Après un judoka irakien, c'est une volleyeuse dominicaine qui est contrôle positif à une substance interdite. Elle est exclue des Jeux Olympiques de Paris.Première (vraie) journée de compétition et deuxième cas de dopage aux Jeux Olympiques de Paris.
Après un judoka iranien, pris par la patrouille avant son entrée en lice, c'est au tour d'une volleyeuse dominicaine de faire l'objet d'un contrôle positif, qui remonte à la Ligue des Nations il y a quelques semaines.
La joueuse en question, Lisvel Eve Mejia, espérait disputer ses troisièmes JO après Londres en 2012 et Tokyo en 2021. Mais elle a commis une erreur, en consommant un médicament interdit pour soigner un problème de santé.
"Avec beaucoup de douleur et de regret, je m'excuse humblement auprès de tous mes coéquipiers, de la fédération et des personnes touchées par cette situation dans laquelle je me trouve", a-t-elle confié dans un communiqué relayée par L'Equipe.
"Ma plus grande erreur a été de ne pas être assez prudente et de ne pas consulter mon médecin au sujet des médicaments. J'ai utilisé le furosémide uniquement pour traiter la rétention d'eau dont je souffre", avoue la joueuse de 32 ans. Un coup dur pour la République Dominicaine, qui doit affronter l'Italie, la Turquie et les Pays-Bas durant ces JO.
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