Léon Marchand encore battu mais pas inquiet
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Au lendemain de sa défaite sur 400m 4 nages, sa discipline de prédilection, Léon Marchand a également été battu en finale du 200m 4 nages, ce samedi à Fort Lauderdale en Floride. Mais le quadruple champion olympique sait désormais où il en est, à moins de trois mois des championnats du monde de Singapour.
Il était venu à Fort Lauderdale pour se tester en nage libre (et il s'est montré plutôt convaincant) et pour reprendre tranquillement en 4 nages, sa spécialité, après plusieurs semaines de travail en Australie. Léon Marchand est désormais fixé son état de forme, alors que sa principale compétition de la saison, les championnats du monde de Singapour, aura lieu dans moins de trois mois. Samedi, le quadruple champion olympique a été battu en finale du 200m 4 nages, au lendemain de sa défaite en finale du 400m 4 nages, deux disciplines où il avait décroché l'or à Paris 2024.
Cela pourrait faire tache, mais le Toulousain de bientôt 23 ans ne s'inquiète pas outre-mesure. Deuxième en 1'57"27 (son record personnel est de 1'54"06) derrière son compère d'entraînement Shaine Casas, vainqueur en 1'56''52, Léon Marchand sait désormais sur quoi il va devoir travailler ces prochaines semaines.
« Je ne savais pas où j'en étais, maintenant je sais. J'ai une base sur laquelle travailler, j'avais envie de savoir quel était mon niveau actuel. Maintenant, c'est plus concret. Je suis très loin de mes meilleurs temps de l'année dernière mais au moins je sais sur quoi travailler ces prochains mois. Je savais que ça allait être dur parce que je me sentais pas forcément très bien à l'entraînement mais parfois, on ne se sent pas bien à l'entraînement et on est bien en compétition », a confié Marchand auprès de L'Equipe.
Le Toulousain va désormais retourner à Austin, où exerce son coach Bob Bowman en tant que Directeur de la natation à l'Université du Texas. « Je vais travailler normalement, prendre du temps pour moi, reprendre ma routine et retravailler les quatre nages, détaille Marchand. Côté technique, mes ondulations sont un peu moins puissantes qu'avant, un peu moins de tempo, donc je vais travailler sur ça. » Un travail dur mais indispensable s'il ne veut pas redescendre de l'Olympe.
Il était venu à Fort Lauderdale pour se tester en nage libre (et il s'est montré plutôt convaincant) et pour reprendre tranquillement en 4 nages, sa spécialité, après plusieurs semaines de travail en Australie. Léon Marchand est désormais fixé son état de forme, alors que sa principale compétition de la saison, les championnats du monde de Singapour, aura lieu dans moins de trois mois. Samedi, le quadruple champion olympique a été battu en finale du 200m 4 nages, au lendemain de sa défaite en finale du 400m 4 nages, deux disciplines où il avait décroché l'or à Paris 2024.
Cela pourrait faire tache, mais le Toulousain de bientôt 23 ans ne s'inquiète pas outre-mesure. Deuxième en 1'57"27 (son record personnel est de 1'54"06) derrière son compère d'entraînement Shaine Casas, vainqueur en 1'56''52, Léon Marchand sait désormais sur quoi il va devoir travailler ces prochaines semaines.
« Je ne savais pas où j'en étais, maintenant je sais. J'ai une base sur laquelle travailler, j'avais envie de savoir quel était mon niveau actuel. Maintenant, c'est plus concret. Je suis très loin de mes meilleurs temps de l'année dernière mais au moins je sais sur quoi travailler ces prochains mois. Je savais que ça allait être dur parce que je me sentais pas forcément très bien à l'entraînement mais parfois, on ne se sent pas bien à l'entraînement et on est bien en compétition », a confié Marchand auprès de L'Equipe.
Marchand va travailler ses ondulations
Le Toulousain va désormais retourner à Austin, où exerce son coach Bob Bowman en tant que Directeur de la natation à l'Université du Texas. « Je vais travailler normalement, prendre du temps pour moi, reprendre ma routine et retravailler les quatre nages, détaille Marchand. Côté technique, mes ondulations sont un peu moins puissantes qu'avant, un peu moins de tempo, donc je vais travailler sur ça. » Un travail dur mais indispensable s'il ne veut pas redescendre de l'Olympe.
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