France-Gille: "L’adversité était là"
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Après la victoire face à l’Autriche, le sélectionneur des Bleus Guillaume Gille et ses joueurs ont tiré un bilan très positif de la première phase de compétition. Ils soulignent surtout leur capacité à battre en brèche le jeu à sept contre six des Autrichiens.
Guillaume Gille en convient, « c’est un match abouti ». En conclusion du Tour Préliminaire du Mondial 2025, les Bleus ont poursuivi leur sans faute avec un succès net face à l’Autriche. Toutefois, le sélectionneur national a ajouté dans un communiqué de la Fédération Française de handball qu’il y aura « toujours des choses à redire, et c’est logique ». Après deux matchs très faciles pour entamer la compétition, ce duel face à l’Autriche restera un match qui « fait vraiment rentrer dans la compétition » car « l’adversité était là et les problématiques imposées par l’Autriche étaient réelles ». Guillaume Gille entend tirer des enseignements de cette rencontre avant l’entame du Tour Principal, en début de semaine prochaine à Varazdin. « C’est intéressant de partir au Tour Principal avec des certitudes sur plusieurs phases, a-t-il ajouté. On va envisager la suite avec beaucoup d’envie et d’appétit. » Néanmoins, le chemin des quarts de finale sera pavé de « trois nouveaux gros combats ». Ce match face à l’Autriche a également été l’occasion pour Charles Bolzinger de disputer ses premières minutes dans un Mondial. Le gardien tricolore a noté que le choix tactique des Autrichiens les voyant jouer à sept dans le champ s’est avéré « très embêtant parce qu’ils cassent le rythme tout le temps ».
Mais pas de quoi jeter une ombre sur la prestation de l’équipe de France, qu'il a intégré après la blessure de Samir Bellahcene. « Je pense que l’on a fait une partie très sérieuse de bout en bout. En attaque comme en défense, a-t-il ainsi affirmé. On a eu une bonne efficacité offensive, il faut s’appuyer là-dessus. » S’il a déjà porté le maillot des Bleus, Charles Bolzinger a confié que sortir de cette rencontre avec de la satisfaction. « Aujourd’hui, je suis satisfait parce que c’est la première fois que je sors en étant satisfait et avec le sourire d’un match de l’équipe de France, a conclu le gardien de Montpellier. J’ai trouvé du relâchement et du plaisir pour bien rentrer dans la compétition. » Meilleur marqueur tricolore dans ce match avec six buts en huit tirs, à égalité avec Dika Mem, Thibaud Briet concède que « ça n’a pas été un match simple » car « l’Autriche joue sur un faux-rythme avec son sept contre six ». « Ils ont un, deux, voire trois temps de jeu, a ajouté le Nantais. Même si tu défends bien, ils arrivent à trouver une solution dans le quatrième temps. » Néanmoins, il assure que les Bleus ont fait la différence car ils ont su garder leur intensité quand leurs adversaires ont « perdu leur lucidité ». « Personnellement, je prends mon pied. J’ai du temps de jeu que j’utilise bien, a-t-il ajouté. Les gars me mettent dans les bonnes conditions pour que je marque des buts et je n’ai juste qu’à jouer mon jeu. Je fais ce que je sais faire et pour l’instant ça se passe bien. Faut que ça continue. »
Après avoir terminé le match contre le Koweït avec un bandeau après un choc à l’arcade sourcilière, Luka Karabatic a joué un peu plus d’un quart d’heure, essentiellement en défense. Une rencontre qui a pu confirmer la montée en puissance des Bleus. « On a rempli l’objectif aujourd’hui (samedi), a-t-il ainsi affirmé. On savait que l’on avait une phase de poule où l’on montait en termes de niveau. Je pense qu’aujourd’hui, on a joué contre une très belle équipe de l’Autriche. » Une victoire qui permet à l’équipe de France d’aborder le Tour Principal avec quatre points, ce que le Parisien voit comme « une bonne chose de faite », ajoutant que « l’objectif est rempli ». Luka Karabatic a également assuré que la préparation a été utile afin de juguler le jeu à sept contre six de l’Autriche. « Je pense que le match du Portugal que l’on avait joué à Strasbourg nous a aidé, car on avait aussi affronté une attaque à sept contre six, a ajouté l’ancien capitaine des Bleus. Et elle nous avait posé des problèmes. Ça nous a permis de faire des ajustements et on a su leur poser des problèmes aujourd’hui (samedi). » Mais, au-delà du résultat, il retient que « c’est bien d’avoir marqué les esprits » en vue de la suite de la compétition.
