Metz confirme sa suprématie

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Metz a remporté la finale de la Coupe de France face à Paris 92 (32-18). Un premier trophée cette saison pour les Dragonnes, encore en lice en Ligue des champions.
Les Dragonnes l'attendaient et elles n'ont pas déçu à l'Accor Arena. Leader du championnat, qu'elles devraient bientôt remporter, les Messines ont largement dominé Paris 92. Presque sans surprise, même si les finales peuvent parfois livrer quelques surprises. Ce samedi, les joueuses d'Emmanuel Mayonnade ont d'abord pris six buts d'avance à la mi-temps pour imposer leur rythme (16-10).
Après cinq premières minutes où les deux équipes sont au coude à coude, Metz prend l'avantage sur un but de Lucie Granier (3-4, 8e). En réussite dans cette première mi-temps, l'internationale française permet à son équipe de creuser l'écart, bien aidée par le 3/3 au pénalty de Sarah Bouktit.
La pivot des Bleues est pourtant mesurée à la mi-temps sur le niveau de son équipe. « On n'a pas fait un très bon début de match, on perd des ballons. Mais on arrive à se retrouver ensuite, dans le jeu sur grands espaces et on creuse l'écart petit à petit. J'espère qu'on va continuer en seconde période. »
Au retour des vestiaires, Metz continue sa moisson offensive et reste très solide en défense. En encaissant seulement huit buts dans la deuxième période, les Dragonnes sont à l'abris et ne reverront plus les Parisiennes. Les gardiennes Szemerey et Darleux sont présentes, Errard donne 10 buts d'avance à Metz (22-12, 43e) sur un tir en angle fermé.
Augustine permet à son équipe d'atteindre la barre des 30 buts et le titre s'offre logiquement aux championnes de France en titre. Cette Coupe de France est la quatrième remportée de suite et la 13e de l'histoire.
Les Dragonnes l'attendaient et elles n'ont pas déçu à l'Accor Arena. Leader du championnat, qu'elles devraient bientôt remporter, les Messines ont largement dominé Paris 92. Presque sans surprise, même si les finales peuvent parfois livrer quelques surprises. Ce samedi, les joueuses d'Emmanuel Mayonnade ont d'abord pris six buts d'avance à la mi-temps pour imposer leur rythme (16-10).
Après cinq premières minutes où les deux équipes sont au coude à coude, Metz prend l'avantage sur un but de Lucie Granier (3-4, 8e). En réussite dans cette première mi-temps, l'internationale française permet à son équipe de creuser l'écart, bien aidée par le 3/3 au pénalty de Sarah Bouktit.
La pivot des Bleues est pourtant mesurée à la mi-temps sur le niveau de son équipe. « On n'a pas fait un très bon début de match, on perd des ballons. Mais on arrive à se retrouver ensuite, dans le jeu sur grands espaces et on creuse l'écart petit à petit. J'espère qu'on va continuer en seconde période. »
Metz, les yeux rivés sur Odense
Au retour des vestiaires, Metz continue sa moisson offensive et reste très solide en défense. En encaissant seulement huit buts dans la deuxième période, les Dragonnes sont à l'abris et ne reverront plus les Parisiennes. Les gardiennes Szemerey et Darleux sont présentes, Errard donne 10 buts d'avance à Metz (22-12, 43e) sur un tir en angle fermé.
Augustine permet à son équipe d'atteindre la barre des 30 buts et le titre s'offre logiquement aux championnes de France en titre. Cette Coupe de France est la quatrième remportée de suite et la 13e de l'histoire.
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