Une star du basket français tire sa révérence
Publié le , mis à jour le
C’est une page du basket féminin tricolore qui se tourne avec le départ en retraite de Sandrine Gruda.
On savait le chapitre bleu clos pour Nicolas Batum et Nando De Colo ; même chose pour Sarah Michel au sortir de Jeux Olympiques parisiens mémorables en dépit d’un final malheureux pour ces dames comme pour ces messieurs. Sandrine Gruda est allée plus loin encore, en raccrochant purement et simplement.
La meilleure marqueuse de l'histoire des Bleues (2878 points), âgée de 37 ans, a décidé de prendre sa retraite sportive au lendemain d’une grand-messe olympique à laquelle elle n’a pas été conviée par le sélectionneur tricolore Jean-Aimé Toupane. Un rendez-vous manqué qui ne l’a pas empêché de recevoir l’ovation nourrie de Bercy dimanche dernier.
Du haut de ses 225 capes internationales, la pivot avait prévu déjà de tirer sa révérence sur les JO de Paris 2024. Une belle occasion qu’elle n’a donc pas eue mais qui n’enlève rien à sa grande carrière, et notamment ses neuf médailles décrochées avec l'équipe de France, dont le bronze olympique il y a trois à Tokyo et l’argent des Jeux de Londres en 2012.
Avec les Bleues, l’intéressée aura conquis son graal en 2009, championne d’Europe en Lettonie avec les fameuses "Braqueuses". En club, Sandrine Gruda peut s’enorgueillir d’avoir remporté deux fois l’Euroligue avec le club russe d'Ekaterinbourg (2013 et 2016). Mais aussi un titre en WNBA avec les Los Angeles Sparks. Elle a du reste été sacrée championne de France à deux reprises, en 2007 avec Valenciennes et en 2023 avec l'Asvel.
On savait le chapitre bleu clos pour Nicolas Batum et Nando De Colo ; même chose pour Sarah Michel au sortir de Jeux Olympiques parisiens mémorables en dépit d’un final malheureux pour ces dames comme pour ces messieurs. Sandrine Gruda est allée plus loin encore, en raccrochant purement et simplement.
La meilleure marqueuse de l'histoire des Bleues (2878 points), âgée de 37 ans, a décidé de prendre sa retraite sportive au lendemain d’une grand-messe olympique à laquelle elle n’a pas été conviée par le sélectionneur tricolore Jean-Aimé Toupane. Un rendez-vous manqué qui ne l’a pas empêché de recevoir l’ovation nourrie de Bercy dimanche dernier.
Championne d’Europe avec les Bleues en 2009
Du haut de ses 225 capes internationales, la pivot avait prévu déjà de tirer sa révérence sur les JO de Paris 2024. Une belle occasion qu’elle n’a donc pas eue mais qui n’enlève rien à sa grande carrière, et notamment ses neuf médailles décrochées avec l'équipe de France, dont le bronze olympique il y a trois à Tokyo et l’argent des Jeux de Londres en 2012.
More than medals: The unforgettable legacy of @Sandrine_Gruda 👑
— FIBA Women's EuroBasket 🏀 (@EuroBasketWomen) August 14, 2024
A national team powerhouse for @FRABasketball 🇫🇷 & @EuroLeagueWomen legend, is calling time on her career.#EuroBasketWomenhttps://t.co/M3uDi4KJCL
Avec les Bleues, l’intéressée aura conquis son graal en 2009, championne d’Europe en Lettonie avec les fameuses "Braqueuses". En club, Sandrine Gruda peut s’enorgueillir d’avoir remporté deux fois l’Euroligue avec le club russe d'Ekaterinbourg (2013 et 2016). Mais aussi un titre en WNBA avec les Los Angeles Sparks. Elle a du reste été sacrée championne de France à deux reprises, en 2007 avec Valenciennes et en 2023 avec l'Asvel.
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