Ligue des champions: C'est bien parti pour Paris
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Vainqueur d'un but (31-30) de son barrage aller face à Szeged, jeudi chez les Hongrois, le PSG a pris une option sur la qualification pour les quarts de finale. Nantes, battu de trois buts à Plock (28-25), est moins bien embarqué, mais a prouvé qu'il pouvait inverser la situation sur son parquet.
Paris a un pied en quarts de finale, Nantes ne peut pas en dire autant mais peut y croire. Les barrages aller de la Ligue des Champions masculine, programmés ce jeudi soir sur le parquet des adversaires respectifs des Parisiens et des Nantais ont donné lieu à des fortunes diverses pour nos deux représentants contraints de passer par des huitièmes de finale pour ne pas avoir réussi à terminer à l'une des deux premières places de leur groupe lors des phases de poules. Contraint de devoir franchir l'obstacle Szeged pour pouvoir rejoindre le FC Barcelone en quarts, le PSG a bien négocié son déplacement en Hongrie et pris du même coup une option sur la qualification.
Malgré une seconde mi-temps très accrochée entre les deux équipes, les joueurs de la capitale, qui menaient déjà d'un but à la pause (14-13), ont terminé la rencontre avec ce même but d'avance qui peut leur permettre d'aborder le barrage retour avec sérénité ainsi qu'un ascendant psychologique. Lors de cette partie qui a vu les visiteurs compter jusqu'à quatre buts d'avance, Elohim Prandi, auteur de 6 buts, et Luc Steins notamment ont su avoir la réaction qui s'imposait alors que Szeged était passé devant pour l'une des rares fois du match.
Les inévitables Kamil Syprzak (8 buts) et Yahia Omar (7) se sont eux aussi avéré très précieux. En Pologne, le Nantais Julien Bos, meilleur marqueur de son équipe avec 6 buts, aurait rêvé lui aussi d'offrir une option au "H". L'actuel dauphin de Paris en Liqui Moly Starligue a toutefois connu une soirée beaucoup plus compliquée que son habituel rival. Avec cinq buts de retard à la mi-temps (17-12), et six au cours d'une première mi-temps nettement dominée par le Wisla Plock, les Nantais peuvent toutefois s'estimer heureux d'avoir quitté la salle avec une défaite de trois buts uniquement (28-25). Cela s'appelle limiter la casse. Et avec le soutien de ses supporters à Nantes au match retour, le "H", qui pourrait retrouver le Sporting en cas de qualification, peut s'autoriser à rêver.
Paris a un pied en quarts de finale, Nantes ne peut pas en dire autant mais peut y croire. Les barrages aller de la Ligue des Champions masculine, programmés ce jeudi soir sur le parquet des adversaires respectifs des Parisiens et des Nantais ont donné lieu à des fortunes diverses pour nos deux représentants contraints de passer par des huitièmes de finale pour ne pas avoir réussi à terminer à l'une des deux premières places de leur groupe lors des phases de poules. Contraint de devoir franchir l'obstacle Szeged pour pouvoir rejoindre le FC Barcelone en quarts, le PSG a bien négocié son déplacement en Hongrie et pris du même coup une option sur la qualification.
Malgré une seconde mi-temps très accrochée entre les deux équipes, les joueurs de la capitale, qui menaient déjà d'un but à la pause (14-13), ont terminé la rencontre avec ce même but d'avance qui peut leur permettre d'aborder le barrage retour avec sérénité ainsi qu'un ascendant psychologique. Lors de cette partie qui a vu les visiteurs compter jusqu'à quatre buts d'avance, Elohim Prandi, auteur de 6 buts, et Luc Steins notamment ont su avoir la réaction qui s'imposait alors que Szeged était passé devant pour l'une des rares fois du match.
Nantes peut rêver
Les inévitables Kamil Syprzak (8 buts) et Yahia Omar (7) se sont eux aussi avéré très précieux. En Pologne, le Nantais Julien Bos, meilleur marqueur de son équipe avec 6 buts, aurait rêvé lui aussi d'offrir une option au "H". L'actuel dauphin de Paris en Liqui Moly Starligue a toutefois connu une soirée beaucoup plus compliquée que son habituel rival. Avec cinq buts de retard à la mi-temps (17-12), et six au cours d'une première mi-temps nettement dominée par le Wisla Plock, les Nantais peuvent toutefois s'estimer heureux d'avoir quitté la salle avec une défaite de trois buts uniquement (28-25). Cela s'appelle limiter la casse. Et avec le soutien de ses supporters à Nantes au match retour, le "H", qui pourrait retrouver le Sporting en cas de qualification, peut s'autoriser à rêver.
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