Gros malheur sur le Vendée Globe
Publié le , mis à jour le
Loin des leaders, les bateaux sous soumis à rude épreuve et Antoine Cornic a subi un nouveau coup du sort avec cette fois le rail de grand-voile qui a cassé.
Si les leaders du Vendée Globe bénéficient de conditions clémentes alors qu’ils s’apprêtent à dépasser l’Australie pour entrer dans le Pacifique, l’Océan Indien se montre toujours aussi impitoyable avec les concurrents à l’arrière. Les jours se suivent et se ressemblent avec, chaque jour, une nouvelle avarie annoncée. Si ce n’est plus…
Jeudi, c’est ainsi au tour d’Antoine Cornic de raconter ses (nouveaux) malheurs. En début de semaine, le skipper de Human Immobilier avait en effet raconté que sa grand-voile avait explosé sous la force des vents et n’était plus que lambeaux. Cette fois, c’est le rail de la grand-voile qui a cédé, l’obligeant à se dérouter pour réparer.
« Comment je vais réparer ça ? », s’est-il demandé dans une vidéo avec l’objet en question, arraché et tordu. « Il va falloir que je trouve la solution, c’est en cours », a-t-il poursuivi avant d’indiquer mettre le cap sur l’Ile Saint-Paul, un minuscule ilot français situé à 1 280 km au nord-nord-est des îles Kerguelen, où le natif de Drancy devrait pouvoir s’abriter pour réparer.
« J’ai pas mal d’idées, l’équipe aussi et on bosse », a-t-il poursuivi, forcément « extrêmement déçu ». « Dans trois jours, trois jours et demi ou quatre, je serai là-bas.... Je n’ai pas de grand-voile, on fait avec ce qu’on a et la mer est encore énorme avec 50 nœuds de vent », a-t-il expliqué, se rattrapant à des petits bonheurs simples : « C’est forcément une bonne journée car c’est mon anniversaire de mariage. J’embrasse la mer pour tous les autres. Je reviendrai très vite avec des nouvelles. »
Si les leaders du Vendée Globe bénéficient de conditions clémentes alors qu’ils s’apprêtent à dépasser l’Australie pour entrer dans le Pacifique, l’Océan Indien se montre toujours aussi impitoyable avec les concurrents à l’arrière. Les jours se suivent et se ressemblent avec, chaque jour, une nouvelle avarie annoncée. Si ce n’est plus…
Jeudi, c’est ainsi au tour d’Antoine Cornic de raconter ses (nouveaux) malheurs. En début de semaine, le skipper de Human Immobilier avait en effet raconté que sa grand-voile avait explosé sous la force des vents et n’était plus que lambeaux. Cette fois, c’est le rail de la grand-voile qui a cédé, l’obligeant à se dérouter pour réparer.
Comment je vais réparer ça ?
« Comment je vais réparer ça ? », s’est-il demandé dans une vidéo avec l’objet en question, arraché et tordu. « Il va falloir que je trouve la solution, c’est en cours », a-t-il poursuivi avant d’indiquer mettre le cap sur l’Ile Saint-Paul, un minuscule ilot français situé à 1 280 km au nord-nord-est des îles Kerguelen, où le natif de Drancy devrait pouvoir s’abriter pour réparer.
« J’ai pas mal d’idées, l’équipe aussi et on bosse », a-t-il poursuivi, forcément « extrêmement déçu ». « Dans trois jours, trois jours et demi ou quatre, je serai là-bas.... Je n’ai pas de grand-voile, on fait avec ce qu’on a et la mer est encore énorme avec 50 nœuds de vent », a-t-il expliqué, se rattrapant à des petits bonheurs simples : « C’est forcément une bonne journée car c’est mon anniversaire de mariage. J’embrasse la mer pour tous les autres. Je reviendrai très vite avec des nouvelles. »
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