Mondial: La pilule ne passe pas pour les Bleus

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Battue lundi soir par la Slovénie dans le match qu'il ne fallait surtout pas perdre, l'équipe de France quitte l'élite du hockey mondial après dix-huit ans parmi l'élite. Le sélectionneur Yorick Treille et le capitaine Pierre-Edouard Bellemare ont beaucoup de mal à digérer cette relégation.
Le Mondial de hockey sur glace s'est terminé de la pire des manières pour l'équipe de France, battue lundi soir (3-1) par la Slovénie alors qu'il fallait une victoire pour se maintenir. Après dix-huit ans parmi l'élite (NDLR : Les Français auraient dû descendre en 2020 mais les championnats du monde avaient été annulés en raison de la pandémie de Covid-19), les Bleus, relégués, descendent donc d'un étage et retrouveront l'année prochaine la Division 1A. Une énorme désillusion pour cette équipe qui était pourtant passée à quelques minutes d'un exploit face à la Finlande (défaite 4-3 après prolongation) en début de compétition qui aurait complètement changé la donne.
Malheureusement, les Bleus ont achevé le tournoi avec certes ce point pris en guise de bien pâle lot de consolation face aux Finlandais mais sans le moindre succès. Et les conséquences sont terribles. Le capitaine de l'équipe Pierre-Edouard Bellemare, qui participait à l'épreuve pour la dernière fois de sa carrière, ne cache pas qu'il a beaucoup de mal à digérer ce fiasco qui amène la France à se retrouver aujourd'hui dans cette situation. Même si l'ancien attaquant du Tampa Bay Lightning en NHL l'a vu venir.
"Cette année, on n’a pas réussi à être impliqués (..) Le jeu mental, on l’a perdu, et ça fait partie des trucs qu’on ne devait pas perdre." Le sélectionneur Yorick Treille, également interrogé dans L'Equipe, attribue lui aussi cet échec à un souci d'ordre psychologique avant tout. "Il y a un aspect mental. On n'a pas joué libérés (...) On n'a pas réussi à gérer cette pression".
Bellemare le sait et n'a pas hésité à le rappeler : cette pression, évoquée par son entraîneur, tout le monde ne peut pas se vanter d'en bénéficier. Malheureusement, beaucoup trop ne l'ont pas compris, à l'entendre. "On n’arrive pas à comprendre, nous les joueurs, que cette pression, c’est un privilège de l’avoir. Parce que ceux qui ne l’ont pas, ils sont à la maison dans leur canapé." A méditer pour tenter de retrouver l'élite au plus vite. Mais le chemin sera long.
Le Mondial de hockey sur glace s'est terminé de la pire des manières pour l'équipe de France, battue lundi soir (3-1) par la Slovénie alors qu'il fallait une victoire pour se maintenir. Après dix-huit ans parmi l'élite (NDLR : Les Français auraient dû descendre en 2020 mais les championnats du monde avaient été annulés en raison de la pandémie de Covid-19), les Bleus, relégués, descendent donc d'un étage et retrouveront l'année prochaine la Division 1A. Une énorme désillusion pour cette équipe qui était pourtant passée à quelques minutes d'un exploit face à la Finlande (défaite 4-3 après prolongation) en début de compétition qui aurait complètement changé la donne.
Malheureusement, les Bleus ont achevé le tournoi avec certes ce point pris en guise de bien pâle lot de consolation face aux Finlandais mais sans le moindre succès. Et les conséquences sont terribles. Le capitaine de l'équipe Pierre-Edouard Bellemare, qui participait à l'épreuve pour la dernière fois de sa carrière, ne cache pas qu'il a beaucoup de mal à digérer ce fiasco qui amène la France à se retrouver aujourd'hui dans cette situation. Même si l'ancien attaquant du Tampa Bay Lightning en NHL l'a vu venir.
Treille: "On n'a pas réussi à gérer cette pression"
"Cette année, on n’a pas réussi à être impliqués (..) Le jeu mental, on l’a perdu, et ça fait partie des trucs qu’on ne devait pas perdre." Le sélectionneur Yorick Treille, également interrogé dans L'Equipe, attribue lui aussi cet échec à un souci d'ordre psychologique avant tout. "Il y a un aspect mental. On n'a pas joué libérés (...) On n'a pas réussi à gérer cette pression".
Bellemare le sait et n'a pas hésité à le rappeler : cette pression, évoquée par son entraîneur, tout le monde ne peut pas se vanter d'en bénéficier. Malheureusement, beaucoup trop ne l'ont pas compris, à l'entendre. "On n’arrive pas à comprendre, nous les joueurs, que cette pression, c’est un privilège de l’avoir. Parce que ceux qui ne l’ont pas, ils sont à la maison dans leur canapé." A méditer pour tenter de retrouver l'élite au plus vite. Mais le chemin sera long.
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