Montpellier perd sa finale européenne

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Après une première mi-temps très compliquée, Montpellier n’a pas eu les ressources pour renverser Flensbourg-Handewitt, qui remporte la Ligue Européenne pour la deuxième année de suite (25-32).
Il n’y pas eu deux trophées en une semaine pour Montpellier. Tombeur du PSG le week-end dernier en finale de la Coupe de France, le club héraultais n’a pas confirmé son succès de ce samedi face à Kiel lors d’une finale contre Flensbourg-Handewitt, tenant du titre de la Ligue Européenne. Sur le parquet de la Barclays Arena de Hambourg, la finale a débuté avec deux équipes qui ont su se rendre coup pour coup.
Sebastian Karlsson (3 buts sur 4 tirs) a ainsi pu trouver des solutions en attaque pour permettre au MHB de faire la course en tête mais sans parvenir à obtenir le break. Après ce round d’observation long d’une dizaine de minutes, la formation allemande a accéléré le tempo sous l’impulsion d’Emil Jakobsen (9 buts sur 10 tirs) avec un 5-1 leur offrant une marge de quatre longueurs au quart d’heure de jeu.
Si Jaime Fernandez (3 buts sur 4 tirs) a essayé de remettre le MHB dans le sens de la marche, c’est bien Flensbourg-Handewitt qui a eu l’avantage sur le parquet. Jim Gottfridsson (1 but sur 1 tir)) a conclu un 3-0 à l’orée des cinq dernières minutes de la première période.
Ce qui a porté l’avantage de sa formation à six unités au moment de retrouver les vestiaires. Dès la reprise du jeu, les protégés d’Erick Mathé ont essayé de répondre pour ne pas sombrer. Ils n’ont toutefois pas été en mesure de revenir à moins de cinq longueurs grâce à Bryan Monte (6 buts sur 6 tirs). Lasse Møller (6 buts sur 6 tirs) et Lukas Jørgensen (10 buts sur 10 tirs) ont permis au club allemand de creuser à nouveau l’écart pour atteindre huit unités dans un premier temps. Un 4-0 conclu à sept minutes du buzzer a scellé le sort de la rencontre en offrant dix buts d’avance à Flensbourg-Handewitt.
Avec l’énergie du désespoir face à une équipe en roue libre, Montpellier s’est rapproché à six unités grâce notamment à Djordje Cikusa (2 buts sur 2 tirs) mais c’est Mads Mensah Larsen (2 buts sur 2 tirs) qui a eu le dernier mot. Flensbourg-Handewitt l’emporte de sept longueurs (25-32) et remporte la Ligue Européenne pour la deuxième fois de suite, la troisième de son histoire. Après avoir ajouté deux Ligues des Champions à son palmarès, Montpellier échoue au moment d’élargir un peu plus sa vitrine à trophées.
Il n’y pas eu deux trophées en une semaine pour Montpellier. Tombeur du PSG le week-end dernier en finale de la Coupe de France, le club héraultais n’a pas confirmé son succès de ce samedi face à Kiel lors d’une finale contre Flensbourg-Handewitt, tenant du titre de la Ligue Européenne. Sur le parquet de la Barclays Arena de Hambourg, la finale a débuté avec deux équipes qui ont su se rendre coup pour coup.
Sebastian Karlsson (3 buts sur 4 tirs) a ainsi pu trouver des solutions en attaque pour permettre au MHB de faire la course en tête mais sans parvenir à obtenir le break. Après ce round d’observation long d’une dizaine de minutes, la formation allemande a accéléré le tempo sous l’impulsion d’Emil Jakobsen (9 buts sur 10 tirs) avec un 5-1 leur offrant une marge de quatre longueurs au quart d’heure de jeu.
Si Jaime Fernandez (3 buts sur 4 tirs) a essayé de remettre le MHB dans le sens de la marche, c’est bien Flensbourg-Handewitt qui a eu l’avantage sur le parquet. Jim Gottfridsson (1 but sur 1 tir)) a conclu un 3-0 à l’orée des cinq dernières minutes de la première période.
Montpellier sans solutions
Ce qui a porté l’avantage de sa formation à six unités au moment de retrouver les vestiaires. Dès la reprise du jeu, les protégés d’Erick Mathé ont essayé de répondre pour ne pas sombrer. Ils n’ont toutefois pas été en mesure de revenir à moins de cinq longueurs grâce à Bryan Monte (6 buts sur 6 tirs). Lasse Møller (6 buts sur 6 tirs) et Lukas Jørgensen (10 buts sur 10 tirs) ont permis au club allemand de creuser à nouveau l’écart pour atteindre huit unités dans un premier temps. Un 4-0 conclu à sept minutes du buzzer a scellé le sort de la rencontre en offrant dix buts d’avance à Flensbourg-Handewitt.
Avec l’énergie du désespoir face à une équipe en roue libre, Montpellier s’est rapproché à six unités grâce notamment à Djordje Cikusa (2 buts sur 2 tirs) mais c’est Mads Mensah Larsen (2 buts sur 2 tirs) qui a eu le dernier mot. Flensbourg-Handewitt l’emporte de sept longueurs (25-32) et remporte la Ligue Européenne pour la deuxième fois de suite, la troisième de son histoire. Après avoir ajouté deux Ligues des Champions à son palmarès, Montpellier échoue au moment d’élargir un peu plus sa vitrine à trophées.
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