New-York n'a pas dit son dernier mot
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Dans la nuit de jeudi à vendredi, New-York est revenu à une victoire d’écart (2-3) après sa victoire contre Indiana (111-94). Dans deux jours, c’est soit la porte, soit un match 7 entre les deux franchises.
On s’attendait à ce que la série entre New-York et Indiana s’achève dans la nuit de jeudi à vendredi, surtout au regard des performances de Tyrese Haliburton, tête de gondole intenable des Pacers. Finalement, il faudra encore attendre un peu. Il y a quelques heures, les Knicks ont décroché une deuxième victoire dans ces Finales de la Conférence Est (111-94).
Et avec elle, la possibilité de jouer un match 7 ultra-décisif pour disputer les Finales NBA, en cas de nouveau succès, cette fois à Indianapolis dans deux jours. Jalen Brunson et Karl-Anthony Towns ont été les deux principaux artisans de la bonne performance de la franchise de la Grosse Pomme.
Le premier cité (32 points, 5 rebonds, 5 passes) a idéalement lancé les siens avec quatorze ponts inscrits dans le premier quart-temps (27-23). L’Américain a donné le ton d’entrée et a vite été imité par l’ensemble de ses partenaires. À commencer donc par Towns. Dans le sillage de son coéquipier, le pivot a incarné la montée en puissance des New-Yorkais dans le deuxième quart-temps, juste assez pour compter onze points d’avance à la pause (56-45).
Et les Pacers dans tout ça ? Contrairement à ce que l’on a pu voir ces derniers jours, Indiana a eu du mal, aussi bien individuellement que collectivement. Les 23 points de Bennedict Mathurin (9 rebonds) ou les 15 points de Pascal Siakam (15 points, 6 rebonds, 5 passes) apparaissent bien peu à côté de la ligne de statistiques de l’armada new-yorkaise. Symbole du match raté d’Indiana : Tyrese Haliburton. La star des Pacers, si importante depuis le coup d’envoi de ces Finales de la Conférence Est, est passée totalement au travers (8 points, 2 rebonds, 6 passes).
Incapable de se réveiller en deuxième période, Indiana s’est contenté de suivre derrière sans sonner la révolte. Et Rick Carlisle, l’entraîneur de la franchise d’Indianapolis, a fini par faire sortir tous ses titulaires, histoire de définitivement sceller le sort du match. Heureusement pour eux, les Pacers ont l’occasion de clore l’affaire à la maison dans deux jours.
On s’attendait à ce que la série entre New-York et Indiana s’achève dans la nuit de jeudi à vendredi, surtout au regard des performances de Tyrese Haliburton, tête de gondole intenable des Pacers. Finalement, il faudra encore attendre un peu. Il y a quelques heures, les Knicks ont décroché une deuxième victoire dans ces Finales de la Conférence Est (111-94).
Et avec elle, la possibilité de jouer un match 7 ultra-décisif pour disputer les Finales NBA, en cas de nouveau succès, cette fois à Indianapolis dans deux jours. Jalen Brunson et Karl-Anthony Towns ont été les deux principaux artisans de la bonne performance de la franchise de la Grosse Pomme.
Le premier cité (32 points, 5 rebonds, 5 passes) a idéalement lancé les siens avec quatorze ponts inscrits dans le premier quart-temps (27-23). L’Américain a donné le ton d’entrée et a vite été imité par l’ensemble de ses partenaires. À commencer donc par Towns. Dans le sillage de son coéquipier, le pivot a incarné la montée en puissance des New-Yorkais dans le deuxième quart-temps, juste assez pour compter onze points d’avance à la pause (56-45).
Indiana peut finir le travail à la maison
Et les Pacers dans tout ça ? Contrairement à ce que l’on a pu voir ces derniers jours, Indiana a eu du mal, aussi bien individuellement que collectivement. Les 23 points de Bennedict Mathurin (9 rebonds) ou les 15 points de Pascal Siakam (15 points, 6 rebonds, 5 passes) apparaissent bien peu à côté de la ligne de statistiques de l’armada new-yorkaise. Symbole du match raté d’Indiana : Tyrese Haliburton. La star des Pacers, si importante depuis le coup d’envoi de ces Finales de la Conférence Est, est passée totalement au travers (8 points, 2 rebonds, 6 passes).
Incapable de se réveiller en deuxième période, Indiana s’est contenté de suivre derrière sans sonner la révolte. Et Rick Carlisle, l’entraîneur de la franchise d’Indianapolis, a fini par faire sortir tous ses titulaires, histoire de définitivement sceller le sort du match. Heureusement pour eux, les Pacers ont l’occasion de clore l’affaire à la maison dans deux jours.
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