Florent Manaudou, la grave maladie

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A l’image de neuf autres personnalités, Florent Manaudou a révélé souffrir d’une maladie mentale.
Les mots de Nicolas Demorand, mercredi, dans sa chronique sur France Inter à l’occasion de la sortie de son livre Intérieur nuit ont saisi les auditeurs. « Je suis un malade mental », a-t-il ainsi asséné, ajoutant : « Comme des centaines de milliers de Français, je suis bipolaire. Bipolaire de type 2. J’alterne des phases d’euphorie et des périodes de dépression, mais je suis soigné.»
« Oui, je suis un malade mental : c’est cru, c’est violent à dire et sûrement à entendre, mais je ne veux plus le cacher ni ME cacher », a-t-il renchéri, espérant bien initier un mouvement. « Si un '#MeToo de la maladie mentale' émergeait, tous ceux qui souffrent aujourd’hui en silence et dans la honte verraient leur vie sacrément améliorée, car crever en silence n’est pas un destin », a-t-il ainsi également confié dans les colonnes du Point.
Nicolas Demorand verra donc d’un bon œil les révélations faites par Pure Medias :M6 se prépare en effet à diffuser dans les prochaines semaines un documentaire événement intitulé "Santé mentale, briser le tabou". Le documentaire, "événementiel d'utilité publique" selon la chaîne privée, verra notamment dix personnalités partager leurs problèmes mentaux parmi lesquels l'acteur François Berléand, le magicien Eric Antoine ou la comédienne Michèle Bernier.
Autre célébrité à se confesser, Florent Manaudou. « Oui je suis en dépression », a-t-il ainsi révélé devant les caméras de la journaliste Juliette Paquin. A l’automne dernier, le nageur avait déjà évoqué la période difficile traversée depuis la fin des Jeux Olympiques. « C’est compliqué de se motiver quand il n’y a pas de carotte et avec toutes les émotions à assimiler. La carotte de Paris 2024 était très belle, c’était facile », avait-il notamment confié, ajoutant : « C’est très compliqué émotionnellement depuis la fin des Jeux. Il y a eu le gros down quand je suis rentré à la maison. (...) C’est très agréable pendant un temps mais quand on est vu pendant trois mois seulement comme celui qui a fait le clapping ou celui qui a fait la médaille de bronze, quand on me reparle de ça tous les jours, c’est dur d’avancer. »
Les mots de Nicolas Demorand, mercredi, dans sa chronique sur France Inter à l’occasion de la sortie de son livre Intérieur nuit ont saisi les auditeurs. « Je suis un malade mental », a-t-il ainsi asséné, ajoutant : « Comme des centaines de milliers de Français, je suis bipolaire. Bipolaire de type 2. J’alterne des phases d’euphorie et des périodes de dépression, mais je suis soigné.»
« Oui, je suis un malade mental : c’est cru, c’est violent à dire et sûrement à entendre, mais je ne veux plus le cacher ni ME cacher », a-t-il renchéri, espérant bien initier un mouvement. « Si un '#MeToo de la maladie mentale' émergeait, tous ceux qui souffrent aujourd’hui en silence et dans la honte verraient leur vie sacrément améliorée, car crever en silence n’est pas un destin », a-t-il ainsi également confié dans les colonnes du Point.
Nicolas Demorand verra donc d’un bon œil les révélations faites par Pure Medias :M6 se prépare en effet à diffuser dans les prochaines semaines un documentaire événement intitulé "Santé mentale, briser le tabou". Le documentaire, "événementiel d'utilité publique" selon la chaîne privée, verra notamment dix personnalités partager leurs problèmes mentaux parmi lesquels l'acteur François Berléand, le magicien Eric Antoine ou la comédienne Michèle Bernier.
Autre célébrité à se confesser, Florent Manaudou. « Oui je suis en dépression », a-t-il ainsi révélé devant les caméras de la journaliste Juliette Paquin. A l’automne dernier, le nageur avait déjà évoqué la période difficile traversée depuis la fin des Jeux Olympiques. « C’est compliqué de se motiver quand il n’y a pas de carotte et avec toutes les émotions à assimiler. La carotte de Paris 2024 était très belle, c’était facile », avait-il notamment confié, ajoutant : « C’est très compliqué émotionnellement depuis la fin des Jeux. Il y a eu le gros down quand je suis rentré à la maison. (...) C’est très agréable pendant un temps mais quand on est vu pendant trois mois seulement comme celui qui a fait le clapping ou celui qui a fait la médaille de bronze, quand on me reparle de ça tous les jours, c’est dur d’avancer. »
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