Bouleversée, une figure des JO 2024 dit stop
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Numéro 1 mondiale de breakdance en septembre, l'Australienne "Raygun" a annoncé mercredi qu'elle stoppait sa carrière en compétition, choquée par la vague de réactions négatives après sa prestation lors des JO de Paris 2024.
Participante à l'épreuve de breakdance des Jeux olympiques de Paris 2024, Rachel Gunn alias "Raygun" a été profondément marquée par le flot de critiques et de moqueries qui s'est abattu sur elle après sa prestation. Tandis que les réseaux sociaux s'en sont donné à cœur joie pour ridiculiser l'Australienne, cette dernière a eu du mal à faire face, comme elle l'a avoué le 15 août dernier sur son compte Instagram : "Je n'avais pas réalisé que cela ouvrirait aussi la porte à tant de haine, ce qui a été franchement assez dévastateur". Près de trois mois plus tard, elle a choisi d'arrêter la compétition.
Visiblement pas remise et encore sous le choc des commentaires et messages reçus, celle qui exerce par ailleurs le métier de professeur d'université à Sydney a expliqué sa décision au micro de la radio locale 2DayFM. "Je vais arrêter les compétitions. [...] Je me préparais vraiment à continuer à concourir, mais j'ai le sentiment que c'est devenu quelque chose de vraiment difficile pour moi." Ne voulant pas que ses prochaines prestations soient filmées et à nouveau diffusées sur les réseaux par certains esprits malveillants prêts à déclencher de nouvelles vagues de moqueries, la breakeuse de trente-sept ans a donc préféré dire stop.
Figure des JO 2024 bien malgré elle, "Raygun" n'a pas obtenu le moindre points lors des trois battles auxquelles elle a pris part durant la compétition. Sa performance, et notamment son imitation d'un kangourou, ont ensuite déclenché les fameuses moqueries. Un mois plus tard, elle a pourtant eu droit à une sacrée revanche en voyant la Fédération mondiale de danse sportive la sacrer numéro 1 de la discipline. Pas suffisant pour lui redonner le goût de poursuivre en compétition.
[rw_instagram link="/" type="post"]
Quant au breakdance, après sa grande première olympique durant Paris 2024, il n'aura pas droit à une deuxième présence consécutive lors des Jeux olympiques de Los Angeles 2028 puisque la discipline ne sera pas au programme. Peut-être reviendra-t-il en 2032 ? Rien n'est moins sûr pour le moment.
Participante à l'épreuve de breakdance des Jeux olympiques de Paris 2024, Rachel Gunn alias "Raygun" a été profondément marquée par le flot de critiques et de moqueries qui s'est abattu sur elle après sa prestation. Tandis que les réseaux sociaux s'en sont donné à cœur joie pour ridiculiser l'Australienne, cette dernière a eu du mal à faire face, comme elle l'a avoué le 15 août dernier sur son compte Instagram : "Je n'avais pas réalisé que cela ouvrirait aussi la porte à tant de haine, ce qui a été franchement assez dévastateur". Près de trois mois plus tard, elle a choisi d'arrêter la compétition.
Visiblement pas remise et encore sous le choc des commentaires et messages reçus, celle qui exerce par ailleurs le métier de professeur d'université à Sydney a expliqué sa décision au micro de la radio locale 2DayFM. "Je vais arrêter les compétitions. [...] Je me préparais vraiment à continuer à concourir, mais j'ai le sentiment que c'est devenu quelque chose de vraiment difficile pour moi." Ne voulant pas que ses prochaines prestations soient filmées et à nouveau diffusées sur les réseaux par certains esprits malveillants prêts à déclencher de nouvelles vagues de moqueries, la breakeuse de trente-sept ans a donc préféré dire stop.
Numéro 1, la revanche de "Raygun"
Figure des JO 2024 bien malgré elle, "Raygun" n'a pas obtenu le moindre points lors des trois battles auxquelles elle a pris part durant la compétition. Sa performance, et notamment son imitation d'un kangourou, ont ensuite déclenché les fameuses moqueries. Un mois plus tard, elle a pourtant eu droit à une sacrée revanche en voyant la Fédération mondiale de danse sportive la sacrer numéro 1 de la discipline. Pas suffisant pour lui redonner le goût de poursuivre en compétition.
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Quant au breakdance, après sa grande première olympique durant Paris 2024, il n'aura pas droit à une deuxième présence consécutive lors des Jeux olympiques de Los Angeles 2028 puisque la discipline ne sera pas au programme. Peut-être reviendra-t-il en 2032 ? Rien n'est moins sûr pour le moment.
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