Tony Estanguet, la triste disparition

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Héros des Jeux de Paris, Tony Estanguet tourne peu à peu la page. Et s’il assure avoir bien vécu la fin de l’aventure olympique, l’ancien kayakiste a dû se préserver du public.
Tony Estanguet n’est pas encore passé à autre chose. Près d’un an après le coup d’envoi des Jeux de Paris, l’ancien kayakiste s’est pour l’heure contenté d’effectuer son grand retour au Comité international olympique (CIO). Pour le reste, le Palois entend prendre son temps.
« J’ai plein d’idées, plein de sollicitations, de propositions, mais j’ai envie de faire les bons choix, à mon rythme. J’ai un peu des fourmis qui me reviennent donc c’est plutôt bon signe », a-t-il ainsi récemment confié dans une interview à La République des Pyrénées.
« Il y a quelques mois, ce n’était pas le cas, a-t-il poursuivi. Je suis dans une démarche beaucoup plus proactive pour regarder ce qu’on me soumet et moi aussi être force de proposition. D’ici la fin de l’année, j’y verrai plus clair. »
Le Béarnais aura eu besoin pour digérer cette aventure olympique, quitte à devoir prendre du recul et disparaître de l’espace public. La faute à sa popularité. « C’est toujours un peu délicat parce que les gens ont vraiment envie de continuer à faire vivre l’esprit olympique. Mais moi, je n’avais pas l’énergie ces derniers mois. Donc oui, dans un premier temps, il a fallu disparaître un petit peu, a-t-il expliqué. Mais j’ai quand même surfé sur cet enthousiasme, ce soulagement aussi que tout se soit bien passé. La récupération s’est faite tranquillement. »
Pour autant, Tony Estanguet affirme ne pas avoir ressenti de contre-coup. « Je n’ai pas eu de baby-blues, a-t-il expliqué. L’objectif était qu’à un moment donné, ça nous échappe, que les gens se l’approprient. Tel que je l’ai vécu, c’était d’une puissance extraordinaire. »
Tony Estanguet n’est pas encore passé à autre chose. Près d’un an après le coup d’envoi des Jeux de Paris, l’ancien kayakiste s’est pour l’heure contenté d’effectuer son grand retour au Comité international olympique (CIO). Pour le reste, le Palois entend prendre son temps.
« J’ai plein d’idées, plein de sollicitations, de propositions, mais j’ai envie de faire les bons choix, à mon rythme. J’ai un peu des fourmis qui me reviennent donc c’est plutôt bon signe », a-t-il ainsi récemment confié dans une interview à La République des Pyrénées.
« Il y a quelques mois, ce n’était pas le cas, a-t-il poursuivi. Je suis dans une démarche beaucoup plus proactive pour regarder ce qu’on me soumet et moi aussi être force de proposition. D’ici la fin de l’année, j’y verrai plus clair. »
"Il a fallu disparaître un petit peu"
Le Béarnais aura eu besoin pour digérer cette aventure olympique, quitte à devoir prendre du recul et disparaître de l’espace public. La faute à sa popularité. « C’est toujours un peu délicat parce que les gens ont vraiment envie de continuer à faire vivre l’esprit olympique. Mais moi, je n’avais pas l’énergie ces derniers mois. Donc oui, dans un premier temps, il a fallu disparaître un petit peu, a-t-il expliqué. Mais j’ai quand même surfé sur cet enthousiasme, ce soulagement aussi que tout se soit bien passé. La récupération s’est faite tranquillement. »
Pour autant, Tony Estanguet affirme ne pas avoir ressenti de contre-coup. « Je n’ai pas eu de baby-blues, a-t-il expliqué. L’objectif était qu’à un moment donné, ça nous échappe, que les gens se l’approprient. Tel que je l’ai vécu, c’était d’une puissance extraordinaire. »
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