Tombeur du PSG, Montpellier savoure

Publié le
A l’issue d’une victoire aux tirs au but face au PSG, Valentin Porte, Erick Mathé et Charles Bolzinger ont confié leur fierté de voir Montpellier s’imposer en finale de la Coupe de France.
La fierté était grande du côté de Montpellier. A l’issue d’une finale à suspense, le MHB a eu le dernier mot face au PSG pour remporter une 14e Coupe de France, neuf ans après la dernière. « Il n’y a pas meilleure sensation que de gagner sur une séance de tirs au but, a affirmé le capitaine héraultais Valentin Porte dans des propos recueillis par le quotidien local Midi Libre. Quand on regarde le sport à la télé, on adore voir ça. Ça devait être chose de le voir devant son écran ou dans la salle, pour nous c’était pareil on a tous le sourire et le bonheur. »
Admettant se douter « qu’il allait se passer quelque chose », l’ailier droit de Montpellier est revenu sur une séance de tirs au but mouvementée, avec notamment une erreur du Parisien Ferran Solé Sala qui s’est avérée décisive. « Alors avec le pied qui bouge, Charles qui sort la balle de match… C’était tout ce qu’on voulait, ça nous sourit, c’est énorme », a-t-il conclu. Auteur de l’arrêt décisif lors de la séance de tirs au but, Charles Bolzinger a assuré que « c’est beau d’avoir gagné un premier titre avec Montpellier ». Pur produit de la formation montpelliéraine, le gardien international français n’a pas manqué de souligner ce que l’arrivée d’Erick Mathé l’été dernier a pu changer.
« Avec Patrice, c’était une méthode assez rude, on ne gagnait pas, le groupe il souffrait, a-t-il affirmé auprès du Midi Libre. Cette année, on a vu tellement de changements… Je pense à Arthur Lenne qui a fait un match digne des plus grands. Cette équipe-là a passé un cap, un cycle va toucher à sa fin et on a quand même gagné ensemble, c’est ce qu’on voulait. » La fierté, c’est ce que l’entraîneur héraultais Erick Mathé a tenu à mettre en avant dans une finale face au Paris Saint-Germain riche en rebondissements.
« Le match n’a pas été sympa avec nous, on perd Karl Konan sur blessure rapidement, on perd Veron Nacinovic sur un carton rouge, mais au courage, on est resté dans le match, a affirmé l’ancien adjoint de Guillaume Gille auprès de l’équipe de France. Ça a été compliqué de rester au contact, mais on voulait montrer qu’on n’était pas la meilleure défense du championnat pour rien. » S’il admet qu’un entraîneur « ne peut pas faire grand-chose » lors d’une séance de tirs au but, Erick Mathé concède que cette victoire est « une immense joie, évidemment ». Un succès qui pourrait en appeler un autre puisque Montpellier va disputer le Final Four de la Ligue européenne le week-end prochain à Hambourg.
La fierté était grande du côté de Montpellier. A l’issue d’une finale à suspense, le MHB a eu le dernier mot face au PSG pour remporter une 14e Coupe de France, neuf ans après la dernière. « Il n’y a pas meilleure sensation que de gagner sur une séance de tirs au but, a affirmé le capitaine héraultais Valentin Porte dans des propos recueillis par le quotidien local Midi Libre. Quand on regarde le sport à la télé, on adore voir ça. Ça devait être chose de le voir devant son écran ou dans la salle, pour nous c’était pareil on a tous le sourire et le bonheur. »
Admettant se douter « qu’il allait se passer quelque chose », l’ailier droit de Montpellier est revenu sur une séance de tirs au but mouvementée, avec notamment une erreur du Parisien Ferran Solé Sala qui s’est avérée décisive. « Alors avec le pied qui bouge, Charles qui sort la balle de match… C’était tout ce qu’on voulait, ça nous sourit, c’est énorme », a-t-il conclu. Auteur de l’arrêt décisif lors de la séance de tirs au but, Charles Bolzinger a assuré que « c’est beau d’avoir gagné un premier titre avec Montpellier ». Pur produit de la formation montpelliéraine, le gardien international français n’a pas manqué de souligner ce que l’arrivée d’Erick Mathé l’été dernier a pu changer.
Mathé : « Le match n’a pas été sympa avec nous »
« Avec Patrice, c’était une méthode assez rude, on ne gagnait pas, le groupe il souffrait, a-t-il affirmé auprès du Midi Libre. Cette année, on a vu tellement de changements… Je pense à Arthur Lenne qui a fait un match digne des plus grands. Cette équipe-là a passé un cap, un cycle va toucher à sa fin et on a quand même gagné ensemble, c’est ce qu’on voulait. » La fierté, c’est ce que l’entraîneur héraultais Erick Mathé a tenu à mettre en avant dans une finale face au Paris Saint-Germain riche en rebondissements.
« Le match n’a pas été sympa avec nous, on perd Karl Konan sur blessure rapidement, on perd Veron Nacinovic sur un carton rouge, mais au courage, on est resté dans le match, a affirmé l’ancien adjoint de Guillaume Gille auprès de l’équipe de France. Ça a été compliqué de rester au contact, mais on voulait montrer qu’on n’était pas la meilleure défense du championnat pour rien. » S’il admet qu’un entraîneur « ne peut pas faire grand-chose » lors d’une séance de tirs au but, Erick Mathé concède que cette victoire est « une immense joie, évidemment ». Un succès qui pourrait en appeler un autre puisque Montpellier va disputer le Final Four de la Ligue européenne le week-end prochain à Hambourg.
Publicité