobility, revenu à pleine vitesse derrière ses concurrents lors de ce sprint marqué par la grosse chute de l'Espagnol Marc Brustenga (Kern Pharma), qui aurait déjanté, pour tous les déborder et ajouter un treizième succès à son compteur en carrière, lui qui affiche notamment à son palmarès deux victoires sur le Tour du Poitou-Charentes et une sur le Tour de Belgique.
Magnier toujours leader
Il s'en est fallu de peu toutefois que cette 2e étape ne sourie comme la veille à l'un de nos représentants. Arnaud Démare (Arkéa-B&B Hotels), qui peut regretter d'avoir fourni son effort un peu trop tard, a finalement dû se contenter de la 2eme place derrière le vainqueur du jour mais devant Magnier, qui s'offre du même coup un nouveau podium, même si ce n'est pas celui que la jeune pépite tricolore escomptait. L'ex-coéquipier de Julian Alaphilippe conserve néanmoins son maillot de leader, au prix des bonifications.
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