Grosse menace confirmée sur Julia Simon et Justine Braisaz-Bouchet !
Publié le , mis à jour le
Les deux leaders du biathlon tricolore vont devoir composer avec une concurrente de choix en la personne de Lou Jeanmonnot.
Julia Simon était finalement bien présente au départ de l’individuel court, mercredi, à Kontiolahti. Incertaine en raison de la vive douleur au mollet ressentie dans le final du relais féminin, dimanche, la quadruple championne du monde a pu se rassurer. Tout du moins sur le plan physique. Car pour le reste, la biathlète des Saisies est apparue à la peine, autant sur les skis, comme en témoigne son 15e temps (à 1'46 d’Elvira Oeberg), qu’avec la carabine en mains, signant un modeste 16 sur 20 aux tirs.
Seulement 31e, Julia Simon a toujours fait mieux que Justine Braisaz-Bouchet, passée au travers au tir avec cinq cibles manquées et finalement 39e. Pour autant, la Marseillaise a résonné dans le ciel de Kontiolahti. La victoire est en effet revenue à Lou Jeanmonnot, la révélation de la saison dernière. Comme la saison dernière, la native de Pontarlier a en effet démarré la saison pied au plancher en remportant la première course, s’emparant du même coup du maillot jaune.
La saison dernière, seul le Covid l’avait sans doute privé du Gros Globe, Lou Jeanmonnot terminant finalement à la deuxième place du classement général de la Coupe du monde, à seulement 23 points de Lisa Vittozzi, après avoir également décroché quatre médailles aux championnats du monde. Cette saison est donc celle de la confirmation et cela ne pouvait donc pas mieux commencer.
Auteur du 6e temps au ski, elle s’est en effet montrée impériale aux tirs avec un splendide 20 sur 20. Forcément prometteur pour la suite. « C’est de bon augure, ça veut dire que la préparation a fonctionné, que je suis dans les clous en termes de forme et de technique, savourait-elle après la course dans des propos relayés par L’Equipe. Cet été, j’avais du mal à récupérer. Il y avait de la fatigue de la saison passée. Je pensais être à côté de la plaque et traîner cette fatigue. Mais je ne suis pas. »
Lou Jeanmonnot peut donc voir plus loin. « Je pense que ça va continuer à monter pendant la saison, a-t-elle affirmé, entendant désormais défendre son dossard jaune : « Je suis allé le chercher ce dossard. Ce n'est pas comme celui qui m'est tombé dessus l'an dernier. J'ai ce challenge de vouloir le garder, de le jouer, de l'assumer. Ça va être différent de l'an passé, mais ça va être cool. C'est ce que j'ai toujours voulu. » Ses concurrentes, au premier rang desquelles Julia Simon et Justine Braisaz-Bouchet, sont prévenues.
Julia Simon était finalement bien présente au départ de l’individuel court, mercredi, à Kontiolahti. Incertaine en raison de la vive douleur au mollet ressentie dans le final du relais féminin, dimanche, la quadruple championne du monde a pu se rassurer. Tout du moins sur le plan physique. Car pour le reste, la biathlète des Saisies est apparue à la peine, autant sur les skis, comme en témoigne son 15e temps (à 1'46 d’Elvira Oeberg), qu’avec la carabine en mains, signant un modeste 16 sur 20 aux tirs.
Seulement 31e, Julia Simon a toujours fait mieux que Justine Braisaz-Bouchet, passée au travers au tir avec cinq cibles manquées et finalement 39e. Pour autant, la Marseillaise a résonné dans le ciel de Kontiolahti. La victoire est en effet revenue à Lou Jeanmonnot, la révélation de la saison dernière. Comme la saison dernière, la native de Pontarlier a en effet démarré la saison pied au plancher en remportant la première course, s’emparant du même coup du maillot jaune.
De bon augure pour la suite
La saison dernière, seul le Covid l’avait sans doute privé du Gros Globe, Lou Jeanmonnot terminant finalement à la deuxième place du classement général de la Coupe du monde, à seulement 23 points de Lisa Vittozzi, après avoir également décroché quatre médailles aux championnats du monde. Cette saison est donc celle de la confirmation et cela ne pouvait donc pas mieux commencer.
Auteur du 6e temps au ski, elle s’est en effet montrée impériale aux tirs avec un splendide 20 sur 20. Forcément prometteur pour la suite. « C’est de bon augure, ça veut dire que la préparation a fonctionné, que je suis dans les clous en termes de forme et de technique, savourait-elle après la course dans des propos relayés par L’Equipe. Cet été, j’avais du mal à récupérer. Il y avait de la fatigue de la saison passée. Je pensais être à côté de la plaque et traîner cette fatigue. Mais je ne suis pas. »
Lou Jeanmonnot peut donc voir plus loin. « Je pense que ça va continuer à monter pendant la saison, a-t-elle affirmé, entendant désormais défendre son dossard jaune : « Je suis allé le chercher ce dossard. Ce n'est pas comme celui qui m'est tombé dessus l'an dernier. J'ai ce challenge de vouloir le garder, de le jouer, de l'assumer. Ça va être différent de l'an passé, mais ça va être cool. C'est ce que j'ai toujours voulu. » Ses concurrentes, au premier rang desquelles Julia Simon et Justine Braisaz-Bouchet, sont prévenues.
Publicité