Félix Lebrun, grosse inquiétude avant la reprise !
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Alors qu’il s’apprête à lancer la nouvelle saison à Singapour, Félix Lebrun est dans l’inconnu.
L’heure de la reprise s’apprête à sonner pour les frères Lebrun. Comme la plupart des cadors du circuit, Alexis et Félix Lebrun ont en effet décidé de donner le coup d’envoi de leur saison à l’occasion du Smash de Singapour, l’équivalent d’un tournoi du Grand Chelem en tennis. Et à deux jours du début des hostilités, les deux Montpelliérains sont en manque de repères.
Les deux médaillés de bronze aux Jeux de Paris n’ont pas disputé en effet le moindre tournoi depuis les WTT Finals, fin novembre, et ont dû se contenter, ces dernières semaines, de la rencontre aller des quarts de finale de la Ligue des champions face à Düsseldorf avec deux défaites frustrantes à la clé contre Dang Qiu et Anton Kallberg.
« Je n’ai plus l’habitude des situations stressantes depuis un moment », a d’ailleurs reconnu Félix Lebrun dans les colonnes de L’Equipe. Plutôt que de jouer à Doha ou Muscat à l’instar de leur rival Tomokazu Harimoto, les frères Lebrun ont privilégié un stage à Boulouris, l’accent ayant été mis sur le physique pour le cadet, redescendu au cinquième rang mondial.
« Je suis encore loin de mon potentiel maximum, a-t-il confié. Si je ne pousse pas le physique maintenant, je ne pourrai pas travailler certains points techniques. » Pour autant, Félix Lebrun entend rester mesuré en la matière. « Plus on prend de muscle, de poids, plus on peut être lent. Le plus dur va être de garder ma vitesse », a-t-il expliqué, son entraîneur, Nathanaël Molin veillant au grain: « Comment fait-on pour l’amener à maintenir des coups à haute performance en les incluant dans son jeu de vitesse ? Je dois faire attention à ce qu’il incorpore ce qu’on travaille dans son jeu. Et non pas lui faire changer de jeu »
L’heure de la reprise s’apprête à sonner pour les frères Lebrun. Comme la plupart des cadors du circuit, Alexis et Félix Lebrun ont en effet décidé de donner le coup d’envoi de leur saison à l’occasion du Smash de Singapour, l’équivalent d’un tournoi du Grand Chelem en tennis. Et à deux jours du début des hostilités, les deux Montpelliérains sont en manque de repères.
Les deux médaillés de bronze aux Jeux de Paris n’ont pas disputé en effet le moindre tournoi depuis les WTT Finals, fin novembre, et ont dû se contenter, ces dernières semaines, de la rencontre aller des quarts de finale de la Ligue des champions face à Düsseldorf avec deux défaites frustrantes à la clé contre Dang Qiu et Anton Kallberg.
Félix Lebrun doit retrouver ses marques
« Je n’ai plus l’habitude des situations stressantes depuis un moment », a d’ailleurs reconnu Félix Lebrun dans les colonnes de L’Equipe. Plutôt que de jouer à Doha ou Muscat à l’instar de leur rival Tomokazu Harimoto, les frères Lebrun ont privilégié un stage à Boulouris, l’accent ayant été mis sur le physique pour le cadet, redescendu au cinquième rang mondial.
« Je suis encore loin de mon potentiel maximum, a-t-il confié. Si je ne pousse pas le physique maintenant, je ne pourrai pas travailler certains points techniques. » Pour autant, Félix Lebrun entend rester mesuré en la matière. « Plus on prend de muscle, de poids, plus on peut être lent. Le plus dur va être de garder ma vitesse », a-t-il expliqué, son entraîneur, Nathanaël Molin veillant au grain: « Comment fait-on pour l’amener à maintenir des coups à haute performance en les incluant dans son jeu de vitesse ? Je dois faire attention à ce qu’il incorpore ce qu’on travaille dans son jeu. Et non pas lui faire changer de jeu »
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