Peine réduite pour Wilfried Happio

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Suspendu provisoirement fin janvier pour trois manquements à son obligation de localisation, Wilfried Happio risquait jusqu'à deux ans de suspension. Le hurdler français a finalement écopé de 18 mois, sa sanction ayant été réduite, nous apprend L'Equipe ce jeudi.
Peine réduite pour Wilfried Happio (26 ans). Suspendu depuis le 30 janvier dernier consécutivement à trois manquements de l'obligation de localisation, comme le veut le règlement - les athlètes doivent faire connaître au début de chaque trimestre via un logiciel l’heure et le lieu où ils prévoient d’être disponibles pendant une heure pour chaque journée des trois mois à venir au cas où un contrôleur anti-dopage venait à les solliciter - le hurdler français encourrait jusqu'à deux ans de suspension.
Sa sanction a finalement été réduite et notre spécialiste du 400m haies a finalement écopé d'une suspension de dix-huit mois, nous apprend ce jeudi L'Equipe, qui rappelle que le vice-champion d'Europe 2022 sur sa distance de prédilection avait été intégré depuis plusieurs années au groupe cible de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et était également membre depuis un an du groupe cible de l'Unité d'intégrité de l'athlétisme. "La décision a été notifiée ce jeudi après-midi, réagit pour le quotidien Maître Anthony Mottais, l'avocat d'Happio, sans savoir précisément ce qui a amené les décideurs à revoir à la baisse la sanction de son client.
"La suspension a été réduite de 24 à 18 mois mais je n'ai pas encore la motivation. Cela veut au moins dire que le tribunal disciplinaire de World Athletics a au moins partiellement entendu nos arguments." A savoir que lors du dernier "no-show", constaté cet automne au cours d'un break pour Happio (NDLR : Le premier datait du meeting de Doha en mai dernier, le deuxième du Meeting d'Ostrava deux semaines plus tard), "le contrôleur (n'aurait) pas tout mis en oeuvre pour entrer en contact avec l'athlète."
"Il s'est contenté d'appuyer sur la sonnette, sans plus", indique ainsi l'avocat de celui qui est également visé par ailleurs depuis décembre par une plainte de son ancienne compagne pour violences conjugales présumées. Happio, qui a toujours catégoriquement nié avoir tenté de se soustraire aux contrôles antidopage, et son représentant envisageraient toujours de porter le dossier devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
Peine réduite pour Wilfried Happio (26 ans). Suspendu depuis le 30 janvier dernier consécutivement à trois manquements de l'obligation de localisation, comme le veut le règlement - les athlètes doivent faire connaître au début de chaque trimestre via un logiciel l’heure et le lieu où ils prévoient d’être disponibles pendant une heure pour chaque journée des trois mois à venir au cas où un contrôleur anti-dopage venait à les solliciter - le hurdler français encourrait jusqu'à deux ans de suspension.
Sa sanction a finalement été réduite et notre spécialiste du 400m haies a finalement écopé d'une suspension de dix-huit mois, nous apprend ce jeudi L'Equipe, qui rappelle que le vice-champion d'Europe 2022 sur sa distance de prédilection avait été intégré depuis plusieurs années au groupe cible de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et était également membre depuis un an du groupe cible de l'Unité d'intégrité de l'athlétisme. "La décision a été notifiée ce jeudi après-midi, réagit pour le quotidien Maître Anthony Mottais, l'avocat d'Happio, sans savoir précisément ce qui a amené les décideurs à revoir à la baisse la sanction de son client.
Happio songe toujours à porter l'affaire devant le TAS
"La suspension a été réduite de 24 à 18 mois mais je n'ai pas encore la motivation. Cela veut au moins dire que le tribunal disciplinaire de World Athletics a au moins partiellement entendu nos arguments." A savoir que lors du dernier "no-show", constaté cet automne au cours d'un break pour Happio (NDLR : Le premier datait du meeting de Doha en mai dernier, le deuxième du Meeting d'Ostrava deux semaines plus tard), "le contrôleur (n'aurait) pas tout mis en oeuvre pour entrer en contact avec l'athlète."
"Il s'est contenté d'appuyer sur la sonnette, sans plus", indique ainsi l'avocat de celui qui est également visé par ailleurs depuis décembre par une plainte de son ancienne compagne pour violences conjugales présumées. Happio, qui a toujours catégoriquement nié avoir tenté de se soustraire aux contrôles antidopage, et son représentant envisageraient toujours de porter le dossier devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
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