Une ancienne ministre des Sports aux commandes du CNOSF ?

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Via un courrier adressé aux présidents des différentes fédérations, Amélie Oudéa-Castéra (47 ans), l'ex-ministre des Sports en poste pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024, a annoncé officiellement ce jeudi sa candidature à la présidence du Comité national olympique et sportif français (CNOSF).
Une ancienne ministre pour succéder à David Lappartient ? Le 21 mars dernier, vingt-quatre heures après avoir échoué dans sa quête pour devenir le nouveau président du Comité international olympique (CIO), le toujours président de l'Union cycliste international (UCI) avait annoncé qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat à la tête du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), ne serait-ce qu'en vertu de l'engagement qu'il avait pris dans une lettre adressée à l'ensemble du mouvement sportif.
"Si le cumul de ces engagements a été possible pendant ces deux années au prix d'un investissement personnel très conséquent, je ne crois pas qu'il soit souhaitable, en dehors des circonstances exceptionnelles qui ont été celles des deux dernières années, que le président du CNOSF ne soit pas plus encore concentré sur sa mission à votre service." Depuis différents candidats s'étaient déclarés, dont Cédric Gosse, le président de la fédération française de triathlon, et Didier Séminet, ex-secrétaire général de l'instance. A ces deux postulants, il convient désormais d'ajouter Amélie Oudéa-Castéra (47 ans).
L'ancienne ministre des Sports (mais également ministre de l'Education nationale et de la jeunesse) - du 20 mai 2022 au 21 septembre 2024 - a annoncé officiellement sa candidature ce jeudi via un courrier envoyé aux différents présidents des fédérations. D'après plusieurs sources proches du CNOSF et citées par l'AFP, Cédric Gosse devrait se retirer de la course à la présidence pour soutenir l'ancienne joueuse de tennis.
"Il semble probable que Cédric Gosse se retire dans les prochains jours pour rallier la candidature d'AOC", avancent les sources en question, tandis que "AOC", qui avait fait partie de l'aventure Jeux Olympiques de Paris 2024, se serait déjà "assurée en amont du feu vert de principe de la HATVP (Haute Autorité pour la Transparence sur la vie publique)" afin d'éviter une éventuelle situation de conflits d'intérêts. L'élection pour la présidence du CNOSF aura lieu le 19 juin. Les candidats ont quant à eux jusqu'au 20 avril pour se faire connaître, sachant que la commission de déontologie du CNOSF doit au préalable étudier la validité des diverses candidatures. Dont fait désormais partie celle d'Oudéa-Castéra.
Une ancienne ministre pour succéder à David Lappartient ? Le 21 mars dernier, vingt-quatre heures après avoir échoué dans sa quête pour devenir le nouveau président du Comité international olympique (CIO), le toujours président de l'Union cycliste international (UCI) avait annoncé qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat à la tête du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), ne serait-ce qu'en vertu de l'engagement qu'il avait pris dans une lettre adressée à l'ensemble du mouvement sportif.
"Si le cumul de ces engagements a été possible pendant ces deux années au prix d'un investissement personnel très conséquent, je ne crois pas qu'il soit souhaitable, en dehors des circonstances exceptionnelles qui ont été celles des deux dernières années, que le président du CNOSF ne soit pas plus encore concentré sur sa mission à votre service." Depuis différents candidats s'étaient déclarés, dont Cédric Gosse, le président de la fédération française de triathlon, et Didier Séminet, ex-secrétaire général de l'instance. A ces deux postulants, il convient désormais d'ajouter Amélie Oudéa-Castéra (47 ans).
Cédric Gosse devrait se retirer de la course pour rejoindre Oudéa-Castéra
L'ancienne ministre des Sports (mais également ministre de l'Education nationale et de la jeunesse) - du 20 mai 2022 au 21 septembre 2024 - a annoncé officiellement sa candidature ce jeudi via un courrier envoyé aux différents présidents des fédérations. D'après plusieurs sources proches du CNOSF et citées par l'AFP, Cédric Gosse devrait se retirer de la course à la présidence pour soutenir l'ancienne joueuse de tennis.
"Il semble probable que Cédric Gosse se retire dans les prochains jours pour rallier la candidature d'AOC", avancent les sources en question, tandis que "AOC", qui avait fait partie de l'aventure Jeux Olympiques de Paris 2024, se serait déjà "assurée en amont du feu vert de principe de la HATVP (Haute Autorité pour la Transparence sur la vie publique)" afin d'éviter une éventuelle situation de conflits d'intérêts. L'élection pour la présidence du CNOSF aura lieu le 19 juin. Les candidats ont quant à eux jusqu'au 20 avril pour se faire connaître, sachant que la commission de déontologie du CNOSF doit au préalable étudier la validité des diverses candidatures. Dont fait désormais partie celle d'Oudéa-Castéra.
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