La mise au point de Parker

Publié le
Alors que des bruits de couloir font état d'une ASVEL au plus mal financièrement, Tony Parker met les choses au clair ce mardi dans L'Equipe et assure qu'il n'y a pas à s'inquiéter pour le club villeurbannais qu'il préside. Et qui reprendra tout à fait normalement la compétition la saison prochaine, à l'entendre.
Certains annoncent que le navire ASVEL tangue très sérieusement. D'autres croient savoir que les déboires financier du club villeurbannais, très importants, pourraient l'obliger à mettre la clé sous la porte dans le pire des cas, à redescendre de plusieurs échelons dans le moins grave. Ses couleurs attaquées ? Tony Parker monte au créneau.
Dans L'Equipe ce mardi, l'emblématique président de l'ASVEL assure qu'il n'y a pas à s'inquiéter pour son club, au même titre que contrairement à ce que beaucoup pensent ou avancent, la situation, bien que problématique (NDLR : En atteste la rétrogradation en première instance de l'équipe féminine en ligue régionale, pour laquelle l'ASVEL va néanmoins faire appel), est loin d'être désespérée.
"Il n’y a jamais eu de risque de rétrogradation. Le plus important est d’avoir laissé passer la tempête", jure l'ancien meneur des Spurs et des Bleus, qui déplore que tant de mauvaises langues viennent faire du tort au club rhodanien, sans connaître la vérité. Qu'il tient à rétablir lors de cette mise au point dans le quotidien. "Il y a eu beaucoup de rumeurs, de gens qui aiment parler. Mais en dix ans, on n’avait jamais eu aucun problème. Sans notre plus gros sponsor (NDLR : Le diffuseur Skweek), qui ne paie toujours pas, en qui nous ne sommes pas les seuls à avoir eu confiance, tout irait bien." Tout ne va donc pas si bien que l'on pourrait le penser.
Toutefois, "TP" a trouvé comment combler ce déficit (estimé à 6 millions d'euros) qu'il évoque. Et cela ne passera pas par des fonds étrangers mais par "une solution interne", d'après l'intéressé. "On a regardé plusieurs solutions et au final, on a décidé de régler cela en interne, entre actionnaires, pour continuer cette aventure où tout le monde a beaucoup investi et où on est à l’aube, je crois, de voir quelque chose de grand arriver…" Et même si Parker avait pour intention de ne plus "mettre au pot", il n'a pas eu d'autre choix que de revoir une nouvelle fois sa position. "Je vais encore participer cet été, comme tous les actionnaires." Avec donc à l'horizon ce fameux "quelque chose de grand".
L'homme fort de l'ASVEL fait bien évidemment là référence à ce pharaonique projet de NBA Europe, qui pourrait naître de l'association entre la NBA et l'Euroligue. Et auquel il croit dur comme fer, certain que cela changerait tout pour son club notamment. "Je pousse pour un accord. Un gros truc va sortir, on investit tous avec ça en tête. Quand cela se concrétisera, la valeur du club ne sera plus la même."
Certains annoncent que le navire ASVEL tangue très sérieusement. D'autres croient savoir que les déboires financier du club villeurbannais, très importants, pourraient l'obliger à mettre la clé sous la porte dans le pire des cas, à redescendre de plusieurs échelons dans le moins grave. Ses couleurs attaquées ? Tony Parker monte au créneau.
Dans L'Equipe ce mardi, l'emblématique président de l'ASVEL assure qu'il n'y a pas à s'inquiéter pour son club, au même titre que contrairement à ce que beaucoup pensent ou avancent, la situation, bien que problématique (NDLR : En atteste la rétrogradation en première instance de l'équipe féminine en ligue régionale, pour laquelle l'ASVEL va néanmoins faire appel), est loin d'être désespérée.
"Il n’y a jamais eu de risque de rétrogradation. Le plus important est d’avoir laissé passer la tempête", jure l'ancien meneur des Spurs et des Bleus, qui déplore que tant de mauvaises langues viennent faire du tort au club rhodanien, sans connaître la vérité. Qu'il tient à rétablir lors de cette mise au point dans le quotidien. "Il y a eu beaucoup de rumeurs, de gens qui aiment parler. Mais en dix ans, on n’avait jamais eu aucun problème. Sans notre plus gros sponsor (NDLR : Le diffuseur Skweek), qui ne paie toujours pas, en qui nous ne sommes pas les seuls à avoir eu confiance, tout irait bien." Tout ne va donc pas si bien que l'on pourrait le penser.
Quand Parker mise tout sur la NBA Europe...
Toutefois, "TP" a trouvé comment combler ce déficit (estimé à 6 millions d'euros) qu'il évoque. Et cela ne passera pas par des fonds étrangers mais par "une solution interne", d'après l'intéressé. "On a regardé plusieurs solutions et au final, on a décidé de régler cela en interne, entre actionnaires, pour continuer cette aventure où tout le monde a beaucoup investi et où on est à l’aube, je crois, de voir quelque chose de grand arriver…" Et même si Parker avait pour intention de ne plus "mettre au pot", il n'a pas eu d'autre choix que de revoir une nouvelle fois sa position. "Je vais encore participer cet été, comme tous les actionnaires." Avec donc à l'horizon ce fameux "quelque chose de grand".
L'homme fort de l'ASVEL fait bien évidemment là référence à ce pharaonique projet de NBA Europe, qui pourrait naître de l'association entre la NBA et l'Euroligue. Et auquel il croit dur comme fer, certain que cela changerait tout pour son club notamment. "Je pousse pour un accord. Un gros truc va sortir, on investit tous avec ça en tête. Quand cela se concrétisera, la valeur du club ne sera plus la même."
Publicité