Marion Rousse prête à quitter France Télévisions ?

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Consultante vedette de France Télévisions, Marion Rousse est pressentie pour succéder à terne à Christian Prudhomme à la tête du Tour de France.
Comme chaque année, Marion Rousse a un mois de juillet particulièrement chargé. Car en plus de commenter le Tour de France auprès d’Alexandre Pasteur, Laurent Jalabert, Franck Ferrand et Thomas Voeckler, elle est également sur la brèche en vue du Tour de France femmes qui débutera dans quinze jours.
Lorsque le Tour de France a voulu relancer son pendant féminin, le nom de l’ancienne championne de France s’est imposé aux yeux de Christian Prudhomme. « On aurait été bien embêtés si elle avait dit non. Pour nous, il n’y avait qu’un nom, le sien. Elle est ancienne cycliste, championne de France, consultante avec un œil acéré – et je le dis en tant qu’ancien commentateur – et elle avait commencé à tâter de l’organisation avec le Tour de Provence. Ce qui indiquait une curiosité saine dans tous les domaines du cyclisme », avait confié le directeur du Tour de France à l’approche de la première édition.
Trois années ont passé et le Tour de France Femmes est devenu une évidence. Son succès populaire ne se dément pas et le travail de Marion Rousse est régulièrement mis en avant. A tel point que certains l’imaginent pendre la suite de Christian Prudhomme à la tête du Tour de France lorsque l’ancien journaliste souhaitera passer la main. « Je n’y ai pas réfléchi mais je ne vois pas pourquoi un profil comme le sien ne pourrait pas être à la tête du Tour », a-t-il confié à ce sujet.
Quant à l’intéressée, elle préfère botter en touche. « C’est une question qu’on me pose tout le temps. Moi, je ne me pose pas la question de l’après. Pour l’instant, je touche un peu à tout, je ne pense pas trop à l’avenir. J’ai d’abord envie de faire mes preuves, parce que je pense qu’il faut toujours prouver que l’on a sa place et tout le temps se remettre en question. Pour l’après, on verra », a-t-elle ainsi soufflé dans une interview accordée à La Croix.
Si elle venait effectivement à prendre la suite de Christian Prudhomme à la tête du Tour de France et des autres courses organisées par ASO, à l’instar de Paris-Roubaix ou du Critérium du Dauphiné, Marion Rousse en serait quitte en revanche pour abandonner son travail de consultante pour France Télévisions. A grands regrets tant elle se plaît dans son rôle.
Comme chaque année, Marion Rousse a un mois de juillet particulièrement chargé. Car en plus de commenter le Tour de France auprès d’Alexandre Pasteur, Laurent Jalabert, Franck Ferrand et Thomas Voeckler, elle est également sur la brèche en vue du Tour de France femmes qui débutera dans quinze jours.
Lorsque le Tour de France a voulu relancer son pendant féminin, le nom de l’ancienne championne de France s’est imposé aux yeux de Christian Prudhomme. « On aurait été bien embêtés si elle avait dit non. Pour nous, il n’y avait qu’un nom, le sien. Elle est ancienne cycliste, championne de France, consultante avec un œil acéré – et je le dis en tant qu’ancien commentateur – et elle avait commencé à tâter de l’organisation avec le Tour de Provence. Ce qui indiquait une curiosité saine dans tous les domaines du cyclisme », avait confié le directeur du Tour de France à l’approche de la première édition.
Trois années ont passé et le Tour de France Femmes est devenu une évidence. Son succès populaire ne se dément pas et le travail de Marion Rousse est régulièrement mis en avant. A tel point que certains l’imaginent pendre la suite de Christian Prudhomme à la tête du Tour de France lorsque l’ancien journaliste souhaitera passer la main. « Je n’y ai pas réfléchi mais je ne vois pas pourquoi un profil comme le sien ne pourrait pas être à la tête du Tour », a-t-il confié à ce sujet.
Quant à l’intéressée, elle préfère botter en touche. « C’est une question qu’on me pose tout le temps. Moi, je ne me pose pas la question de l’après. Pour l’instant, je touche un peu à tout, je ne pense pas trop à l’avenir. J’ai d’abord envie de faire mes preuves, parce que je pense qu’il faut toujours prouver que l’on a sa place et tout le temps se remettre en question. Pour l’après, on verra », a-t-elle ainsi soufflé dans une interview accordée à La Croix.
Si elle venait effectivement à prendre la suite de Christian Prudhomme à la tête du Tour de France et des autres courses organisées par ASO, à l’instar de Paris-Roubaix ou du Critérium du Dauphiné, Marion Rousse en serait quitte en revanche pour abandonner son travail de consultante pour France Télévisions. A grands regrets tant elle se plaît dans son rôle.
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