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Moins chers, plus grands, plus responsables : les diamants de synthèse séduisent la Gen Z

Moins chers, plus grands, plus responsables : les diamants de synthèse séduisent la Gen Z
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De plus en plus, la jeune génération préfère les diamants créés en laboratoire : plus gros, moins chers, et mieux pour la planète. Même pour les bagues de fiançailles, ce choix s’impose.

Longtemps symbole d’éternité, de rareté et de luxe absolu, le diamant naturel voit aujourd’hui son aura bousculée par une nouvelle génération de consommateurs plus exigeants, plus connectés… et plus pragmatiques. Car pour la Gen Z, qui réinvente les codes de la consommation, le diamant parfait n’est plus forcément celui que la Terre a mis des millions d’années à façonner. Désormais, il peut aussi être cultivé en laboratoire.

À l’œil nu, difficile de faire la différence : même éclat, même composition chimique, même dureté. La seule vraie différence ? Leur origine. L’un est extrait des profondeurs de la Terre, l’autre pousse dans un laboratoire grâce à une technologie de pointe. Et c’est justement cette origine qui bouleverse le marché. Car là où un diamant naturel de trois carats dépasse souvent les 60 000 euros, son pendant synthétique s’offre à moins de 5 000 euros. Une aubaine qui permet à la Gen Z d’oser la taille XXL sans faire exploser le budget.

Plus qu’un simple choix esthétique, le diamant de synthèse s’impose aussi comme la nouvelle norme pour les bagues de fiançailles. En quête de sens, les jeunes couples privilégient des pierres éthiques, offrant une alternative plus responsable à la tradition sans...

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