Les Bleues ratent le podium
Publié le
Après le court échec face à l’Espagne lors des demi-finales, les Bleues ont chuté face à l’Italie (54-69) à l’occasion de la petite finale et manquent le podium de l’Euro féminin pour la première fois depuis 2007.
La fin d’Euro féminin 2025 a tourné à l’aigre pour les Bleues. A peine 48 heures après une cruelle défaite contre l’Espagne aux portes de la finale, les joueuses de Jean-Aimé Toupane n’ont pas trouvé la solution pour aller chercher la médaille de bronze face à l’Italie. Une petite finale qui a débuté avec deux équipes qui se sont rendu coup pour coup avec Francesca Pasa (6 points) à la manœuvre pour les Transalpines et Janelle Salaün (9 points) pour mener l’attaque tricolore.
Si la sélection italienne a imaginé commencé à prendre le large quand l’écart a atteint cinq longueurs à quatre minutes de la fin du premier quart-temps, c’était sans compter sur la capacité de réaction des Tricolores. Grâce notamment à Migna Touré (13 points), les Bleues ont repris la main au tableau d’affichage. Toutefois, un dernier tir signé Costanza Verona (11 points, 5 rebonds, 5 passes) a permis à l’Italie de conclure ces dix premières minutes avec une avance d’une longueur.
Un avantage que la Squadra Azzurra n’a pas lâché durant un deuxième quart-temps qui a vu l’équipe de France courir sans cesse au score. Si elles ont su revenir à une unité sous l’impulsion de Migna Touré, les Bleues n’ont pas su faire le pas de plus pour mettre l’Italie sous pression. Cecilia Zandalasini (20 points) a même permis à son équipe de repousser les Tricolores à six points à la mi-temps grâce à un tir réussi puis deux lancers francs convertis. Le discours de Jean-Aimé Toupane dans l’intimité du vestiaire n’a pas eu l’efficacité attendue par l’encadrement technique des Bleues.
En effet, ce sont les Italiennes qui ont appuyé encore plus fort dès le retour sur le parquet du Peace and Friendship Stadium du Pirée. Profitant des maladresses françaises, les joueuses d’Andrea Capobianco ont signé un 8-2 conclu par Jasmine Keys (5 points) pour dépasser la barre des dix unités d’avance pour la première fois de la rencontre.
A l’orgueil, les Tricolores ont essayé de réagir mais sans parvenir à revenir à moins de six points avant la fin du troisième quart-temps. L’entame du quatrième a vu Janelle Salaün sonner la révolte pour ramener les Bleues à trois points avec neuf minutes encore à jouer. Toutefois, les maladresses se sont multipliées de part et d’autre, le score ne bougeant pas pendant plus de deux minutes. Ce qui a fait le jeu des Transalpines, qui ont été les premières à retrouver de l’efficacité avec Olbis Andre (4 points, 6 rebonds). Cette petite finale a définitivement tourné en défaveur des Bleues, qui ont lâché dans la tête.
Terminant le match sur un 6-0 emmené par Martina Fassina (5 points) et Lorela Cubaj (10 points), l’Italie l’emporte de quinze points (54-69) et met fin à une disette de 30 ans lors d’un championnat d’Europe. Un an après la médaille d’argent olympique et avec un groupe largement renouvelé, les Bleues quittent la Grèce sur un échec et terminent hors du podium continental pour la première fois depuis 2007.
La fin d’Euro féminin 2025 a tourné à l’aigre pour les Bleues. A peine 48 heures après une cruelle défaite contre l’Espagne aux portes de la finale, les joueuses de Jean-Aimé Toupane n’ont pas trouvé la solution pour aller chercher la médaille de bronze face à l’Italie. Une petite finale qui a débuté avec deux équipes qui se sont rendu coup pour coup avec Francesca Pasa (6 points) à la manœuvre pour les Transalpines et Janelle Salaün (9 points) pour mener l’attaque tricolore.
Si la sélection italienne a imaginé commencé à prendre le large quand l’écart a atteint cinq longueurs à quatre minutes de la fin du premier quart-temps, c’était sans compter sur la capacité de réaction des Tricolores. Grâce notamment à Migna Touré (13 points), les Bleues ont repris la main au tableau d’affichage. Toutefois, un dernier tir signé Costanza Verona (11 points, 5 rebonds, 5 passes) a permis à l’Italie de conclure ces dix premières minutes avec une avance d’une longueur.
Les Bleues prises de vitesse à la reprise
Un avantage que la Squadra Azzurra n’a pas lâché durant un deuxième quart-temps qui a vu l’équipe de France courir sans cesse au score. Si elles ont su revenir à une unité sous l’impulsion de Migna Touré, les Bleues n’ont pas su faire le pas de plus pour mettre l’Italie sous pression. Cecilia Zandalasini (20 points) a même permis à son équipe de repousser les Tricolores à six points à la mi-temps grâce à un tir réussi puis deux lancers francs convertis. Le discours de Jean-Aimé Toupane dans l’intimité du vestiaire n’a pas eu l’efficacité attendue par l’encadrement technique des Bleues.
En effet, ce sont les Italiennes qui ont appuyé encore plus fort dès le retour sur le parquet du Peace and Friendship Stadium du Pirée. Profitant des maladresses françaises, les joueuses d’Andrea Capobianco ont signé un 8-2 conclu par Jasmine Keys (5 points) pour dépasser la barre des dix unités d’avance pour la première fois de la rencontre.
L’Italie a terminé en boulet de canon
A l’orgueil, les Tricolores ont essayé de réagir mais sans parvenir à revenir à moins de six points avant la fin du troisième quart-temps. L’entame du quatrième a vu Janelle Salaün sonner la révolte pour ramener les Bleues à trois points avec neuf minutes encore à jouer. Toutefois, les maladresses se sont multipliées de part et d’autre, le score ne bougeant pas pendant plus de deux minutes. Ce qui a fait le jeu des Transalpines, qui ont été les premières à retrouver de l’efficacité avec Olbis Andre (4 points, 6 rebonds). Cette petite finale a définitivement tourné en défaveur des Bleues, qui ont lâché dans la tête.
Terminant le match sur un 6-0 emmené par Martina Fassina (5 points) et Lorela Cubaj (10 points), l’Italie l’emporte de quinze points (54-69) et met fin à une disette de 30 ans lors d’un championnat d’Europe. Un an après la médaille d’argent olympique et avec un groupe largement renouvelé, les Bleues quittent la Grèce sur un échec et terminent hors du podium continental pour la première fois depuis 2007.
Publicité
