Enorme frayeur sur le Vendée Globe !
Publié le , mis à jour le
Le vainqueur de la dernière édition du Vendée Globe a vu son bateau se coucher dans une mer très agitée.
Comme attendu, la flotte du Vendée Globe a été mise à rude épreuve ces dernières heures. Louis Burton a été le premier à en faire les frais puisque le skipper de Bureau Vallée, troisième du dernier Vendée Globe, a été contraint à l’abandon en raison d’une « sérieuses avarie ». Et dans la foulée, c’est le vainqueur de la précédente édition qui en a été quitte pour une frayeur majuscule.
Yannick Bestaven a en effet révélé que son bateau s’était couché alors qu’il dormait, lui valant un réveil des plus brutaux. « Je me suis un peu endormi avant le lever du jour, qui se lève vers 4h du matin, a-t-il ainsi confié dans une vidéo publiée sur le site de la course. Alors que je dormais paisiblement, le front est passé dessus et le bateau est parti à l'abattée (quand le bateau se couche), je me suis retrouvé à l'envers, les pieds et le mât dans l'eau. Obligé de remettre tout ça droit en faisant bien attention de ne pas casser les lattes et ça s'est plutôt bien passé. »
Et si le vent a faibli, les conditions de navigation demeurent éprouvantes pour les marins du Vendée Globe. « Le plus compliqué est de faire avancer le bateau parce que c'est les montagnes russes. La mer est 'défoncée' même si elle n'est pas trop grosse, a-t-il affirmé. Mais elle va dans tous les sens donc il faut réussir à réguler la vitesse du bateau pour ne pas planter trop. »
« Il faut bien s'accrocher parce que ça bouge dans tous les sens, c'est le grand huit de la Foire du Trône, a-t-il poursuivi. Ça monte, ça descend, ça accélère ça décélère. Ça va être dur toute la journée, il n'y a pas besoin de repasser à la caisse pour prendre un ticket. Amateurs de sensations fortes, l'imoca dans l'océan Indien avec 35 noeuds, c'est sympa. »
Au dernier pointage du Vendée Globe, Yannick Bestaven pointait à la 9e place du classement, dans le sillage de Sam Goodchild et Paul Meilhat. Les hommes de tête sont en revanche à bonne distance puisque Maître Coq V navigue avec près de 800 milles de retard sur le leader, Charles Dalin (Macif Santé Pévoyance).
Comme attendu, la flotte du Vendée Globe a été mise à rude épreuve ces dernières heures. Louis Burton a été le premier à en faire les frais puisque le skipper de Bureau Vallée, troisième du dernier Vendée Globe, a été contraint à l’abandon en raison d’une « sérieuses avarie ». Et dans la foulée, c’est le vainqueur de la précédente édition qui en a été quitte pour une frayeur majuscule.
Yannick Bestaven a en effet révélé que son bateau s’était couché alors qu’il dormait, lui valant un réveil des plus brutaux. « Je me suis un peu endormi avant le lever du jour, qui se lève vers 4h du matin, a-t-il ainsi confié dans une vidéo publiée sur le site de la course. Alors que je dormais paisiblement, le front est passé dessus et le bateau est parti à l'abattée (quand le bateau se couche), je me suis retrouvé à l'envers, les pieds et le mât dans l'eau. Obligé de remettre tout ça droit en faisant bien attention de ne pas casser les lattes et ça s'est plutôt bien passé. »
Les marins du Vendée Globe dans une mer vicieuse
Et si le vent a faibli, les conditions de navigation demeurent éprouvantes pour les marins du Vendée Globe. « Le plus compliqué est de faire avancer le bateau parce que c'est les montagnes russes. La mer est 'défoncée' même si elle n'est pas trop grosse, a-t-il affirmé. Mais elle va dans tous les sens donc il faut réussir à réguler la vitesse du bateau pour ne pas planter trop. »
« Il faut bien s'accrocher parce que ça bouge dans tous les sens, c'est le grand huit de la Foire du Trône, a-t-il poursuivi. Ça monte, ça descend, ça accélère ça décélère. Ça va être dur toute la journée, il n'y a pas besoin de repasser à la caisse pour prendre un ticket. Amateurs de sensations fortes, l'imoca dans l'océan Indien avec 35 noeuds, c'est sympa. »
Au dernier pointage du Vendée Globe, Yannick Bestaven pointait à la 9e place du classement, dans le sillage de Sam Goodchild et Paul Meilhat. Les hommes de tête sont en revanche à bonne distance puisque Maître Coq V navigue avec près de 800 milles de retard sur le leader, Charles Dalin (Macif Santé Pévoyance).
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