Tony Yoka, le verdict tombe
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Tony Yoka s'est imposé à l'Adidas Arena face au Russe Arslan Yallyev (96-94, 98-92, 97-93) après une décision unanime des juges.
Il y avait du soulagement au micro de Canal + pour Tony Yoka. De retour en France pour combattre après une absence de deux ans, le champion olympique 2016 est parvenu à s'imposer face au Russe Yallyev. Après trois défaites de rang, Yoka l'emporte sur décision unanime dans un combat très serré. Encouragé par le public de l'Adidas Arena, Yoka a fait la différence avant de penser à la suite.
« On m'a proposé un très beau combat qui arrive bientôt. Je vais prendre la parole dans quelques jours. J'ai envie de boxer souvent, j'ai un très beau combat qui arrive », a-t-il expliqué à la fin de son combat.
Rien n'a été simple pour Tony Yoka face à un adversaire surprenant à écouter les mots du Français après le combat. Pendant 10 rounds, les deux boxeurs ont tenté leur chance et Yoka semblait même touché au 5e round, lorsque le Russe envoyait un uppercut. Le Français est resté solide, grâce notamment à sa préparation.
Avec le visage en sang, Yoka a repris ses esprits, mais devait se montrer dans la deuxième partie du combat, sous peine de voir Yallyev l'emporter. Message reçu avec un crochet du gauche dans le 7e round, puis un enchaînement avec trois coups successifs dans le 8e round. Malgré le crochet du droit envoyé par le Russe, Yoka touche plus son adversaire, même si les coups de Yallyev sont précis. Après la 10e reprise, la décision tombe et Yoka l'emporte à l'unanimité des trois juges (96/94, 98/92, 97/93).
Au micro de Canal+, le Français a exprimé son soulagement après des mois compliqués. « Ça fait du bien, ça faisait deux ans et demi que je n'avais pas gagné en France. Même si j'ai énormément travaillé, j'avais une certaine appréhension du ring, j'étais crispé. J'entendais le public me pousser et ce n'est pas un manchot en face, c'est un très bon boxeur qui m'en a mis des belles. On s'est rendu coup pour coup. C'était un très beau combat. » Fatigué, mais soulagé, celui qui est devenu papa juste avant son combat peut sortir la tête haute de l'Adidas Arena et penser à la suite sereinement.
Il y avait du soulagement au micro de Canal + pour Tony Yoka. De retour en France pour combattre après une absence de deux ans, le champion olympique 2016 est parvenu à s'imposer face au Russe Yallyev. Après trois défaites de rang, Yoka l'emporte sur décision unanime dans un combat très serré. Encouragé par le public de l'Adidas Arena, Yoka a fait la différence avant de penser à la suite.
« On m'a proposé un très beau combat qui arrive bientôt. Je vais prendre la parole dans quelques jours. J'ai envie de boxer souvent, j'ai un très beau combat qui arrive », a-t-il expliqué à la fin de son combat.
Yoka encaisse et voit le « bout du tunnel »
Rien n'a été simple pour Tony Yoka face à un adversaire surprenant à écouter les mots du Français après le combat. Pendant 10 rounds, les deux boxeurs ont tenté leur chance et Yoka semblait même touché au 5e round, lorsque le Russe envoyait un uppercut. Le Français est resté solide, grâce notamment à sa préparation.
Avec le visage en sang, Yoka a repris ses esprits, mais devait se montrer dans la deuxième partie du combat, sous peine de voir Yallyev l'emporter. Message reçu avec un crochet du gauche dans le 7e round, puis un enchaînement avec trois coups successifs dans le 8e round. Malgré le crochet du droit envoyé par le Russe, Yoka touche plus son adversaire, même si les coups de Yallyev sont précis. Après la 10e reprise, la décision tombe et Yoka l'emporte à l'unanimité des trois juges (96/94, 98/92, 97/93).
Au micro de Canal+, le Français a exprimé son soulagement après des mois compliqués. « Ça fait du bien, ça faisait deux ans et demi que je n'avais pas gagné en France. Même si j'ai énormément travaillé, j'avais une certaine appréhension du ring, j'étais crispé. J'entendais le public me pousser et ce n'est pas un manchot en face, c'est un très bon boxeur qui m'en a mis des belles. On s'est rendu coup pour coup. C'était un très beau combat. » Fatigué, mais soulagé, celui qui est devenu papa juste avant son combat peut sortir la tête haute de l'Adidas Arena et penser à la suite sereinement.
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