Metz met fin au suspense

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Grâce à un 23e succès en 23 matches face à Strasbourg Achenheim Truchtersheim (37-19), Metz est désormais hors de portée de Brest et remporte le titre de champion de France pour la 27e fois de son histoire.
Ce n’était qu’une question de temps. Après avoir remporté la Coupe de France aux dépens de Paris 92 et avant un Final Four de Ligue des Champions pour lequel elles auront l’étiquette de favorites, les joueuses de Metz ont un peu plus marqué la saison 2024-2025 de leur empreinte. Après avoir accumulé 22 victoires lors des 22 premières journées de Ligue Butagaz Energie, les joueuses de Manu Mayonnade devaient conclure ce samedi devant leur public lors de la réception des Piraths, le club de Strasbourg Achenheim Truchtersheim.
Un suspense qui n’aura duré que cinq petites minutes. En effet, si Hanna Ahlen (2 buts sur 8 tirs) a maintenu à flots la formation alsacienne dans les premiers instants de cette rencontre, la force de frappe messine a fini par avoir raison de la belle volonté des joueuses de Jan Basny. Sous l’impulsion d’une Lucie Granier très inspirée (8 buts sur 11 tirs), les Dragonnes ont progressivement creusé l’écart pour atteindre la mi-temps avec onze longueurs d’avance.
Anne Mette Hansen (5 buts sur 10 tirs) et ses coéquipières n’ont pas baissé de pied au moment de retrouver leur parquet des Arènes. La barre des quinze buts d’avance a été atteinte après à peine dix minutes en deuxième période. A partir de là, le reste de la rencontre a été une formalité pour une équipe de Metz sure de son fait. C’est avec une marge de 18 unités que les Dragonnes l’emportent (37-19). Un succès synonyme de 27e titre de champion de France, le quatrième de suite.
« C’est une émotion incroyable. Je pense que c’est un honneur pour moi de remporter ce premier titre de champion de France avec Metz, a confié Lena Grandveau auprès du quotidien local Le Républicain Lorrain. On ne peut pas rêver mieux à mon âge et même quand on est professionnelle. Je suis fière de tout ce qu’on met en place depuis le début de la saison ici, à Metz. » Maintenant que le championnat est bouclé, les joueuses de Metz vont pouvoir se tourner pleinement vers la Ligue des Champions, le seul titre qui leur manque.
Ce n’était qu’une question de temps. Après avoir remporté la Coupe de France aux dépens de Paris 92 et avant un Final Four de Ligue des Champions pour lequel elles auront l’étiquette de favorites, les joueuses de Metz ont un peu plus marqué la saison 2024-2025 de leur empreinte. Après avoir accumulé 22 victoires lors des 22 premières journées de Ligue Butagaz Energie, les joueuses de Manu Mayonnade devaient conclure ce samedi devant leur public lors de la réception des Piraths, le club de Strasbourg Achenheim Truchtersheim.
Un suspense qui n’aura duré que cinq petites minutes. En effet, si Hanna Ahlen (2 buts sur 8 tirs) a maintenu à flots la formation alsacienne dans les premiers instants de cette rencontre, la force de frappe messine a fini par avoir raison de la belle volonté des joueuses de Jan Basny. Sous l’impulsion d’une Lucie Granier très inspirée (8 buts sur 11 tirs), les Dragonnes ont progressivement creusé l’écart pour atteindre la mi-temps avec onze longueurs d’avance.
Grandveau : « On ne peut pas rêver mieux »
Anne Mette Hansen (5 buts sur 10 tirs) et ses coéquipières n’ont pas baissé de pied au moment de retrouver leur parquet des Arènes. La barre des quinze buts d’avance a été atteinte après à peine dix minutes en deuxième période. A partir de là, le reste de la rencontre a été une formalité pour une équipe de Metz sure de son fait. C’est avec une marge de 18 unités que les Dragonnes l’emportent (37-19). Un succès synonyme de 27e titre de champion de France, le quatrième de suite.
« C’est une émotion incroyable. Je pense que c’est un honneur pour moi de remporter ce premier titre de champion de France avec Metz, a confié Lena Grandveau auprès du quotidien local Le Républicain Lorrain. On ne peut pas rêver mieux à mon âge et même quand on est professionnelle. Je suis fière de tout ce qu’on met en place depuis le début de la saison ici, à Metz. » Maintenant que le championnat est bouclé, les joueuses de Metz vont pouvoir se tourner pleinement vers la Ligue des Champions, le seul titre qui leur manque.
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