Risacher : « Jour après jour, je me transforme »

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A la veille de tenter de se qualifier pour les play-offs avec Atlanta, lors du play-in contre Orlando, Zaccharie Risacher, numéro 1 de la dernière draft, se dit très content de sa saison comme de sa progression. Le jeune ailier français ne cache pas néanmoins que la récompense suprême sur le plan individuel serait d'être nommé rookie de l'année.
Un billet pour les play-offs et le prix de rookie de l'année. Dans ses plus beaux rêves, Zaccharie Risacher (20 ans, 2,03m) se voit rafler les deux. Le jeune ailier français d'Atlanta a bien raison, puisqu'il semble aujourd'hui toucher du doigt le ticket pour les play-offs comme ce prix de meilleur débutant qu'il aimerait tant décrocher.
La semaine que le numéro 1 de la dernière draft comme Victor Wembanyama l'année précédente pourrait s'avérer décisive sur les deux tableaux, puisque Rosacher et les Hawks, qui ont terminé la saison régulière en huitième position à l'Est, joueront leur avenir à partir de mercredi et du coup d'envoi des play-in, avec un déplacement à Orlando, où ils retrouveront un Magic qu'ils avaient nettement dominé (117-105) dimanche dernier lors de leur dernier match de la saison régulière.
L'ancien joueur de Bourg-en-Bresse a conscience d'aborder un virage capital. "J'ai une chance en tant que rookie de pouvoir prétendre à des play-offs, j'ai contribué à ça pendant toute la saison, c'est satisfaisant et ce n'est pas à négliger", avoue sur Canal Plus le natif de Malaga, pour qui cette qualification constituerait assurément un luxueux bonus après une première saison qu'il estime déjà "enrichissante pour (lui) en tant que joueur et en tant qu'être humain".
En compétiteur qu'il est, ce grand espoir du basket français, monté en puissance avec les Hawks (NDLR : Il avait inscrit 38 points contre Brooklyn la semaine dernière), en veut cependant toujours plus. Avec évidemment à l'esprit ce trophée de rookie de l'année. "Je ne vais pas faire semblant que cela n'existe pas, car dès que je sors du terrain, tout le monde en parle, et mes coéquipiers aussi". "Les choses arriveront si elles doivent arriver et si elles n'arrivent pas, ça veut dire qu'il faut que je travaille encore plus", estime néanmoins le fils de l'ancien international Stéphane Risacher, sans se laisser disperser.
"C'est cette envie de réussir collectivement qui fait que quand je suis sur le terrain, je sais ce que je dois faire et mon esprit ne se disperse pas sur les trophées individuels." Grand favori pour la distinction avec Stephan Castle, le coéquipier de "Wemby" chez ces Spurs déjà en vacances, l'ancien ailier de l'ASVEL sait qu'il a mis tous les atouts de son côté pour rejoindre son illustre prédécesseur et compatriote au palmarès du prix. "Jour après jour, je me transforme et je deviens de plus en plus à l'aise et de plus en plus performant". Reste à croiser les doigts.
Un billet pour les play-offs et le prix de rookie de l'année. Dans ses plus beaux rêves, Zaccharie Risacher (20 ans, 2,03m) se voit rafler les deux. Le jeune ailier français d'Atlanta a bien raison, puisqu'il semble aujourd'hui toucher du doigt le ticket pour les play-offs comme ce prix de meilleur débutant qu'il aimerait tant décrocher.
La semaine que le numéro 1 de la dernière draft comme Victor Wembanyama l'année précédente pourrait s'avérer décisive sur les deux tableaux, puisque Rosacher et les Hawks, qui ont terminé la saison régulière en huitième position à l'Est, joueront leur avenir à partir de mercredi et du coup d'envoi des play-in, avec un déplacement à Orlando, où ils retrouveront un Magic qu'ils avaient nettement dominé (117-105) dimanche dernier lors de leur dernier match de la saison régulière.
L'ancien joueur de Bourg-en-Bresse a conscience d'aborder un virage capital. "J'ai une chance en tant que rookie de pouvoir prétendre à des play-offs, j'ai contribué à ça pendant toute la saison, c'est satisfaisant et ce n'est pas à négliger", avoue sur Canal Plus le natif de Malaga, pour qui cette qualification constituerait assurément un luxueux bonus après une première saison qu'il estime déjà "enrichissante pour (lui) en tant que joueur et en tant qu'être humain".
Risacher : "Les choses arriveront si elles doivent arriver"
En compétiteur qu'il est, ce grand espoir du basket français, monté en puissance avec les Hawks (NDLR : Il avait inscrit 38 points contre Brooklyn la semaine dernière), en veut cependant toujours plus. Avec évidemment à l'esprit ce trophée de rookie de l'année. "Je ne vais pas faire semblant que cela n'existe pas, car dès que je sors du terrain, tout le monde en parle, et mes coéquipiers aussi". "Les choses arriveront si elles doivent arriver et si elles n'arrivent pas, ça veut dire qu'il faut que je travaille encore plus", estime néanmoins le fils de l'ancien international Stéphane Risacher, sans se laisser disperser.
"C'est cette envie de réussir collectivement qui fait que quand je suis sur le terrain, je sais ce que je dois faire et mon esprit ne se disperse pas sur les trophées individuels." Grand favori pour la distinction avec Stephan Castle, le coéquipier de "Wemby" chez ces Spurs déjà en vacances, l'ancien ailier de l'ASVEL sait qu'il a mis tous les atouts de son côté pour rejoindre son illustre prédécesseur et compatriote au palmarès du prix. "Jour après jour, je me transforme et je deviens de plus en plus à l'aise et de plus en plus performant". Reste à croiser les doigts.
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