Bernard Hinault, la triste révélation
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Alors qu’il fête ce jeudi ses 70 ans, Bernard Hinault a pris conscience du temps qui passe ces dernières années.
A l’en croire, Bernard Hinault aurait pu oublier qu’il fête, ce jeudi, ses 70 ans. « Ce sont les gens autour de moi qui me le rappellent depuis quelques jours », a-t-il confié dans une longue interview à L’Equipe. Pour autant, l’ancien coureur a pris de plein fouet le caractère inéluctable du temps depuis longtemps. « Arrivé à 50 ans, on commence à comprendre et à s’inquiéter de certaines choses », a-t-il soufflé.
« Quand mes parents sont décédés et, plus récemment, mon beau-frère. Ce sont des moments de doutes évidemment, mon beau-frère était encore jeune et il a été emporté par le cancer », a-t-il expliqué. Une disparition qui l’a poussé à s’engager dans la lutte contre la maladie en aidant l’association Souffles d’espoir, avec à la clé des rencontres émouvantes.
« Il y a parfois des chocs, évidemment, quand on se retrouve face à des enfants atteints de leucémie comme ceux que j’avais rencontrés à l’hôpital Saint-Louis. De se dire que, parmi eux, certains ne s’en sortiront pas reste des souvenirs difficiles », a-t-il expliqué, ajoutant : « Mais il y a aussi des moments de bonheur comme ces retrouvailles avec un petit Lorientais qui m’avait accroché le pantalon au départ d’une étape de course. Il m’avait demandé si je me souvenais de lui, il était à l’hôpital Saint-Louis. Ça marque… »
Bernard Hinault donne de sa personne mais également des souvenirs, à l’instar de ses maillots jaunes qu’il n’hésite pas à mettre aux enchères. « Quand on met aux enchères un de mes maillots jaunes, je peux vous assurer que la cote monte très haut, a-t-il asséné. Il ne m’en reste plus beaucoup chez moi, mais je sais qu’ils servent à une cause importante. Je veux aider à mon niveau, grâce à cet engagement et donc grâce à mon nom qui parle encore à beaucoup de gens. »
A l’en croire, Bernard Hinault aurait pu oublier qu’il fête, ce jeudi, ses 70 ans. « Ce sont les gens autour de moi qui me le rappellent depuis quelques jours », a-t-il confié dans une longue interview à L’Equipe. Pour autant, l’ancien coureur a pris de plein fouet le caractère inéluctable du temps depuis longtemps. « Arrivé à 50 ans, on commence à comprendre et à s’inquiéter de certaines choses », a-t-il soufflé.
« Quand mes parents sont décédés et, plus récemment, mon beau-frère. Ce sont des moments de doutes évidemment, mon beau-frère était encore jeune et il a été emporté par le cancer », a-t-il expliqué. Une disparition qui l’a poussé à s’engager dans la lutte contre la maladie en aidant l’association Souffles d’espoir, avec à la clé des rencontres émouvantes.
Bernard Hinault en première ligne
« Il y a parfois des chocs, évidemment, quand on se retrouve face à des enfants atteints de leucémie comme ceux que j’avais rencontrés à l’hôpital Saint-Louis. De se dire que, parmi eux, certains ne s’en sortiront pas reste des souvenirs difficiles », a-t-il expliqué, ajoutant : « Mais il y a aussi des moments de bonheur comme ces retrouvailles avec un petit Lorientais qui m’avait accroché le pantalon au départ d’une étape de course. Il m’avait demandé si je me souvenais de lui, il était à l’hôpital Saint-Louis. Ça marque… »
Bernard Hinault donne de sa personne mais également des souvenirs, à l’instar de ses maillots jaunes qu’il n’hésite pas à mettre aux enchères. « Quand on met aux enchères un de mes maillots jaunes, je peux vous assurer que la cote monte très haut, a-t-il asséné. Il ne m’en reste plus beaucoup chez moi, mais je sais qu’ils servent à une cause importante. Je veux aider à mon niveau, grâce à cet engagement et donc grâce à mon nom qui parle encore à beaucoup de gens. »
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