Guillaume Gille en convient, « c’est un match abouti ». En conclusion du Tour Préliminaire du Mondial 2025, les Bleus ont poursuivi leur sans faute avec un succès net face à l’Autriche. Toutefois, le sélectionneur national a ajouté dans un communiqué de la Fédération Française de handball qu’il y aura « toujours des choses à redire, et c’est logique ». Après deux matchs très faciles pour entamer la compétition, ce duel face à l’Autriche restera un match qui « fait vraiment rentrer dans la compétition » car « l’adversité était là et les problématiques imposées par l’Autriche étaient réelles ». Guillaume Gille entend tirer des enseignements de cette rencontre avant l’entame du Tour Principal, en début de semaine prochaine à Varazdin. « C’est intéressant de partir au Tour Principal avec des certitudes sur plusieurs phases, a-t-il ajouté. On va envisager la suite avec beaucoup d’envie et d’appétit. » Néanmoins, le chemin des quarts de finale sera pavé de « trois nouveaux gros combats ». Ce match face à l’Autriche a également été l’occasion pour Charles Bolzinger de disputer ses premières minutes dans un Mondial. Le gardien tricolore a noté que le choix tactique des Autrichiens les voyant jouer à sept dans le champ s’est avéré « très embêtant parce qu’ils cassent le rythme tout le temps ».
Briet : « Je prends mon pied »
Mais pas de quoi jeter une ombre sur la prestation de l’équipe de France, qu'il a intégré après la blessure de Samir Bellahcene. « Je pense que l’on a fait une partie très sérieuse de bout en bout. En attaque comme en défense, a-t-il ainsi affirmé. On a eu une bonne efficacité offensive, il faut s’appuyer là-dessus. » S’il a déjà porté le maillot des Bleus, Charles Bolzinger a confié que sortir de cette rencontre avec de la satisfaction. « Aujourd’hui, je suis satisfait parce que c’est la première fois que je sors en étant satisfait et avec le sourire d’un match de l’équipe de France, a conclu le gardien de Montpellier. J’ai trouvé du relâchement et du plaisir pour bien rentrer dans la compétition. » Meilleur marqueur tricolore dans ce match avec six buts en huit tirs, à égalité avec Dika Mem, Thibaud Briet concède que « ça n’a pas été un match simple » car « l’Autriche joue sur un faux-rythme avec son sept contre six ». « Ils ont un, deux, voire trois temps de jeu, a ajouté le Nantais. Même si tu défends bien, ils arrivent à trouver une solution dans le quatrième temps. » Néanmoins, il assure que les Bleus ont fait la différence car ils ont su garder leur intensité quand leurs adversaires ont « perdu leur lucidité ». « Personnellement, je prends mon pied. J’ai du temps de jeu que j’utilise bien, a-t-il ajouté. Les gars me mettent dans les bonnes conditions pour que je marque des buts et je n’ai juste qu’à jouer mon jeu. Je fais ce que je sais faire et pour l’instant ça se passe bien. Faut que ça continue. »
L.Karabatic : « L’objectif est rempli «
Après avoir terminé le match contre le Koweït avec un bandeau après un choc à l’arcade sourcilière, Luka Karabatic a joué un peu plus d’un quart d’heure, essentiellement en défense. Une rencontre qui a pu confirmer la montée en puissance des Bleus. « On a rempli l’objectif aujourd’hui (samedi), a-t-il ainsi affirmé. On savait que l’on avait une phase de poule où l’on montait en termes de niveau. Je pense qu’aujourd’hui, on a joué contre une très belle équipe de l’Autriche. » Une victoire qui permet à l’équipe de France d’aborder le Tour Principal avec quatre points, ce que le Parisien voit comme « une bonne chose de faite », ajoutant que « l’objectif est rempli ». Luka Karabatic a également assuré que la préparation a été utile afin de juguler le jeu à sept contre six de l’Autriche. « Je pense que le match du Portugal que l’on avait joué à Strasbourg nous a aidé, car on avait aussi affronté une attaque à sept contre six, a ajouté l’ancien capitaine des Bleus. Et elle nous avait posé des problèmes. Ça nous a permis de faire des ajustements et on a su leur poser des problèmes aujourd’hui (samedi). » Mais, au-delà du résultat, il retient que « c’est bien d’avoir marqué les esprits » en vue de la suite de la compétition.
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