Le doublé pour Levallois !

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Les Mariannes de Levallois ont décroché leur deuxième titre d'affilée de championnes de France, en battant Nantes en finale en deux tie-breaks.
En 2022, les Mariannes de Levallois n'avaient terminé qu'à une anonyme dixième place en Ligue A. Trois ans plus tard, voilà les Franciliennes doubles championnes de France (2024 et 2025) et vice-championnes de France (2023) ! Un an après avoir battu Nantes en finale (3-0 puis 3-1), elles ont remis ça, face aux mêmes adversaires, l'emportant 3-2 à l'extérieur puis 3-2 à domicile.
Samedi, Levallois s'est imposé 25-21, 27-29, 19-25, 25-22, 16-13 après 2h20 d'un immense combat devant 2452 spectateurs. Si les Neptunes avaient gagné par n’importe quel score en remportant trois manches, il aurait fallu départager les deux équipes et conclure cette saison au "golden set" (un règlement qui ne sera pas reconduit la saison prochaine). Mais les Mariannes s'en sont sorties avant.
Et elles pourront dire un grand merci à Bianca Cugno (22pts), Natalia Murek (20pts) et Jazmine White (17pts, MVP du match). En face, les 26 points de Haylie Bennett n'ont pas suffi aux Nantaises. Comme Le Cannet en 2022 et 2023, Levallois remporte donc les deux premiers titres de son histoire coup sur coup.
« Il y a un an, c'était une première, on s'est dit qu'on avait fait du bon travail, mais cette année on visait un peu plus haut, on avait une belle équipe, a réagi l'Argentine Bianca Cugno dans des propos relayés par L'Equipe. « Notre secret, pour la capitaine Jazmine White, qui s'exprime dans les colonnes du Parisien, c’est qu’on s’aime toutes sur et en dehors du terrain. Nous nous respectons et nous nous faisons confiance. »
« C'est indescriptible, un titre très différent du premier. La saison dernière on a gardé un bon rythme presque tout le temps, cette année a été beaucoup plus difficile, avec la Ligue des champions en plus, réagissait de son côté le coach Alessandro Orefice. On a changé l'équipe, pas le staff. On a eu des blessures, mais on a rebondi, avec le travail, le talent et la motivation. » La saison prochaine, Levallois visera la passe de trois, ce qui n'a plus été réussi depuis le grand RC Cannes des années 2000-2010. Ce sera probablement sans Bianca Cugno, annoncée sur le départ.
En 2022, les Mariannes de Levallois n'avaient terminé qu'à une anonyme dixième place en Ligue A. Trois ans plus tard, voilà les Franciliennes doubles championnes de France (2024 et 2025) et vice-championnes de France (2023) ! Un an après avoir battu Nantes en finale (3-0 puis 3-1), elles ont remis ça, face aux mêmes adversaires, l'emportant 3-2 à l'extérieur puis 3-2 à domicile.
Samedi, Levallois s'est imposé 25-21, 27-29, 19-25, 25-22, 16-13 après 2h20 d'un immense combat devant 2452 spectateurs. Si les Neptunes avaient gagné par n’importe quel score en remportant trois manches, il aurait fallu départager les deux équipes et conclure cette saison au "golden set" (un règlement qui ne sera pas reconduit la saison prochaine). Mais les Mariannes s'en sont sorties avant.
Et elles pourront dire un grand merci à Bianca Cugno (22pts), Natalia Murek (20pts) et Jazmine White (17pts, MVP du match). En face, les 26 points de Haylie Bennett n'ont pas suffi aux Nantaises. Comme Le Cannet en 2022 et 2023, Levallois remporte donc les deux premiers titres de son histoire coup sur coup.
"Notre secret, c'est qu'on s'aime toutes"
« Il y a un an, c'était une première, on s'est dit qu'on avait fait du bon travail, mais cette année on visait un peu plus haut, on avait une belle équipe, a réagi l'Argentine Bianca Cugno dans des propos relayés par L'Equipe. « Notre secret, pour la capitaine Jazmine White, qui s'exprime dans les colonnes du Parisien, c’est qu’on s’aime toutes sur et en dehors du terrain. Nous nous respectons et nous nous faisons confiance. »
« C'est indescriptible, un titre très différent du premier. La saison dernière on a gardé un bon rythme presque tout le temps, cette année a été beaucoup plus difficile, avec la Ligue des champions en plus, réagissait de son côté le coach Alessandro Orefice. On a changé l'équipe, pas le staff. On a eu des blessures, mais on a rebondi, avec le travail, le talent et la motivation. » La saison prochaine, Levallois visera la passe de trois, ce qui n'a plus été réussi depuis le grand RC Cannes des années 2000-2010. Ce sera probablement sans Bianca Cugno, annoncée sur le départ.
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