Le Thunder y est presque
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Porté par un énorme Jalen Williams (40 points) tandis que dans le camp d'en face, Tyrese Haliburton, diminué, est, lui, passé au travers, OKC s'est imposé face à Indiana sur son parquet (120-109) lors du match 5 de la finale NBA. Le Thunder n'est plus qu'à une victoire du deuxième titre de son histoire.
Quarante-six ans après son unique titre, acquis en 1979 sous le nom des Seattle Supersonics, l'Oklahoma City Thunder est en passe de décrocher son deuxième titre de champion NBA. Il ne manque plus qu'une victoire désormais à Shai Gilgeous-Alexander, encore excellent (31 points, 10 passes et 4 contres) et à ses coéquipiers, de nouveau vainqueurs des Pacers (120-109), lundi soir sur le parquet du Paycom Center lors du match 5 de cette finale NBA qui avait vu la franchise de l'Indiana mener à deux reprises avant que son adversaire n'aligne deux succès de rang et prenne pour la première fois les devants.
Au meilleur moment, diront beaucoup de spécialistes sachant que les statistiques le prouvent : 75% des équipes ayant remporté ce cinquième rendez-vous dit pivot soulèvent ensuite le trophée. L'histoire, avec un match 6 dans deux jours chez les Pacers, nous dira si cela sera de nouveau le cas. Toujours est-il que cette première balle de match, c'est bien OKC qui vient donc de se l'offrir grâce notamment à une performance XXL de Jalen Williams.
C'est d'ailleurs le numéro 8 du Thunder, déchaîné lundi devant son public (40 points à 14 sur 25 aux tirs dont 3 sur 5 à trois points), qui a redonné de l'allant en fin de rencontre à son équipe alors que les visiteurs, réputés pour être les spécialistes du genre, avaient encore réussi à gommer un retard pourtant assez énorme de 18 points pour revenir à seulement deux longueurs du Thunder dans le sillage d'un TJ McConnell sur un nuage en fin de troisième quart-temps et de l'inévitable Pascal Siakam, auteur de 28 points dans ce match 5.
Probablement encore marqué par le scénario du premier match de cette finale, qui avait vu les Pacers renverser OKC au buzzer sur un shoot de Tyrese Haliburton, Williams a tout de suite sonné la révolte cette fois et permis aux siens de passer un 18-4 aux joueurs de Mark Daigneault dont ces derniers, pas du tout aidés lundi par un Haliburton, certes diminué par une douleur à un mollet, aux abonnés absents (4 points à 0 sur 6 aux tirs dont 0 sur 4 à trois points), ne se sont jamais remis.
Quarante-six ans après son unique titre, acquis en 1979 sous le nom des Seattle Supersonics, l'Oklahoma City Thunder est en passe de décrocher son deuxième titre de champion NBA. Il ne manque plus qu'une victoire désormais à Shai Gilgeous-Alexander, encore excellent (31 points, 10 passes et 4 contres) et à ses coéquipiers, de nouveau vainqueurs des Pacers (120-109), lundi soir sur le parquet du Paycom Center lors du match 5 de cette finale NBA qui avait vu la franchise de l'Indiana mener à deux reprises avant que son adversaire n'aligne deux succès de rang et prenne pour la première fois les devants.
Au meilleur moment, diront beaucoup de spécialistes sachant que les statistiques le prouvent : 75% des équipes ayant remporté ce cinquième rendez-vous dit pivot soulèvent ensuite le trophée. L'histoire, avec un match 6 dans deux jours chez les Pacers, nous dira si cela sera de nouveau le cas. Toujours est-il que cette première balle de match, c'est bien OKC qui vient donc de se l'offrir grâce notamment à une performance XXL de Jalen Williams.
Un match à oublier pour Haliburton
C'est d'ailleurs le numéro 8 du Thunder, déchaîné lundi devant son public (40 points à 14 sur 25 aux tirs dont 3 sur 5 à trois points), qui a redonné de l'allant en fin de rencontre à son équipe alors que les visiteurs, réputés pour être les spécialistes du genre, avaient encore réussi à gommer un retard pourtant assez énorme de 18 points pour revenir à seulement deux longueurs du Thunder dans le sillage d'un TJ McConnell sur un nuage en fin de troisième quart-temps et de l'inévitable Pascal Siakam, auteur de 28 points dans ce match 5.
Probablement encore marqué par le scénario du premier match de cette finale, qui avait vu les Pacers renverser OKC au buzzer sur un shoot de Tyrese Haliburton, Williams a tout de suite sonné la révolte cette fois et permis aux siens de passer un 18-4 aux joueurs de Mark Daigneault dont ces derniers, pas du tout aidés lundi par un Haliburton, certes diminué par une douleur à un mollet, aux abonnés absents (4 points à 0 sur 6 aux tirs dont 0 sur 4 à trois points), ne se sont jamais remis.
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