Assassinat de Cheptegei : l'agresseur est mort
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L'homme qui avait arrosé d'essence le 1er septembre dernier la marathonienne ougandaise Rebecca Cheptegei, qui avait succombé ensuite à ses blessures, est décédé lundi. L'agresseur avait lui aussi été brûlé en attaquant l'athlète peu après son retour des JO de Paris 2024.
"C'est vrai que nous avons perdu Dickson Ndiema hier soir". Un responsable du service communication du Moi Teaching and Referral Hospital (MTRH) de la ville d'Eldoret a annoncé ce mardi le décès de Dickson Ndiema Marangach, l'assassin de Rebecca Cheptegei. Présenté comme le compagnon de la marathonienne ougandaise de 33 ans morte jeudi dernier des suites de ces blessures, Ndiema avait lui-même été brûlé (à 30%) lors de son attaque mortelle sur Rebecca Cheptegei. Comme l'athlète qui s'était classée 44eme du marathon des Jeux Olympiques de Paris 2024 le 11 août dernier (NDLR : La victoire était revenue à la Néerlandaise Sifan Hassan, nouveau record olympique à la clé, devant l'Ethiopienne Tigst Assefa et la Kényane Hellen Obiri), l'agresseur n'a pas survécu à ses brûlures. Le 1er septembre dernier, peu de temps après le retour de l'Ougandaise des JO de Paris 2024, l'homme présenté par la police comme le petit ami de celle qui avait été sacrée championne du monde de course en montagne en montée et descente en 2022 et avait décroché onze ans plus tôt la médaille de bronze sur le 5 000 mètres des Jeux mondiaux militaires d'été avait arrosé d'essence la sportive alors qu'elle rentrait de l'église en compagnie de ses enfants (deux filles) et venait de regagner son domicile, situé dans la ville d'Endebess, dans l'ouest du Kenya, et où son compagnon s'était introduit en son absence pour l'attendre.
Brûlée (vive) à plus de 80% et hospitalisée dans un état critique au Moi Teaching and Referral Hospital d'Eldoret, la jeune femme de 33 ans était décidée quatre jours plus tard, jeudi dernier. En hommage à Rebecca Cheptegei, la ville de Paris a annoncé qu'elle rebaptiserait de son nom l'un des sites sportifs de la capitale. Le père de la marathonienne a indiqué que cet assassinat pourrait être lié à un différend autour de l'achat d'un terrain que sa fille venait d'acheter pour y construire une maison.
"C'est vrai que nous avons perdu Dickson Ndiema hier soir". Un responsable du service communication du Moi Teaching and Referral Hospital (MTRH) de la ville d'Eldoret a annoncé ce mardi le décès de Dickson Ndiema Marangach, l'assassin de Rebecca Cheptegei. Présenté comme le compagnon de la marathonienne ougandaise de 33 ans morte jeudi dernier des suites de ces blessures, Ndiema avait lui-même été brûlé (à 30%) lors de son attaque mortelle sur Rebecca Cheptegei. Comme l'athlète qui s'était classée 44eme du marathon des Jeux Olympiques de Paris 2024 le 11 août dernier (NDLR : La victoire était revenue à la Néerlandaise Sifan Hassan, nouveau record olympique à la clé, devant l'Ethiopienne Tigst Assefa et la Kényane Hellen Obiri), l'agresseur n'a pas survécu à ses brûlures. Le 1er septembre dernier, peu de temps après le retour de l'Ougandaise des JO de Paris 2024, l'homme présenté par la police comme le petit ami de celle qui avait été sacrée championne du monde de course en montagne en montée et descente en 2022 et avait décroché onze ans plus tôt la médaille de bronze sur le 5 000 mètres des Jeux mondiaux militaires d'été avait arrosé d'essence la sportive alors qu'elle rentrait de l'église en compagnie de ses enfants (deux filles) et venait de regagner son domicile, situé dans la ville d'Endebess, dans l'ouest du Kenya, et où son compagnon s'était introduit en son absence pour l'attendre.
La ville de Paris souhaite rendre hommage à Rebecca Cheptegei
Brûlée (vive) à plus de 80% et hospitalisée dans un état critique au Moi Teaching and Referral Hospital d'Eldoret, la jeune femme de 33 ans était décidée quatre jours plus tard, jeudi dernier. En hommage à Rebecca Cheptegei, la ville de Paris a annoncé qu'elle rebaptiserait de son nom l'un des sites sportifs de la capitale. Le père de la marathonienne a indiqué que cet assassinat pourrait être lié à un différend autour de l'achat d'un terrain que sa fille venait d'acheter pour y construire une maison.
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