Daphné Burki, le terrible drame

Alors qu’elle s’apprête à commenter la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques pour France Télévisions, Daphné Burki a vécu des jours très sombres à l’approche de l’événement.
Daphné Burki sera doublement à l’honneur en ce 26 juillet, jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques. La présentatrice vedette est en effet concernée à double titre par l’événement en premier lui puisqu’elle a l’insigne honneur de présenter la cérémonie d’ouverture aux côtés de Laurent Delahousse et Alexandre Boyon. Mais l’ancienne de Canal+ travaille sur cette cérémonie depuis de très longs mois puisqu’elle est également styliste en charge des costumes du spectacle.

« J'ai appelé Daphné pour son oeil expert, elle a travaillé dans la mode donc c'était pour moi déjà une garantie et puis surtout pour son acuité, sa curiosité pour toute la scène culturelle française et notamment la jeune création », avait expliqué Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies. « Comment refuser de montrer la richesse culturelle de la scène française à 2 milliards de personnes », s’était enthousiasmée la Parisienne.

Elle hurle sur son vélo

La journaliste a fait appel à une douzaine de créateurs, dont plusieurs des maisons Louis Vuitton et Dior dans le cadre du partenariat de premier rang entre Paris 2024 et le groupe de luxe LVMH. Et si Daphné Burki a imaginé des costumes aussi joyeux que flamboyants, elle a dû faire face ces dernières semaines à un terrible drame.

Le 16 avril dernier, Daphné Bürki a en effet perdu son compagnon, le photographe David Hache, décédé subitement à l’âge de 42 ans. « Mon amour, je t'aime de toute mon âme. Merci de m'avoir aimée comme tu l'as fait. Tu étais si précieux pour tes amis et ta famille. Tu peux marcher en moi, tu resteras ma lumière. David », avait-elle écrit sur Instagram en légende d’une photo du couple, de dos.

Et si elle s’est plongée dans le travail, entre apparitions au festival de Cannes et présentation de Drag Race, sa douleur est toujours immense. « Le seul moment où je m'autorise à hurler et à sortir toute ma tristesse, c'est sur mon vélo », a-t-elle expliqué à Libération, pouvant également s’appuyer sur ses deux filles , nées de deux relations précédentes, Hedda (17 ans) et Suzanne (11 ans).