Elite: Paris touche au but
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De nouveau vainqueur de Bourg-en-Bresse (117-103), vendredi soir sur le parquet de l'Adidas Arena lors du match 2 des demi-finales de Betclic Elite, Paris, mené par un TJ Shorts monstrueux (34 points, 11 passes, 43 d'évaluation), fait le break dans la série avant de retrouver les joueurs de Frédéric Fauthoux dimanche, cette fois dans la Bresse. Les Parisiens ne sont plus qu'à une victoire d'une nouvelle finale.
Cette équipe de Paris est décidément impitoyable. Plus encore lorsqu'elle se retrouve face à Bourg-en-Bresse, l'une de ses victimes préférées de ces dernières années. Comme cela avait déjà été le cas lors du match 1, deux jours plus tôt déjà sur le parquet de l'Adidas Arena (100-89), les Parisiens ont surclassé la JLB (117-103), battue là pour la cinquième fois en cinq matchs cette saison face aux premiers de la saison régulière et qui n'a plus connu la victoire contre l'équipe de la capitale depuis le 16 décembre 2023 (huit défaites consécutives, série en cours).
Dimanche, lors du match 2 de cette demi-finale de Betclic Elite, le premier de la série sur le terrain de Bourg, les joueurs de Frédéric Fauthoux n'auront toutefois pas d'autre choix que de stopper l'hémorragie et de renouer avec le succès face à Paris. Auquel cas, Tiago Splitter et ses hommes pourront célébrer avant tout le monde (dans l'autre demi-finale, Monaco et l'ASVEL disputeront forcément un match 4) leur deuxième qualification en deux ans en finale, un an après le revers face à Monaco. Il n'y aurait rien de surprenant à ce que cela soit le cas. Cette équipe parisienne qui a débuté ces play-offs dans la peau de grand favori pour le titre - ce qui n'était pas le cas la saison dernière - a en effet nettement pris le dessus vendredi sur Bourg dans ce match 2 en dépit de l'excellent match de Taî Webster (20 points côté bressan).
Comme mercredi, les vainqueurs de la Coupe de France cette saison (pour la première fois de leur histoire) ont pris leur temps (Bourg menait de deux points à la pause : 57-55) avant de se détacher définitivement au cours d'un troisième quart-temps venu une nouvelle fois matérialiser leur supériorité. Paris, qui a compté jusqu'à vingt points d'avance sous les yeux de son nouveau copropriétaire de luxe Omar Sy, déchaîné au bord du parquet, a alors pu voir tranquillement venir et continuer d'enquiller les paniers, avec un total assez incroyable de 117 points à l'arrivée. Sur ces 117 points, TJ Shorts, auteur de l'un de ses plus beaux matchs sous le maillot parisien (43 d'évaluation !), en a marqué 34 (à 10 sur 14 aux tirs, dont 3 sur 5 à trois points).
Eblouissant, avec également 11 passes à son compteur, le meneur américain, auteur d'un double-double à faire perdre la tête, a fait vivre un enfer à ses adversaires, pas épargnés non plus par un Nadir Hifi, l'autre star de l'équipe, également en très grande forme (21 points à 2 sur 5 à trois points). Dans une Ekinox à guichets fermés, Bourg est capable de tous les exploits, y compris face à Paris. Il semble néanmoins que cette nouvelle démonstration soit venue sonner le glas des espoirs de la JLB. A elle de prouver le contraire.
Cette équipe de Paris est décidément impitoyable. Plus encore lorsqu'elle se retrouve face à Bourg-en-Bresse, l'une de ses victimes préférées de ces dernières années. Comme cela avait déjà été le cas lors du match 1, deux jours plus tôt déjà sur le parquet de l'Adidas Arena (100-89), les Parisiens ont surclassé la JLB (117-103), battue là pour la cinquième fois en cinq matchs cette saison face aux premiers de la saison régulière et qui n'a plus connu la victoire contre l'équipe de la capitale depuis le 16 décembre 2023 (huit défaites consécutives, série en cours).
Dimanche, lors du match 2 de cette demi-finale de Betclic Elite, le premier de la série sur le terrain de Bourg, les joueurs de Frédéric Fauthoux n'auront toutefois pas d'autre choix que de stopper l'hémorragie et de renouer avec le succès face à Paris. Auquel cas, Tiago Splitter et ses hommes pourront célébrer avant tout le monde (dans l'autre demi-finale, Monaco et l'ASVEL disputeront forcément un match 4) leur deuxième qualification en deux ans en finale, un an après le revers face à Monaco. Il n'y aurait rien de surprenant à ce que cela soit le cas. Cette équipe parisienne qui a débuté ces play-offs dans la peau de grand favori pour le titre - ce qui n'était pas le cas la saison dernière - a en effet nettement pris le dessus vendredi sur Bourg dans ce match 2 en dépit de l'excellent match de Taî Webster (20 points côté bressan).
Un TJ Shorts de gala
Comme mercredi, les vainqueurs de la Coupe de France cette saison (pour la première fois de leur histoire) ont pris leur temps (Bourg menait de deux points à la pause : 57-55) avant de se détacher définitivement au cours d'un troisième quart-temps venu une nouvelle fois matérialiser leur supériorité. Paris, qui a compté jusqu'à vingt points d'avance sous les yeux de son nouveau copropriétaire de luxe Omar Sy, déchaîné au bord du parquet, a alors pu voir tranquillement venir et continuer d'enquiller les paniers, avec un total assez incroyable de 117 points à l'arrivée. Sur ces 117 points, TJ Shorts, auteur de l'un de ses plus beaux matchs sous le maillot parisien (43 d'évaluation !), en a marqué 34 (à 10 sur 14 aux tirs, dont 3 sur 5 à trois points).
Eblouissant, avec également 11 passes à son compteur, le meneur américain, auteur d'un double-double à faire perdre la tête, a fait vivre un enfer à ses adversaires, pas épargnés non plus par un Nadir Hifi, l'autre star de l'équipe, également en très grande forme (21 points à 2 sur 5 à trois points). Dans une Ekinox à guichets fermés, Bourg est capable de tous les exploits, y compris face à Paris. Il semble néanmoins que cette nouvelle démonstration soit venue sonner le glas des espoirs de la JLB. A elle de prouver le contraire.
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