Quel week-end pour Zhoya !

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La première étape du Grand Slam Track s'est déroulée ce lundi à Kingston (Jamaïque). Sasha Zhoya, l'un des trois Français en lice, a fait partie des vainqueurs de groupe grâce notamment à sa victoire sur... 100 mètres. Un succès qui a permis au protégé de Ladji Doucouré, présent à ses côtés, d'empocher la rondelette somme de 100 000 dollars.
La victoire et le pactole. Sasha Zhoya (22 ans) a bien fait de faire le déplacement en Jamaïque. Présent ce week-end à Kingston, au même titre que nos deux autres représentants en lice (Cyréna Samba-Mayela et Fabien Ducos) lors de de cette première étape, le grand espoir français sur le 110m haies a fait partie des douze vainqueurs de groupe de cette phase inaugurale du Grand Slam Track.
Au même titre que les onze autres premiers héros de ce nouveau concept imaginé par la légende Michael Johnson et dont la particularité consiste notamment à ce que les deux athlètes disputent deux courses mais pas forcément dans leur spécialité, le protégé de Ladji Doucouré, présent ce week-end en Jamaïque aux côtés du hurdler qu'il entraîne (NDLR : La mère de Zhoya était également présente), en a profité pour empocher la rondelette somme de 100 000 dollars (environ 91 245 euros) promise aux vainqueurs des quatre manches au programme (les trois suivantes se dérouleront aux Etats-Unis).
Le vainqueur de la dernière Ligue de Diamant, en lice dans le groupe des "haies hautes", a d'abord bâti son succès dans son domaine de prédilection : le 110m haies, en terminant deuxième derrière Dylan Beard (à cinq centièmes de l'Américain), alors qu'il n'avait plus couru en compétition depuis septembre dernier, lors du meeting de Bruxelles, avec un chrono de 13"34. Place ensuite au 100m pour l'athlète possédant également la nationalité australienne.
Heureusement pour le demi-finaliste malheureux des Jeux Olympiques de Paris 2024 l'été dernier, il ne s'est pas retrouvé face à des spécialistes de la distance mais face à d'autres hurdleurs comme lui. Et de tous, c'est le Français qui a su le mieux tirer son épingle du jeu. Zhoya a en effet remporté cette course qu'il n'est pas habitué à disputer ("j'ai fait de la perche aussi, ça me permet de retrouver les bases que j'avais avant sur le sprint", déclare l'intéressé dans L'Equipe).
Vainqueur de l'étape au classement cumulé, le natif de Perth sera également présent lors des trois prochaines dates, lui qui semble déjà un grand fan du concept. "En regardant des compétitions en grandissant, je me suis toujours dit que j'aimais que les athlètes fassent le spectacle, et c'est réellement ce que propose ce nouveau circuit." Il permet également aux athlètes de s'enrichir. Ce n'est pas Zhoya qui dira le contraire.
La victoire et le pactole. Sasha Zhoya (22 ans) a bien fait de faire le déplacement en Jamaïque. Présent ce week-end à Kingston, au même titre que nos deux autres représentants en lice (Cyréna Samba-Mayela et Fabien Ducos) lors de de cette première étape, le grand espoir français sur le 110m haies a fait partie des douze vainqueurs de groupe de cette phase inaugurale du Grand Slam Track.
Au même titre que les onze autres premiers héros de ce nouveau concept imaginé par la légende Michael Johnson et dont la particularité consiste notamment à ce que les deux athlètes disputent deux courses mais pas forcément dans leur spécialité, le protégé de Ladji Doucouré, présent ce week-end en Jamaïque aux côtés du hurdler qu'il entraîne (NDLR : La mère de Zhoya était également présente), en a profité pour empocher la rondelette somme de 100 000 dollars (environ 91 245 euros) promise aux vainqueurs des quatre manches au programme (les trois suivantes se dérouleront aux Etats-Unis).
Le vainqueur de la dernière Ligue de Diamant, en lice dans le groupe des "haies hautes", a d'abord bâti son succès dans son domaine de prédilection : le 110m haies, en terminant deuxième derrière Dylan Beard (à cinq centièmes de l'Américain), alors qu'il n'avait plus couru en compétition depuis septembre dernier, lors du meeting de Bruxelles, avec un chrono de 13"34. Place ensuite au 100m pour l'athlète possédant également la nationalité australienne.
Zhoya déjà fan du concept
Heureusement pour le demi-finaliste malheureux des Jeux Olympiques de Paris 2024 l'été dernier, il ne s'est pas retrouvé face à des spécialistes de la distance mais face à d'autres hurdleurs comme lui. Et de tous, c'est le Français qui a su le mieux tirer son épingle du jeu. Zhoya a en effet remporté cette course qu'il n'est pas habitué à disputer ("j'ai fait de la perche aussi, ça me permet de retrouver les bases que j'avais avant sur le sprint", déclare l'intéressé dans L'Equipe).
Vainqueur de l'étape au classement cumulé, le natif de Perth sera également présent lors des trois prochaines dates, lui qui semble déjà un grand fan du concept. "En regardant des compétitions en grandissant, je me suis toujours dit que j'aimais que les athlètes fassent le spectacle, et c'est réellement ce que propose ce nouveau circuit." Il permet également aux athlètes de s'enrichir. Ce n'est pas Zhoya qui dira le contraire.
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