Droits TV, ça bouge !
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Les modalités de diffusion du championnat et possibles retombées financières devraient être présentées aux clubs de Ligue 1 ce mardi lors d’un CA extraordinaire.
Le rendez-vous manqué avec Canal+ aura au moins eu le mérite d’accélérer la manœuvre. L’heure étant grave pour le football français, un conseil d’administration de la Ligue de football professionnel est programmé ce mardi dans la foulée d’un collège des présidents de Ligue 1. L’occasion pour la LFP de clarifier enfin la situation quant aux droits TV.
Selon L’Equipe, « la Ligue et le patron de LFP Media Nicolas de Tavernost se dirigent vers une distribution non-exclusive de huit des neuf matches de championnat auprès des différents opérateurs. Cela va des fournisseurs d’accès à Internet (Free, Orange, SFR) aux plateformes comme DAZN ou Prime Video ». BeIN Sports conservant sa rencontre unique du samedi après-midi.
https://x.com/sports_fr/status/1939740545200353684
La chaîne dédiée à la Ligue 1, sauf improbable revirement désormais, coûtera bien 14,99 euros par mois – et 10 euros à peine pour les moins de 26 ans. La Ligue de football professionnel ayant en revanche écarté la candidature de DAZN pour la fabrication de ladite chaîne. Ce qui contraint de facto la plateforme britannique à s’acquitter de droits de désengagement à hauteur de 85 millions d’euros selon l’accord trouvé devant le tribunal des affaires économiques de Paris il y a quelques semaines.
En attendant cette manne payable en plusieurs échéances qui promet néanmoins de soulager les clubs de l’élite, DAZN a bien réglé ce lundi la dernière traite de 70 millions d'euros qui était due à la LFP quant aux droits TV de l’exercice 2024-2025. Là encore une vraie bouffée d’air pour les différents acteurs principaux de la Ligue 1.
Tout n’est pas rose pour autant - LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue, ayant manifestement échoué jusqu’alors à négocier un minimum garanti à injecter sans délai dans les caisses des clubs professionnels français. Autre dossier tendu tardant à se décanter: les fameux 20 millions d’euros de sponsoring qatarien promis par le groupe beIN en début de saison. Ces points là aussi seront certainement abordés dans une atmosphère électrique ce mardi en conseil d’administration.
Le rendez-vous manqué avec Canal+ aura au moins eu le mérite d’accélérer la manœuvre. L’heure étant grave pour le football français, un conseil d’administration de la Ligue de football professionnel est programmé ce mardi dans la foulée d’un collège des présidents de Ligue 1. L’occasion pour la LFP de clarifier enfin la situation quant aux droits TV.
Selon L’Equipe, « la Ligue et le patron de LFP Media Nicolas de Tavernost se dirigent vers une distribution non-exclusive de huit des neuf matches de championnat auprès des différents opérateurs. Cela va des fournisseurs d’accès à Internet (Free, Orange, SFR) aux plateformes comme DAZN ou Prime Video ». BeIN Sports conservant sa rencontre unique du samedi après-midi.
https://x.com/sports_fr/status/1939740545200353684
La chaîne dédiée à la Ligue 1, sauf improbable revirement désormais, coûtera bien 14,99 euros par mois – et 10 euros à peine pour les moins de 26 ans. La Ligue de football professionnel ayant en revanche écarté la candidature de DAZN pour la fabrication de ladite chaîne. Ce qui contraint de facto la plateforme britannique à s’acquitter de droits de désengagement à hauteur de 85 millions d’euros selon l’accord trouvé devant le tribunal des affaires économiques de Paris il y a quelques semaines.
Des échéances réglées, d’autres non
En attendant cette manne payable en plusieurs échéances qui promet néanmoins de soulager les clubs de l’élite, DAZN a bien réglé ce lundi la dernière traite de 70 millions d'euros qui était due à la LFP quant aux droits TV de l’exercice 2024-2025. Là encore une vraie bouffée d’air pour les différents acteurs principaux de la Ligue 1.
Tout n’est pas rose pour autant - LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue, ayant manifestement échoué jusqu’alors à négocier un minimum garanti à injecter sans délai dans les caisses des clubs professionnels français. Autre dossier tendu tardant à se décanter: les fameux 20 millions d’euros de sponsoring qatarien promis par le groupe beIN en début de saison. Ces points là aussi seront certainement abordés dans une atmosphère électrique ce mardi en conseil d’administration.
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