Euroligue: Paris est magique !
Publié le , mis à jour le
Paris a aligné un quatrième succès de rang (74-71), ce jeudi sur son parquet lors de la 8eme journée d'Euroligue, en disposant du Partizan Belgrade de Frank Ntilikina. Les Parisiens grimpent provisoirement dans le Top 6.
Et de quatre ! Jeudi soir à l'occasion de la venue d'une équipe du Partizan Belgrade mal en point pour le compte de la 8eme journée d'Euroligue, Paris avait l'occasion de poursuivre sa très belle série en alignant une quatrième victoire et la cinquième en six matchs. Les Parisiens n'ont pas laissé passer l'opportunité. Vainqueurs dans la douleur d'un Partizan qui s'est donné les moyens d'y croire jusqu'au bout, TJ Shorts (13 points, 8 passes) et les siens en profitent pour s'inviter provisoirement dans le Top 6, tandis que leur victime du soir, battue pour la quatrième fois de suite, recule en 16eme position. Sur le parquet, les dix places d'écart qui séparent désormais les deux équipes ne s'est jamais vu. Paris, sur la lancée de ses dernières sorties, avait, certes, mieux entamé la rencontre.
A la pause, néanmoins, son adversaire était déjà pratiquement revenu au contact. Les prémices d'un début de troisième quart-temps qui a vu les joueurs de Tiago Splitter passer complètement au travers, un panier de Brandon Davies permettant même aux visiteurs, qui étaient passés devant au score pour la première fois, de prendre cinq points d'avance. Paris a eu la bonne idée de ne pas se morfondre et de toute de suite se relancer. Pour cela, il a pu compter sur le soutien précieux de deux hommes en particulier : Tyson Ward (7 points) et Yakuba Ouattara (11 points). Le second a redonné de l'allant ainsi que de l'avance à son équipe alors que la dernière période venait de démarrer. Cette fois, Paris, à l'image d'un Kevarius Hayes (6 points) qui enfonçait le clou et d'un Nadir Hifi toujours aussi important (17 points), avait mis le réveil. Il n'empêche que le Partizan ne lâchait toujours rien et qu'à quatre minutes de la fin, le score était toujours aussi serré.
Il l'a un peu moins été lorsque TJ Shorts, longtemps discret, est ressorti de sa boîte pour donner quatre points d'avance aux Parisiens. Deux minutes plus tard, tout était à refaire pour le PB, plombé sur un shoot de loin de Vanja Marinkovic (16 points) puis sur un bel effort de Carlik dans la raquette. L'homme de la soirée (20 points, 10 passes) venait de profiter d'un tir de loin manqué par son coéquipier français Frank Ntilikina. Sans le vouloir, ce dernier allait faire ensuite le jeu de Paris. Tandis que l'ancien meneur des Knicks a multiplié les shoots ratés (1 sur 5 à deux points, 2 sur 5 à trois points), en particulier dans le money time, les Parisiens n'ont pas tremblé sur la ligne des lancers. Et si Iffe Lundberg, pas plus adroit que Ntilikina dans les dernières secondes, a eu le ballon pour égaliser, TJ Shorts et Mikael Jantunen (9 points) ont pu inscrire quatre points synonymes à l'arrivée de nouveau succès pour notre représentant. Aujourd'hui le meilleur club français en Euroligue n'est pas Monaco ou l'ASVEL mais bien le novice parisien.
Et de quatre ! Jeudi soir à l'occasion de la venue d'une équipe du Partizan Belgrade mal en point pour le compte de la 8eme journée d'Euroligue, Paris avait l'occasion de poursuivre sa très belle série en alignant une quatrième victoire et la cinquième en six matchs. Les Parisiens n'ont pas laissé passer l'opportunité. Vainqueurs dans la douleur d'un Partizan qui s'est donné les moyens d'y croire jusqu'au bout, TJ Shorts (13 points, 8 passes) et les siens en profitent pour s'inviter provisoirement dans le Top 6, tandis que leur victime du soir, battue pour la quatrième fois de suite, recule en 16eme position. Sur le parquet, les dix places d'écart qui séparent désormais les deux équipes ne s'est jamais vu. Paris, sur la lancée de ses dernières sorties, avait, certes, mieux entamé la rencontre.
A la pause, néanmoins, son adversaire était déjà pratiquement revenu au contact. Les prémices d'un début de troisième quart-temps qui a vu les joueurs de Tiago Splitter passer complètement au travers, un panier de Brandon Davies permettant même aux visiteurs, qui étaient passés devant au score pour la première fois, de prendre cinq points d'avance. Paris a eu la bonne idée de ne pas se morfondre et de toute de suite se relancer. Pour cela, il a pu compter sur le soutien précieux de deux hommes en particulier : Tyson Ward (7 points) et Yakuba Ouattara (11 points). Le second a redonné de l'allant ainsi que de l'avance à son équipe alors que la dernière période venait de démarrer. Cette fois, Paris, à l'image d'un Kevarius Hayes (6 points) qui enfonçait le clou et d'un Nadir Hifi toujours aussi important (17 points), avait mis le réveil. Il n'empêche que le Partizan ne lâchait toujours rien et qu'à quatre minutes de la fin, le score était toujours aussi serré.
Paris peut remercier... Ntilikina
Il l'a un peu moins été lorsque TJ Shorts, longtemps discret, est ressorti de sa boîte pour donner quatre points d'avance aux Parisiens. Deux minutes plus tard, tout était à refaire pour le PB, plombé sur un shoot de loin de Vanja Marinkovic (16 points) puis sur un bel effort de Carlik dans la raquette. L'homme de la soirée (20 points, 10 passes) venait de profiter d'un tir de loin manqué par son coéquipier français Frank Ntilikina. Sans le vouloir, ce dernier allait faire ensuite le jeu de Paris. Tandis que l'ancien meneur des Knicks a multiplié les shoots ratés (1 sur 5 à deux points, 2 sur 5 à trois points), en particulier dans le money time, les Parisiens n'ont pas tremblé sur la ligne des lancers. Et si Iffe Lundberg, pas plus adroit que Ntilikina dans les dernières secondes, a eu le ballon pour égaliser, TJ Shorts et Mikael Jantunen (9 points) ont pu inscrire quatre points synonymes à l'arrivée de nouveau succès pour notre représentant. Aujourd'hui le meilleur club français en Euroligue n'est pas Monaco ou l'ASVEL mais bien le novice parisien.
Publicité