Bach reste confiant malgré tout
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En marge d’une réunion de la Commission Exécutive du CIO, Thomas Bach a assuré avoir toute confiance en vue de l’organisation des Jeux Olympiques d’hiver dans les Alpes françaises en 2030 malgré le flou qui règne d’un point de vue politique.
Thomas Bach ne compte pas s’affoler. Dans un peu plus de six ans, les Alpes françaises doivent accueillir les Jeux Olympiques d’hiver. Or, si le gouvernement a pu signer en octobre dernier les garanties financières demandées, le contexte politique tendu dans l’Hexagone ne facilite pas la mise en place des structures nécessaires à l’événement, notamment le Comité d’Organisation (COJO).
Alors que la Commission Exécutive du Comité International Olympique (CIO) s’est réunie ce jeudi à Lausanne, le président de l’institution Thomas Bach a profité de l’occasion pour rassurer. « Pour le moment, nous ne sommes pas inquiets car nous avons vu l'appui d'une grande majorité à ces Jeux 2030 », a confié l’ancien escrimeur allemand dans des propos recueillis par le quotidien L’Equipe. En effet, le patron du CIO assure que ce dernier est « en contact avec les régions, le CNOSF » afin d’« évaluer si cela aura un impact sur l'organisation des Jeux ».
S’appuyant sur les chiffres de la Banque de France, qui démontrent un « si positif, économique et fiscal, des Jeux de Paris 2024 », Thomas Bach assure que « la situation n’a pas changé » quand bien même, « on la suit de près » à Lausanne. Présent lors d’une réunion organisée récemment à Matignon, Martin Fourcade n’a pas été officiellement nommé à la tête du futur COJO. Toutefois, le président du CIO a confirmé son soutien à l’ancien biathlète.
« C'est dans les mains des parties prenantes, nous sommes informés qu'il y a des discussions et on attend le résultat de ces discussions », a confié l’ancien champion olympique avec beaucoup de diplomatie. Lors de cette prise de parole, Thomas Bach s’est également retourné sur Paris 2024 et, quatre mois après l’événement, il a mis en avant le « succès massif » de l’organisation des Jeux Olympiques dans la capitale. « Merci beaucoup Paris 2024 et chapeau », a ajouté celui qui quittera son poste en 2025, soit à l’issue de son deuxième mandat.
Thomas Bach ne compte pas s’affoler. Dans un peu plus de six ans, les Alpes françaises doivent accueillir les Jeux Olympiques d’hiver. Or, si le gouvernement a pu signer en octobre dernier les garanties financières demandées, le contexte politique tendu dans l’Hexagone ne facilite pas la mise en place des structures nécessaires à l’événement, notamment le Comité d’Organisation (COJO).
Alors que la Commission Exécutive du Comité International Olympique (CIO) s’est réunie ce jeudi à Lausanne, le président de l’institution Thomas Bach a profité de l’occasion pour rassurer. « Pour le moment, nous ne sommes pas inquiets car nous avons vu l'appui d'une grande majorité à ces Jeux 2030 », a confié l’ancien escrimeur allemand dans des propos recueillis par le quotidien L’Equipe. En effet, le patron du CIO assure que ce dernier est « en contact avec les régions, le CNOSF » afin d’« évaluer si cela aura un impact sur l'organisation des Jeux ».
Bach favorable à Fourcade président du COJO
S’appuyant sur les chiffres de la Banque de France, qui démontrent un « si positif, économique et fiscal, des Jeux de Paris 2024 », Thomas Bach assure que « la situation n’a pas changé » quand bien même, « on la suit de près » à Lausanne. Présent lors d’une réunion organisée récemment à Matignon, Martin Fourcade n’a pas été officiellement nommé à la tête du futur COJO. Toutefois, le président du CIO a confirmé son soutien à l’ancien biathlète.
« C'est dans les mains des parties prenantes, nous sommes informés qu'il y a des discussions et on attend le résultat de ces discussions », a confié l’ancien champion olympique avec beaucoup de diplomatie. Lors de cette prise de parole, Thomas Bach s’est également retourné sur Paris 2024 et, quatre mois après l’événement, il a mis en avant le « succès massif » de l’organisation des Jeux Olympiques dans la capitale. « Merci beaucoup Paris 2024 et chapeau », a ajouté celui qui quittera son poste en 2025, soit à l’issue de son deuxième mandat.
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