Dorr-Bourrassaud, le cauchemar...
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Qualifiés pour les demi-finales des Mondiaux de Doha, Esteban Dorr et Florian Bourrassaud, qui avaient assuré les premiers une médaille à la France avant que les frères Lebrun ne se hissent à leur tour dans le dernier carré, ont été contraints de déclarer forfait en raison de la blessure à un genou du premier, qui s'était blessé en... célébrant la victoire en quarts de finale.
Fin de mondiaux très cruelle pour Esteban Dorr et Florian Bourrassaud. Alors que le parcours du tandem français avait tout d'un conte de fée jusqu'à maintenant, avec évidemment en point d'orgue cette qualification pour les demi-finales qui avait assuré l'équipe de France de sa première médaille dans la compétition depuis le bronze obtenu en 1997 par Jean-Philippe Gastien et Damien Eloi, la suite s'est avéré terrible pour nos deux surprenants représentants.
La paire tricolore a dû en effet déclarer forfait avant même de disputer sa demi-finale en raison d'une blessure à un genou contractée par Dorr en quarts de finale. Et là aussi, le sort semble s'être abattu sur ceux qui sont néanmoins certains, même sans avoir poursuivi le tournoi, de quitter Doha avec cette même médaille de bronze que Gastien et Eloi avaient eu le bonheur d'accrocher autour de leur cou vingt-huit ans plus tôt. Car ce n'est pas au cours de la rencontre mais après la balle de match en célébrant la qualification que Dorr s'était blessé.
Une mésaventure assez incroyable sur laquelle le malheureux est revenu sur le site de L'Equipe après avoir compris qu'il ne pourrait pas défendre ses chances sur cette demi-finale et contraint ainsi son partenaire à jeter l'éponge de concert.
"Ce qui est dur, c'est que c'est vraiment la faute à pas de chance. Le kiné me l'a dit, ce geste, j'aurais pu le faire 200 fois, il suffisait d'une fois, et c'est tombé sur ce moment-là", pestait Dorr, avec beaucoup d'amertume mais pas de regrets par rapport à son geste. "Ce n'est pas moi qui ai fait n'importe quoi ou qui ai tenté une célébration loufoque. Je me suis écroulé au lieu d'avoir le pied en inter, j'ai eu le pied en exter, et c'est le ménisque qui a flanché."
Un forfait d'autant plus dur à digérer que le duo semblait capable de toucher les étoiles. "Il y avait quelque chose de beau à aller chercher, on sentait que notre ping était de mieux en mieux." Dorr-Bourrassaud, incapables de continuer, se contenteront du bronze. Les frères Lebrun, également assurés d'une médaille, peuvent, eux, toujours rêver de décrocher le Graal.
Fin de mondiaux très cruelle pour Esteban Dorr et Florian Bourrassaud. Alors que le parcours du tandem français avait tout d'un conte de fée jusqu'à maintenant, avec évidemment en point d'orgue cette qualification pour les demi-finales qui avait assuré l'équipe de France de sa première médaille dans la compétition depuis le bronze obtenu en 1997 par Jean-Philippe Gastien et Damien Eloi, la suite s'est avéré terrible pour nos deux surprenants représentants.
La paire tricolore a dû en effet déclarer forfait avant même de disputer sa demi-finale en raison d'une blessure à un genou contractée par Dorr en quarts de finale. Et là aussi, le sort semble s'être abattu sur ceux qui sont néanmoins certains, même sans avoir poursuivi le tournoi, de quitter Doha avec cette même médaille de bronze que Gastien et Eloi avaient eu le bonheur d'accrocher autour de leur cou vingt-huit ans plus tôt. Car ce n'est pas au cours de la rencontre mais après la balle de match en célébrant la qualification que Dorr s'était blessé.
Un forfait difficile à digérer
Une mésaventure assez incroyable sur laquelle le malheureux est revenu sur le site de L'Equipe après avoir compris qu'il ne pourrait pas défendre ses chances sur cette demi-finale et contraint ainsi son partenaire à jeter l'éponge de concert.
"Ce qui est dur, c'est que c'est vraiment la faute à pas de chance. Le kiné me l'a dit, ce geste, j'aurais pu le faire 200 fois, il suffisait d'une fois, et c'est tombé sur ce moment-là", pestait Dorr, avec beaucoup d'amertume mais pas de regrets par rapport à son geste. "Ce n'est pas moi qui ai fait n'importe quoi ou qui ai tenté une célébration loufoque. Je me suis écroulé au lieu d'avoir le pied en inter, j'ai eu le pied en exter, et c'est le ménisque qui a flanché."
Un forfait d'autant plus dur à digérer que le duo semblait capable de toucher les étoiles. "Il y avait quelque chose de beau à aller chercher, on sentait que notre ping était de mieux en mieux." Dorr-Bourrassaud, incapables de continuer, se contenteront du bronze. Les frères Lebrun, également assurés d'une médaille, peuvent, eux, toujours rêver de décrocher le Graal.
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