Europe: Pas de doublé pour Anane et les Bleus
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Tenants du titre, les fleurettistes français se sont inclinés en finale des championnats d'Europe, ce jeudi à Gênes. Anas Anane, Maxime Pauty, Pierre Loisel et Rafael Savin ont subi la loi des Italiens, vainqueurs 45 touches à 43.
L'histoire était presque trop belle. Après avoir conquis son premier titre continental (mais aussi sa première médaille internationale) dès sa première sélections chez les séniors, Anas Anane, 21 ans seulement, allait maintenant donner des ailes aux fleurettistes français et leur permettre de conserver leur titre de champion d'Europe. Malheureusement pour la nouvelle pépite du fleuret français et ses nouveaux coéquipiers, le scénario rêvé n'a pas donné lieu à celui qui s'est joué ce jeudi sur la piste de Gênes. Malgré la présence du tout jeune champion d'Europe, les Bleus ont buté sur la dernière marche et abandonné du même coup ce titre qu'ils étaient venu défendre en Italie avec l'espoir de réaliser le doublé.
Le deuxième sacre consécutif n'était pourtant pas loin pour Anane, Maxime Pauty, Pierre Loisel et Rafael Savin, uniquement battus en finale jeudi, par l'Italie à l'issue d'un rencontre qui a vu les Tricolores passer, comme en demi-finale contre la Belgique (succès 45-41) par tous les sentiments face à leurs hôtes, finalement vainqueurs 45 touches à 43. Un temps, les Tricolores, qui peuvent néanmoins se consoler en appréciant de poursuivre leur très belle série avec une cinquième médaille de suite aux championnats d'Europe, certes en argent uniquement cette fois, ont compté cinq touches de retard.
Les vainqueurs sortants sont ensuite passés devant pour la première fois dans cette finale, avant de se faire rejoindre par les Italiens et de finalement s'incliner. La marche était donc trop haute à l'arrivée face aux vice-champions olympiques contre qui Pauty, seul rescapé de l'équipe sacrée championne d'Europe lors de la dernière édition mais qui faisait également partie du quatuor ayant décroché la médaille de bronze l'été dernier lors des Jeux Olympiques de Paris 2024, et les Français s'étaient déjà cassé les dents en finale deux ans plus tôt lors des Jeux européens, une épreuve qui faisait alors office de championnats d'Europe.
L'histoire était presque trop belle. Après avoir conquis son premier titre continental (mais aussi sa première médaille internationale) dès sa première sélections chez les séniors, Anas Anane, 21 ans seulement, allait maintenant donner des ailes aux fleurettistes français et leur permettre de conserver leur titre de champion d'Europe. Malheureusement pour la nouvelle pépite du fleuret français et ses nouveaux coéquipiers, le scénario rêvé n'a pas donné lieu à celui qui s'est joué ce jeudi sur la piste de Gênes. Malgré la présence du tout jeune champion d'Europe, les Bleus ont buté sur la dernière marche et abandonné du même coup ce titre qu'ils étaient venu défendre en Italie avec l'espoir de réaliser le doublé.
Le deuxième sacre consécutif n'était pourtant pas loin pour Anane, Maxime Pauty, Pierre Loisel et Rafael Savin, uniquement battus en finale jeudi, par l'Italie à l'issue d'un rencontre qui a vu les Tricolores passer, comme en demi-finale contre la Belgique (succès 45-41) par tous les sentiments face à leurs hôtes, finalement vainqueurs 45 touches à 43. Un temps, les Tricolores, qui peuvent néanmoins se consoler en appréciant de poursuivre leur très belle série avec une cinquième médaille de suite aux championnats d'Europe, certes en argent uniquement cette fois, ont compté cinq touches de retard.
L'Italie, doublement bête noire...
Les vainqueurs sortants sont ensuite passés devant pour la première fois dans cette finale, avant de se faire rejoindre par les Italiens et de finalement s'incliner. La marche était donc trop haute à l'arrivée face aux vice-champions olympiques contre qui Pauty, seul rescapé de l'équipe sacrée championne d'Europe lors de la dernière édition mais qui faisait également partie du quatuor ayant décroché la médaille de bronze l'été dernier lors des Jeux Olympiques de Paris 2024, et les Français s'étaient déjà cassé les dents en finale deux ans plus tôt lors des Jeux européens, une épreuve qui faisait alors office de championnats d'Europe.
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